Réactions sur Toulon / Agen (43-21)

BarDeLaPref a écrit:

Pour une fois le duo d'entraineurs ne s'est pas agité, n'a ni hurlé, ni bondi, ni gueulé après l'arbitre en bord de touche et l'on peut supputer que c'est grâce à ça qu'on a vu un peu de bonheur sur le pré ... Moi personnellement ça m'a fait des vacances ...

On peut également supputer l'inverse

Et bin que vous êtes pessimiste, ça doit pas être rose tous les jours avec vous...
Moi dans la vie, je suis sérieux mais je me marre et je suis d'un naturel optimiste...
Peut être trop, mais on m'a dit qu'il en faut !

tugudu a écrit:

On prend quand même 40 à 20 dans un match gigot-haricot... vous tirez pas des conclusions un peu hatives, là ?

Des maintenus comme Bordeaux, Grenoble ou le Stade Français ont fait pire dans leur dernier match gigot-haricot...

BarDeLaPref a écrit:

biguiz a écrit:

Il nous a déjà fait remonter de ProD2 à Top14, pourquoi tout d'un coup il aurait des envies de nous faire "monter" en Fédérale ?

Il nous a déjà fait revenir en proD2 ... Il est sur la bonne voie ...

Quelqu'un de bien élevé doit laisser la place dans l'état où il l'a trouvée.

Trinquetaille a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille, le retour s'est bien passé ?

Jamais l'expression "paix des braves" ne fut aussi appropriée que dans le bus du SUA s'en retournant vers la capitale de l'Agenais. Chacun dormant comme un gros poupon dans la chambre rose fushia d'une enfant sage à la veille de la remise des prix. Ici un grognement, là, un ronflement, ailleurs un cri étouffé, un appel à sa maman venu du fond d'un inconscient satisfait du devoir accompli. quel spectacle de voir Opéti assoupi à poings fermés tenant dans sa main un morceau du maillot arraché au grand Joni Après le rituel Pilou-Pilou, ce ne fut pas la pilée-pilée attendue. Non, ils n'avaient pas pris 100 points dans la musette, à peine 40 et quelques, comme tout le monde, comme une équipe normale, oserais-je avancer. ils avaient tous hâte de se retrouver lundi à l'entrainement pour se raconter leur match, loin des turpitudes de la semaine dernière. Tous ont tiré un trait sur cette jacquerie, il en sourient, satisfaits d'avoir obtenu une quinzaine de jours de repos supplémentaires pour leurs agents qui pour certains travaillent d'arrache-pied depuis fin aout 2012 pour leur trouver un nouveau club. Il n'y a pas d'autoroute entre Agen et la Cote Basque, l'hiver a été neigeux, ce métier difficile trouve enfin une reconnaissance dans le milieu parfois brut de décoffrage du rugby professionnel. Finalement, ce compromis original grandit le microcosme ovalien Mais au fait que devient l'entraineur en chef? Nous l'avions laissé au bord de la route, le pouce levé à la recherche d'un véhicule roulant vers Toulon. Bon, il a eu quelques soucis, l'autostop marche de moins en moins bien dans un monde où la suspicion prend le pas sur confiance. Rassurez-vous pour lui, le bus l'a récupéré au passage (et non pas au Passage), il s'est endormi comme ses compagnons, il rêve à la prochaine saison.

Un vrai plaisir que d'avoir accompagné le bus dans ses conditions, Trinquetaille...je pense qu'avec ce sens de l'épique qui te caractérise, tu pourrais nous raconter très avantageusement cette formidable saison...et en faire le best-seller de l'été agenais !

tugudu a écrit:

On prend quand même 40 à 20 dans un match gigot-haricot... vous tirez pas des conclusions un peu hatives, là ?

22 points d'écart entre une équipe de ProD2 en grève et le finaliste de la Coupe d'Europe, ça aurai largement pu être pire.

Leadwell a écrit:

tugudu a écrit:

On prend quand même 40 à 20 dans un match gigot-haricot... vous tirez pas des conclusions un peu hatives, là ?

22 points d'écart entre une équipe de ProD2 en grève et le finaliste de la Coupe d'Europe, ça aurai largement pu être pire.

Et pire, cela l'a été trop souvent cette saison.

Leadwell a écrit:

tugudu a écrit:

On prend quand même 40 à 20 dans un match gigot-haricot... vous tirez pas des conclusions un peu hatives, là ?

22 points d'écart entre une équipe de ProD2 en grève et le finaliste de la Coupe d'Europe, ça aurai largement pu être pire.

Oui il aurrai suffit que Toulon se batte pour survivre

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille, le retour s'est bien passé ?

