Un intéressant article NéoZ du jour...

Où l'on apprend entre autre que Toulon avec Hayman, mais aussi Clermont (avec Lauaki?), Toulouse et le "bientôt promu" Agen... mettent le "paquet" pour faire venir le "All Black"... (il est question ici de dollars néo-zélandais)

All Blacks: Currency vs country

Unless reality bites in the crazy world of French rugby, New Zealand will undergo yet another exodus of players after next year's World Cup.

The clean-out could be massive and it won't be confined to the top tier of talent. For all that the French are talking about reducing foreign player numbers, the scramble for Carl Hayman shows the appetite for star names in the Top 14 is undiminished.

Nor have budgets been constrained by the recession. Hayman signed with Toulon for a reported $1.2 million a season. Clermont put $1 million on the table, Toulouse were not far behind and nor, supposedly, were soon-to-be-promoted Agen.

Next year the likes of Dan Carter, Richie McCaw, Mils Muliaina, Tony Woodcock and Ma'a Nonu will have to decide their post-Rugby World Cup futures. Inevitably, many of these senior All Blacks will leave, especially when they are offered enormous sums by French clubs. And it will be when, not if.

Others will retire. That's always the way around World Cups - the long servers are ready for a new challenge.

But what worries the New Zealand Rugby Union more in the wake of Hayman's decision to sign with Toulon is that their last line of defence has been breached.

The French have the spending power to render the lure of the black jersey redundant and in time it won't just be those players nearing the autumn of their careers who take the money.

Since the start of the professional age, the All Black jersey has been able to bridge the gap between the money on offer in New Zealand and the higher numbers in Europe. But the gap in the case of Hayman was thought to be around $600,000 - an enormous amount of money which the big prop felt he couldn't turn down.

"There has to be a value reached where the jersey no longer bridges the gap," says NZRU chief executive Steve Tew.

"We have been concerned about the money on offer in France for some time. The money offered by Toulon has no footing in reality. We don't know how they reach the values they do but they are owned by a private individual, so there is not much we can do."

New Zealand's top players have always had to determine the value of a test career against the greater money available overseas. Mostly, however, the choice has never been so explicitly presented.

The great names - Christian Cullen, Carlos Spencer, Jerry Collins, Andrew Mehrtens, Justin Marshall - headed offshore because the choice was removed; the black jersey was no longer an option. For them, and every other professional player, their goal was to make the All Blacks and stay there. Offshore stints were part of the picture but only came into the reckoning when test careers had clearly ended.

A part Agen je comprends rien
Merci qu'en même mais ca sert a rien(au moins pour moi) , mets le lien de l'article on doit pouvoir le traduire sur internet

Flavell (33 ans) en pré-retraite à Bayonne (source rugbyrama)
Le black va faire fureur sur les plages françaises cet été !

Voici le lien de l'article

http://www.nzherald.co.nz/all-blacks/news/article.cfm?c_id=116&objectid=10634907

Et une traduction rapide et plus ou moins fidèle de l'article faite par Google

Sauf les piqûres de la réalité dans le monde fou du rugby français, la Nouvelle-Zélande fera l'objet d'un autre exode de joueurs après mondiale de l'année prochaine Coupe.

Pour tout ce que les Français parlent de réduire le nombre de joueurs étrangers, la lutte pour Carl Hayman montre l'appétit pour les noms des étoiles dans le Top 14 est toujours la même.

Hayman signé avec Toulon pour une somme annoncée de 1,2 million la saison. Clermont mis 1 million de dollars sur la table, Toulouse n'était pas loin derrière et, ni, apparemment, ne tardèrent pas à être promu Agen.

L'an prochain, des gens comme Dan Carter, Richie McCaw, Mils Muliaina, Tony Woodcock et Ma'a Nonu auront à décider de leur post-Coupe du Monde de Rugby à terme. Inévitablement, un grand nombre de ces hauts All Blacks vont partir, surtout quand ils sont offerts des sommes énormes par les clubs français. Et ce sera quand, pas si.

D'autres prendront leur retraite. C'est toujours le moyen de contourner la Coupe du monde - les serveurs de temps sont prêts pour un nouveau défi.



Mais ce qui inquiète la Nouvelle-Zélande de rugby plus dans le sillage de la décision de Hayman à signer avec Toulon, c'est que leur dernière ligne de défense a été violé.

Les Français ont le pouvoir de dépenser pour rendre l'attrait de la redondance maillot noir et le temps, il ne sera pas seulement les joueurs sur le point de l'automne de leur carrière qui prennent l'argent.

Since the start of the professional age, the All Black jersey has been able Depuis le début de l'âge professionnel, le All Black maillot a été en mesure de combler l'écart entre les prix proposés en Nouvelle-Zélande et le nombre plus élevé en Europe. Mais l'écart dans le cas de Hayman a été estimée à environ 600.000 dollars - un montant énorme d'argent que la grande hélice a estimé qu'il ne pouvait pas refuser.

"Il doit y avoir une valeur atteint des ponts là où le maillot n'est plus le fossé», explique le directeur général Steve NZRU Tew.

"Nous avons été préoccupés par l'argent sur l'offre en France depuis un certain temps. L'argent offert par Toulon n'a pas de pied dans la réalité. Nous ne savons pas comment atteindre les valeurs qu'ils font, mais elles sont détenues par un particulier, il n'y n'est pas que nous pouvons faire. "

Les meilleurs joueurs de la Nouvelle-Zélande ont toujours eu pour déterminer la valeur d'une carrière d'essais contre le plus d'argent disponible à l'étranger. Généralement, cependant, le choix n'a jamais été aussi explicitement présenté.

Les grands noms - Christian Cullen, Carlos Spencer, Jerry Collins, Andrew Mehrtens, Justin Marshall - tête en mer parce que le choix a été enlevé; le maillot noir n'est plus une option. Pour eux, et tous les autres joueurs professionnels, leur but était de rendre les All Blacks et d'y rester. relais Offshore faisaient partie de l'image, mais seulement entré dans la prise en compte lors de carrières d'essai avait clairement pris fin.