Réactions sur la 28ème journée de Pro D2

juju a écrit:

POUSSIN a écrit:

juju a écrit:

CISCO83 a écrit:

Z'ennervez pas !! Vous le saviez qu'ils seraient champions ce soir

Bien sur CISCO, car si ce n'était aujourd'hui cela aurait été dimanche prochain.Perso je n'ai jamais pensé prendre la première place.
SI, nous montons, nous monterons sans l'aide de personne.

Si juju avec l'aide des supporters qui seront nombreux à Armandie pour cette demie!!!

Oui, bien sûr et je crois que nous serons nombreux a les encourager . Regarde ! toi, tu viens exprès du diable vauvert pour les supporter. Attention, à ta place je prendrai un jour de congé car je crois que la soirée va être mouvementée en cas de victoire.

T'inquiètes juju je repars que le lundi!!!!

Bon, ben c'est fait, il y aura demie finale à Armandie.

Après le match reporté Racing / Agen, ce sera donc le 2ème match de la saison auquel j'assisterai.

Avec un peu de chance je pourrai avoir les places (3 adultes et 1 -de 13) dans la tribune Ferrasse pas trop loin des copains éducateurs de l'EdR

En tout cas si vous voyez un gros vilain quinquagénaire barbu avec un ancien maillot du SUA de première ligne remplaçant, ce sera moi ;-)

Philippe

Le Racing champion


Le Racing Metro est officiellement champion de France de Pro D2 après son succès sur la pelouse de l'Union Bordeaux-Bègles (33-12). Le président Jacky Lorenzetti a réussi son pari de ramener le club francilien au plus haut niveau français.

Après neuf saisons passées en Pro D2, le Racing-Metro va retrouver le plus haut niveau. En s'imposant sur la pelouse de l'Union Bordeaux-Bègles (33 à 12), le club francilien a assuré son titre de France deux journées avant la fin du championnat. Un titre qui lui offre un billet direct pour le Top 14. Si l'ascenseur vers le plus haut échelon national semblait promis au club de Jacky Lorenzetti depuis plusieurs semaines, il fallait néanmoins valider cette belle saison. Une chose jamais évidente et les tergiversations de Toulon ou encore de Montauban lors des précédentes saisons démontrent qu'il n'est jamais facile d'apporter la touche finale.

L'entrée de Mehrtens

Cela s'est encore vérifié ce dimanche. Après une première mi-temps bien maîtrisé par les joueurs de Pierre Berbizier (13-3), les Girondins de l'Union profitaient de plusieurs erreurs adverses en début de deuxième période pour se relancer dans cette partie. Incapables de convertir leurs temps forts en points, les Racingmen perdaient le fil du match. La botte de Lagarde permettait aux locaux de grignotter leur retard (12-16, 68e minute) mais l'entrée en jeu d'Andrew Mehrtens était salvatrice pour les Parisiens. L'ancien ouvreur des All Blacks faisait parler son expérience : Jeu au pied de déplacement, drop suréaliste, et inspirations gagnantes.

Avec le bonus offensif

L'Union avait laissé filer sa chance de créer la surprise lorsque Laurent Ferrères était projeté en touche à quelques centimètres de l'en-but. Quelques secondes plus tard, les avants girondins n'avaient pas plus de chance quand ils s'écroulaient dans l'en-but. Après ce coup de chaud, Mehrtens entamait son show avec un drop de 45 mètres malgré une bonne défense locale. Deux minutes plus tard, il lançait parfaitement Scarbrough dans l'intervalle pour le doublé de Bobo. Juste avant la sirène, Nick Berry franchissait une dernière fois la ligne et marquait l'essai du bonus offensif.

Sous le soleil de Bègles, Jacky Lorenzetti pouvait exulter. L'homme d'affaire, arrivé au chevet d'un club végétant dans la deuxième partie du classement de Pro D2 (meilleur classement en 2004 avec une huitième place), a permis à cet ancien champion de France de retrouver des couleurs et de l'ambition.

Rugbyrama

En s'imposant au cours de la 28e journée de Pro D2 face à l'Union Bordeaux-Bègles (33-12), le Racing Métro 92 a creusé l'écart et a validé son ticket pour le Top 14. Avec un recrutement ambitieux et des intentions de jeu affichées, le RM 92 compte renouer avec sa glorieuse histoire.


