je pense qu'on dérive doucement mais ineluctablement vers les travers du foot et les qurelles de fric
trop de pressions, d'argent,; de blessures, de banqueroutes, de magouilles, de clubs qui disparaissent, de mégalomanie,
absence de concertation du "peuple rugby, influence tordue des médias pour certains "copains", arbitrage de plus en plus opaque selon les circonstances, calendriers débiles, formations baclées (sauf certains clubs comme Agen!

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la preuve, c'est que Camou voit le danger en parlant de rugby des provinces
Donc, c'est un SIGNAL d'ALARME fort qui prouve une chose: la necessité urgente de remettre tout à plat (audit-état des lieux ) et de garder le meileur, supprimer le négatif, revoir les bases, structurer universellement une fois pour toutes (lisibilité, traçabilité des régles et des chartes)
Donc, il faut un GRENELLE du RUGBY , qui réunira ce que l'ovale compte de plus representatif Y COMPRIS des délégués nommés par le "peuple" ( à voir pour comment élire ces representants de tous les clubs (deux par club-un titulaire et un adjoint-remplaçant)
Ces derniers representeraient en fait le peuple SSF ( spectateurs-supporters -forumistes) qui n'a jamais droit à la parole et à l'avis
Si ce Grenelle doit durer trois jours et bien banco !!
mais au moins que cette cogitation à tres haute echelle -niveau débouche sur un veritable projet DURABLE et CONSENSUEL (ou tout au moins le plus proche du consensuel( nuances et clauses additives de "secours" au cas où..)
Depuis quelques années, c'est un panel restreint de vieux pardessus ( SURTOUT ça) qui décide et ne cesse de pondre des régles et réglements mal compris et faisant la part belle aux CADORS (friqués)
Exigeons par referendum -sondage sur un grand quotidien national voire le MIDOL pour une fois (mais sondage controlé !!!) ce GRENELLE du rugby
( lieu, dates, poarticipants, liste des ateliers de travail -reflexions, methodologie des décisions, information CONTINUE ((medias)
Une fois que tout sera bien place et ADMIS ET COMPRIS par tout le monde, on pourra enfin se préoccuper de notre rugby sans craindre l'implosion que je sens venir et dont les crises britanniques sont les prémisses