Jamais l'expression "paix des braves" ne fut aussi appropriée que dans le bus du SUA s'en retournant vers la capitale de l'Agenais. Chacun dormant comme un gros poupon dans la chambre rose fushia d'une enfant sage à la veille de la remise des prix. Ici un grognement, là, un ronflement, ailleurs un cri étouffé, un appel à sa maman venu du fond d'un inconscient satisfait du devoir accompli. quel spectacle de voir Opéti assoupi à poings fermés tenant dans sa main un morceau du maillot arraché au grand Joni Après le rituel Pilou-Pilou, ce ne fut pas la pilée-pilée attendue. Non, ils n'avaient pas pris 100 points dans la musette, à peine 40 et quelques, comme tout le monde, comme une équipe normale, oserais-je avancer. ils avaient tous hâte de se retrouver lundi à l'entrainement pour se raconter leur match, loin des turpitudes de la semaine dernière. Tous ont tiré un trait sur cette jacquerie, il en sourient, satisfaits d'avoir obtenu une quinzaine de jours de repos supplémentaires pour leurs agents qui pour certains travaillent d'arrache-pied depuis fin aout 2012 pour leur trouver un nouveau club. Il n'y a pas d'autoroute entre Agen et la Cote Basque, l'hiver a été neigeux, ce métier difficile trouve enfin une reconnaissance dans le milieu parfois brut de décoffrage du rugby professionnel. Finalement, ce compromis original grandit le microcosme ovalien Mais au fait que devient l'entraineur en chef? Nous l'avions laissé au bord de la route, le pouce levé à la recherche d'un véhicule roulant vers Toulon. Bon, il a eu quelques soucis, l'autostop marche de moins en moins bien dans un monde où la suspicion prend le pas sur confiance. Rassurez-vous pour lui, le bus l'a récupéré au passage (et non pas au Passage), il s'est endormi comme ses compagnons, il rêve à la prochaine saison.

Un vrai plaisir que d'avoir accompagné le bus dans ses conditions, Trinquetaille...je pense qu'avec ce sens de l'épique qui te caractérise, tu pourrais nous raconter très avantageusement cette formidable saison...et en faire le best-seller de l'été agenais !

Moi, je pense qu'avec ces chroniques qui valent haut la main celles de Moscatto, tu pourais bien être très prochainement être contacté par les grosses écuries, peut être l'AB ! résiste ! J'ai vu aussi que le village de Trinquetraille vaut à lui tout seul une série aussi impressionante que les oeuvres complète de Paul Claudel...

jipé a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille, le retour s'est bien passé ?

Jamais l'expression "paix des braves" ne fut aussi appropriée que dans le bus du SUA s'en retournant vers la capitale de l'Agenais. Chacun dormant comme un gros poupon dans la chambre rose fushia d'une enfant sage à la veille de la remise des prix. Ici un grognement, là, un ronflement, ailleurs un cri étouffé, un appel à sa maman venu du fond d'un inconscient satisfait du devoir accompli. quel spectacle de voir Opéti assoupi à poings fermés tenant dans sa main un morceau du maillot arraché au grand Joni Après le rituel Pilou-Pilou, ce ne fut pas la pilée-pilée attendue. Non, ils n'avaient pas pris 100 points dans la musette, à peine 40 et quelques, comme tout le monde, comme une équipe normale, oserais-je avancer. ils avaient tous hâte de se retrouver lundi à l'entrainement pour se raconter leur match, loin des turpitudes de la semaine dernière. Tous ont tiré un trait sur cette jacquerie, il en sourient, satisfaits d'avoir obtenu une quinzaine de jours de repos supplémentaires pour leurs agents qui pour certains travaillent d'arrache-pied depuis fin aout 2012 pour leur trouver un nouveau club. Il n'y a pas d'autoroute entre Agen et la Cote Basque, l'hiver a été neigeux, ce métier difficile trouve enfin une reconnaissance dans le milieu parfois brut de décoffrage du rugby professionnel. Finalement, ce compromis original grandit le microcosme ovalien Mais au fait que devient l'entraineur en chef? Nous l'avions laissé au bord de la route, le pouce levé à la recherche d'un véhicule roulant vers Toulon. Bon, il a eu quelques soucis, l'autostop marche de moins en moins bien dans un monde où la suspicion prend le pas sur confiance. Rassurez-vous pour lui, le bus l'a récupéré au passage (et non pas au Passage), il s'est endormi comme ses compagnons, il rêve à la prochaine saison.

Un vrai plaisir que d'avoir accompagné le bus dans ses conditions, Trinquetaille...je pense qu'avec ce sens de l'épique qui te caractérise, tu pourrais nous raconter très avantageusement cette formidable saison...et en faire le best-seller de l'été agenais !