Neuf ans après l'avoir quittée, le Racing retrouve l'élite. La victoire face à l'Union Bordeaux-Bègles ouvre les portes du Top 14 aux Ciel et Blanc. Après avoir dominé la Pro D2 de la tête et des épaules (leader depuis la 12e journée), le Racing Métro 92 a enfin effacé la déception de la saison dernière. Oubliée cette finale perdue sur un coup de pied manqué de Wisniewski. Le Racing s'es remis au travail sous la houlette d'un Pierre Berbizier plus décidé que jamais. Cette année, plus de joueurs en préretraite dorée et des ambitions affichées dès le début de saison.

Le Racing va donc découvrir le Top 14. Pour bien préparer cette nouvelle aventure, le président Jacky Lorenzetti a largement travaillé le recrutement. Si aucune annonce officielle n'a été faite, la venue de Sébastien Chabal et de Lionel Nallet est un secret de polichinelle. Et le champion du monde François Steyn ne devrait pas tarder à débarquer non plus. Ajouté à cela la qualité des joueurs qui ont vaillament conquis la montée, le Racing pourrait bien avoir les moyens de prendre un bail à durée indéterminée dans l'élite du rugby. En tout cas, Paris aura deux clubs la saison prochaine.

Pour en arriver là, le Racing a fait une véritable démonstration de force en ne concédant qu'une seule défaite sur ses douze derniers matches. La victoire face à l'Union Bordeaux-Bègles illustre bien les qualités, et les défauts, de cette équipe. Au cours d'une première période à sens unique, les racingmen faisait preuve d'une impressionnante densité physique. Impeccables en conquête, comme tout au long de la saison, les coéquipiers de Jérôme Fillol soumettaient leurs adversaires à une véritable torture, alternant les percussions et les envolées. Mais comme tout n'est pas parfait dans le meilleur des mondes, les Parisiens ont souvent manqué de réalisme, s'approchant de la ligne sans toujours arriver à la franchir. Et dès que le Racing lève le pied, les adversaires peuvent en profiter. Les Girondins ne se faisaient pas prier et passaient la surmultipliée pour mettre sur le reculoir des Ciel et Blanc qui n'arrivaient plus à organiser leur jeu. Mais le RM 92 n'est pas la meilleure défense de Pro D2 pour rien. La faille ne restait pas ouverte longtemps et l'expérience d'un vieux loup comme Andrew Mehrtens permettait de faire la différence avec un drop plein d'aplomb au beau milieu de la domination girondine. Assomés, les locaux voyaient revenir le rouleau compresseur et Bobo réaliser le doublé. La messe était dite mais Berry y allait aussi de son essai. Celui du bonus. Mais ce soir, le bonus était ailleurs.


L'Equipe

Le Racing-Metro en Top 14

Le club parisien est devenu champion de France de Pro D2 en s’imposant à Bordeaux-Bègles.

Le Racing-Metro 92 est devenu champion de France de Pro D2 grâce à sa victoire dimanche sur le terrain de Bordeaux-Bègles (33-12), et a décroché son billet d'accession directe vers le Top 14, à deux journées de la fin du championnat. Le club francilien a prévu un recrutement haut de gamme pour la saison prochaine : les noms de Lionel Nallet, Sébastien Chabal et François Steyn sont évoqués.

tout est dit !
ah si...il faisait beau (eh oui !!!) et les 200 parisiens faisaient plus de bruit que les 5000 bordelo-béglais !

200 t'as dit ? J'ai entendu parler d'un stade de 35 000 places en 2012/2013 pour les "92"

Ils vont acheter des supporteurs!

agenais du 84 a écrit:

200 t'as dit ? J'ai entendu parler d'un stade de 35 000 places en 2012/2013 pour les "92"

Bah...Guazzini aussi a démarré avec 200 gonzes qui "faisaient la claque" et avec Nallet, Steyn et Chabal, certains vont vite trouver le chemin du stade...!

agenais du 84 a écrit:

200 t'as dit ? J'ai entendu parler d'un stade de 35 000 places en 2012/2013 pour les "92"

Mouais...le Stade Français n'avait guère plus de supporters avant de......remplir le Stade de France...

ALBI

Les Albigeois recoivent Agen lors de la prochaine journée pourun choc entre le 2e et le 3e. Avant d'accueillir Béziers ce sera l'occasion d'assurer une demi-finale qualificative à domicile avant de, pourquoi pas, retrouver Agen en finale d'accession.

AUCH

C'est la deuxième défaite consécutive des Auscitains face à Albi à domicile. L'an passé, ils avaient été battus 14-19 par les Tarnais.

AGEN

Les Agenais sont assurés de recevoir une demi-finale qualificative à domicile. Avec 11 points d'avance sur Albi et La Rochelle, ils ne peuvent que terminer à la deuxième place.

AURILLAC

En 7 matchs à Agen, toutes compétitions confondues, Aurillac n'a jamais gagné ou fait match nul. La plus courte défaite remonte à 1959, 3-0 et sa plus lourde défaite en 1979, 53-7.

BEZIERS

Même en mettant 10 points et en voyant Colomiers n'en sincrire aucun lors des deux dernières journées, Béziers sera relégué en PRO D2 en tenant compte du goal-average particulier (Béziers-Colomiers: 12-6; Colomiers-Béziers: 38-17). Onze fois champion de France, l'ASBH aura disputé 1242 matchs à l'issue de cette saison.

BORDEAUX

Les Girondins, contrairement à leurs homologues du football, n'ont plus gagné depuis 3 matchs.

BOURG EN BRESSE

En 11 matchs face à Lyon, les Bressans en ont remporté 6.

COLOMIERS

Les Columérins n'ont que neuf points d'avance sur Bourg en Bresse alors qu'il reste 10 points maximum à receuillir.

GRENOBLE

Les Isérois ont inscrit 14 points bonus, ce qui constitue la meilleure performance de la saison, avec La Rochelle.

LA ROCHELLE

Les Atlantiques se replacent dans la course aux demi-finales qualificatives après ce succès sur Grenoble qui avait gagné à La Rochelle l'an passé 17 à 20.

LYON

Les Lyonnais restent sur une défaite à domicile face aux Bressans. Ces derniers l'avaient emporté 6-9 lors de la saison 1970-1971.

NARBONNE

Les Audois n'ont plus été battus par Pau depuis le 26 avril 1964, 3-8 en huitièmes de finale du challenge du Manoir. Ils restent sur 13 succès à la maison.

OYONNAX

Capables de se qualifier pour les demi-finales qualificative, les Oyonnaxiens ont la deuxième défense du championnat derrière le Racing Métro 92.

RACING METRO

Les Racingmen sont champions de France de PRO D2! Le plus dur commence: se maintenir en RUGBY TOP 14 la saison prochaine...

TARBES

C'est la sixième défaite consécutive des Tarbais à Béziers en 62 années de confrontations.


LNR

Les Parisiens, vainqueurs de l'Union, retrouvent l'élite. Ils entendent y rester

Le Racing sacré dans la souffrance contre Bordeaux-Bègles



«Le championnat de ProD2 est long et compliqué », avait diagnostiqué Pierre Berbizier hier dans les colonnes de « Sud Ouest ».

L'accession du Racing-Métro au Top 14 hier sur la pelouse de l'Union fut conforme au jugement de l'entraîneur parisien qui a dû patienter près de 75 minutes, mâchoires crispées, avant de voir ses protégés briser définitivement la résistance de l'Union. « Ca a été un match difficile, à l'image de toute la saison », a reconnu Berbizier. Mais cette fois, le Racing-Métro n'a pas craqué. Après neuf années loin de l'élite, les « Ciel et Blanc » retrouveront donc le gotha du rugby français. « Et je ne suis pas mécontent de quitter cette ProD2 où chaque rencontre est une bagarre de tous les instants », s'est félicité Jacky Lorenzetti, le président du club, ému aux larmes puis dégoulinant de champagne.

Mercredi, le fondateur du groupe Foncia officialisera un recrutement millésimé. Chabal, Nallet, le jeune centre Sud Africain Steyn sont annoncés. D'autres joueurs de renom devraient les accompagner, car le vieux club de la capitale a l'intention de se mêler à la lutte avec les meilleurs.

Déjà le label Top 14

Les nostalgiques des années « show bizz » ne doivent pas s'attendre à voir ce Racing « new look » réveiller leurs souvenirs. Il n'y a rien de fantaisiste dans ce qu'entreprennent les Parisiens. Mais le rugby qu'ils proposent n'est pas réducteur non plus. Ce jeu-là, structuré, s'appuyant sur le talent des individualités, possède déjà le label Top 14. Mais par intermittence.

Hier, les Parisiens ont donné le sentiment pendant une mi-temps de posséder une grosse marge de sécurité, comme sur cet essai de Bobo, transperçant la défense étirée après un enchaînement dans l'axe impulsé par un Fillol, tranchant. D'autres auraient pu suivre sans la défense acharnée de l'Union. Transparents à Colomiers, les Bordelais ont offert hier un tout autre visage. Agressifs, combatifs dans les rucks, les hommes du tandem Laporte-Garcia ont retardé longtemps le sacre de leur adversaire. Leur générosité dans le combat leur a permis de revenir à quatre longueurs (12-16 à la 68e) et même de faire trembler la grosse bête lorsque l'arbitre refusa un essai à Machenaud. Et puis, alors que la nervosité grimpait, Mehrtens, l'ancien ouvreur des All Blacks, à peine rentré, claqua un drop de quarante mètres pour mettre un terme au suspense. «Andrew un grand bonhomme du rugby qui n'a pas besoin de beaucoup de temps pour le prouver», assure Berbizier.

Derrière, deux essais de Bobo et Berry donnèrent des allures de triomphe à un succès acquis dans la souffrance mais qui confirme que le Racing-Métro n'est plus seulement une agrégation de talents réunis grâce à un carnet de chèque mais une véritable équipe.

Sud Ouest

Bravo quand même au RM 92. Que le SUA monte également et les 2 meilleures équipes de PRO D2 auront été récompensées de cette saison palpitante.

effectivement, je crois que l'on peut saluer la performance du racing, qui aura fait une saison remarquable, ils auront ete efficaces et constants. Ils ne doivent rien a personne et seront alles se chercher la montee, en se comportant en champions, en allant notement s'imposer dernierement sur les pelouses d'albi et begles.
Dommage que la machine SUA , ait mis un peu de temps a trouver sa cadence , sans quoi, je pense que nous les aurions serieusement inquietes.

Dans la perspective du Agen-Racing final, à noter la sortie de Wisniewski sur blessure (cheville semble t-il !) contre Bègles !

Confirmation pour Wisniewski...fracture du péroné en fait, saison terminée !
Nous aurons donc probablement A.Merthens à Armandie pour la der !

Avec les renforts de Chabal,Nallet,Steyn ,Culine , et surtout l'expérience de Berbizier ( différente de celle de Umaga ) le R.M.92 est armé pour au moins jouer la 10 eme place en Top 14. Ensuite recrutement encore plus "haut-de-gamme" et menace sur Toulouse,Paris,Clermont et cie !

La 28e journée du Pro D2 a été déterminante, marquée notamment par le sacre du Racing-Metro et l'officialisation de la relégation de Béziers. Narbonne est maintenu.

EN HAUSSE
Racing-Metro

C'est désormais officiel : le Racing-Metro jouera en Top 14 la saison prochaine. Grâce à sa victoire sur l'Union Bordeaux-Bègles (33-12), la neuvième à l'extérieur cette saison, les Franciliens ont empoché le précieux sésame. Avec 102 points au compteur, ils ne peuvent plus être rejoints par le second, Agen, qui compte 13 points de retard à deux journées de la fin du championnat. Objectif rempli donc pour les Racingmen. En pleurs, leur président Jacky Lorenzetti leur rendait hommage après la rencontre : "Dans le groupe, sous la couleur de la peau ou derrière les religions, il y a un coeur qui bat. Les joueurs se sont battus malgré les sarcasmes. C'est une belle leçon."

EN BAISSE
Pau

Défaits à Narbonne 15-21, les Palois ont grandement hypothéqué leurs chances de qualification pour les demi-finales. Malgré l'obtention du point de bonus défensif, ils comptent désormais sept points de débours sur le dernier qualifié potentiel, Oyonnax. Un retard qui sera difficile à rattraper à l'occasion des deux dernières journées, à Tarbes et contre Aurillac. D'autant que Lyon, sixième avec cinq points d'avance sur les Béarnais, est en embuscade lui aussi. La Section accusait le coup après la rencontre : "C'est une énorme déception car nous avions préparé ce match pour le gagner", avouait le demi de mêlée Clément Darbo. Côté audois, en revanche, c'était le soulagement. Cette victoire a entériné officiellement le maintien du club en Pro D2.

LE JOUEUR
Yann Fior (La Rochelle)

Le longiligne trois-quarts centre du Stade rochelais a éclaboussé le match de toute sa classe. Entré à la mi-temps, quand les siens butaient encore sur la défense grenobloise, il a allumé quatre mèches d'incendie pour autant de ballons touchés, le dernier déclenchant un essai immaculé sur une passe à hauteur dans l'intervalle. Puissance, timing, raffut, le Gersois a largement contribué à la victoire des siens (23-7) et justifié son prochain transfert au Biarritz olympique.

L'ESSAI
Rupeni Caucaunibuca (Agen)

Rupeni Caucaunibuca, à l'image de la formation agenaise, est en forme. Décidément irrésistible depuis son retour au sein du club lot-et-garonnais, l'ailier fidjien replacé au centre a encore fait des siennes contre Aurillac et réalisé un début de match tonitruant. Il inscrivait un essai dès la première minute de jeu, toutefois refusé pour un écran, mais remettait le couvert à la 16e. Il s'extirpait des griffes de trois défenseurs adverses avant de passer au milieu d'autres joueurs pour aller marquer. Et ainsi permettre à son équipe de faire le break d'entrée. Le SUA s'est imposé 23-12, obtenant ainsi son billet pour une demi-finale à domicile.

La STAT
9

Depuis trois matchs, avec deux succès sur La Rochelle et Tarbes et un bonus défensif accroché sur la pelouse d'Aurillac, Béziers a engrangé neuf points au classement. Un véritable rythme de croisière pour une lanterne rouge mais un redressement qui intervient un peu tard… En effet, cela n'aura pas suffi, le club héraultais est officiellement relégué en Fédérale 1. Pourtant, du côté de Béziers, on y croit encore et l'objectif est maintenant de partir à la conquête de la 15e et avant-dernière place, synonyme de maintien en cas d'une éventuelle rétrogradation administrative.

LA DECLA
Eric Belooussoff (président d'Auch)

Alors que le FCAG s'était incliné 8-11 à Jacques-Fouroux devant Albi, le président s'est dit réjoui et s'est montré optimiste pour la suite compte tenu des sommes récoltées par le club gersois ces derniers jours : "Nous sommes vraiment très contents. Il y a quelques semaines, j'ai dit que nous avions 99% de chances d'être relégués, aujourd'hui, je dirais que nous en avons 99% de nous maintenir". Le rugbython a permis de recueillir 100 000 euros supplémentaires.


Rugbyrama

Le Racing dans la cour des grands


Le Racing-Métro 92 évoluera en Top 14 la saison prochaine. La nouvelle est officielle depuis ce dimanche après-midi, avec la large victoire des Racingmen sur la pelouse de Bordeaux-Bègles (12-33), qui vient parachever une saison menée de main de maître par les hommes de Berbizier.


Le Racing a officiellement décroché son billet pour le Top 14, à quatre journées du terme de la Pro D2, sur la pelouse de Bordeaux-Bègles (33-12). Un succès pas si évident que cela à se dessiner, puisque les Ciel et blanc ont dû attendre les cinq dernières minutes pour se détacher définitivement au tableau d'affichage. Lagarde (4e, 26e) et Wisniewski (8e, 16e) rivalisent en effet de réussites au pied en première période, et seul un essai de Bobo (21e), qui profite en puissance d'un surnombre sur la gauche, permet aux leaders de compter sept points d'avance à la pause (13-6).

Assez largement dominateurs durant le premier acte, les Franciliens sont moins bien en seconde période, et se font même une belle frayeur à l'entame des dix dernières minutes. Lagarde a l'opportunité de ramener les deux formations à un point, à vingt-deux mètres face aux perches après une faute au sol. Mais le buteur béglais manque le coche (73e), au contraire de Mehrtens qui passe un drop magistral à quarante mètres des perches sur la gauche, au milieu de plusieurs joueurs locaux (75e, 19-12). Le coup de génie de l'ouvreur néo-zélandais, rentré à un quart d'heure du terme, éteint définitivement les ardeurs des Girondins, qui encaissent deux essais coup sur coup de Bobo à nouveau (78e, 26-12) puis de Berry (80e, 33-12), sur deux belles inspirations de Scarbrough à la passe.

Finalement à sa place ?

L'ampleur du score final est sévère pour les Béglais, mais rajoute un peu de panache à cette victoire historique pour le Racing, qui n'avait plus besoin que d'une seule victoire pour rejoindre l'élite. "Pour l'instant, on va surtout savourer, déclarait Jacky Lorenzetti au micro de Sport+ à la fin de la rencontre. Concernant le recrutement de Chabal et Nallet, on verra plus tard".

Plus tard, c'est-à-dire la saison prochaine, parmi l'élite. Une élite au sein de laquelle le Racing-Métro, plus gros budget de Pro D2, ne dépareillera pas. Annoncé vcomme le grand favori de la deuxième division à l'orée de cette saison, le club parisien aura su tenir son rang, la scène de la Pro D2 semblant bien souvent trop étroite pour ses larges épaules. Neuf ans plus tard, le club des Hauts de Seine retrouvent finalement une place qui semble lui ressembler davantage.


Sport.fr

val a écrit:

Le Racing dans la cour des grands

On le saura

Kawa a écrit:

val a écrit:

Le Racing dans la cour des grands

On le saura

Ils ont attendu... 10 ans. Il faut le dire

justement ils avaient l'habitude, ils auraient pu nous laisser la place avant que l'on s'habitue à la pro d 2

Kawa a écrit:

justement ils avaient l'habitude, ils auraient pu nous laisser la place avant que l'on s'habitue à la pro d 2

On va peut être les rejoindre.