Moi, je pense qu'avec ces chroniques qui valent haut la main celles de Moscatto, tu pourais bien être très prochainement être contacté par les grosses écuries, peut être l'AB ! résiste ! J'ai vu aussi que le village de Trinquetraille vaut à lui tout seul une série aussi impressionante que les oeuvres complète de Paul Claudel...

Ce petit jeu m'a beaucoup amusé aussi et j'ai bien envie de le reprendre la saison prochaine sous forme d'une chronique hebdomadaire. N'oublions pas que le Sporting est bien plus qu'un club, il nous donne de la joie, de la colère, des frustrations mais jamais de la lassitude.

Trinquetaille a écrit:

jipé a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille, le retour s'est bien passé ?

Jamais l'expression "paix des braves" ne fut aussi appropriée que dans le bus du SUA s'en retournant vers la capitale de l'Agenais. Chacun dormant comme un gros poupon dans la chambre rose fushia d'une enfant sage à la veille de la remise des prix. Ici un grognement, là, un ronflement, ailleurs un cri étouffé, un appel à sa maman venu du fond d'un inconscient satisfait du devoir accompli. quel spectacle de voir Opéti assoupi à poings fermés tenant dans sa main un morceau du maillot arraché au grand Joni Après le rituel Pilou-Pilou, ce ne fut pas la pilée-pilée attendue. Non, ils n'avaient pas pris 100 points dans la musette, à peine 40 et quelques, comme tout le monde, comme une équipe normale, oserais-je avancer. ils avaient tous hâte de se retrouver lundi à l'entrainement pour se raconter leur match, loin des turpitudes de la semaine dernière. Tous ont tiré un trait sur cette jacquerie, il en sourient, satisfaits d'avoir obtenu une quinzaine de jours de repos supplémentaires pour leurs agents qui pour certains travaillent d'arrache-pied depuis fin aout 2012 pour leur trouver un nouveau club. Il n'y a pas d'autoroute entre Agen et la Cote Basque, l'hiver a été neigeux, ce métier difficile trouve enfin une reconnaissance dans le milieu parfois brut de décoffrage du rugby professionnel. Finalement, ce compromis original grandit le microcosme ovalien Mais au fait que devient l'entraineur en chef? Nous l'avions laissé au bord de la route, le pouce levé à la recherche d'un véhicule roulant vers Toulon. Bon, il a eu quelques soucis, l'autostop marche de moins en moins bien dans un monde où la suspicion prend le pas sur confiance. Rassurez-vous pour lui, le bus l'a récupéré au passage (et non pas au Passage), il s'est endormi comme ses compagnons, il rêve à la prochaine saison.

Un vrai plaisir que d'avoir accompagné le bus dans ses conditions, Trinquetaille...je pense qu'avec ce sens de l'épique qui te caractérise, tu pourrais nous raconter très avantageusement cette formidable saison...et en faire le best-seller de l'été agenais !

Moi, je pense qu'avec ces chroniques qui valent haut la main celles de Moscatto, tu pourais bien être très prochainement être contacté par les grosses écuries, peut être l'AB ! résiste ! J'ai vu aussi que le village de Trinquetraille vaut à lui tout seul une série aussi impressionante que les oeuvres complète de Paul Claudel...

Ce petit jeu m'a beaucoup amusé aussi et j'ai bien envie de le reprendre la saison prochaine sous forme d'une chronique hebdomadaire. N'oublions pas que le Sporting est bien plus qu'un club, il nous donne de la joie, de la colère, des frustrations mais jamais de la lassitude.

Avec joie...on ne va pas s'ennuyer en découvrant avec tes chroniques quelques obscurs coins de notre chère Ovalie !

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

jipé a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille, le retour s'est bien passé ?

Jamais l'expression "paix des braves" ne fut aussi appropriée que dans le bus du SUA s'en retournant vers la capitale de l'Agenais. Chacun dormant comme un gros poupon dans la chambre rose fushia d'une enfant sage à la veille de la remise des prix. Ici un grognement, là, un ronflement, ailleurs un cri étouffé, un appel à sa maman venu du fond d'un inconscient satisfait du devoir accompli. quel spectacle de voir Opéti assoupi à poings fermés tenant dans sa main un morceau du maillot arraché au grand Joni Après le rituel Pilou-Pilou, ce ne fut pas la pilée-pilée attendue. Non, ils n'avaient pas pris 100 points dans la musette, à peine 40 et quelques, comme tout le monde, comme une équipe normale, oserais-je avancer. ils avaient tous hâte de se retrouver lundi à l'entrainement pour se raconter leur match, loin des turpitudes de la semaine dernière. Tous ont tiré un trait sur cette jacquerie, il en sourient, satisfaits d'avoir obtenu une quinzaine de jours de repos supplémentaires pour leurs agents qui pour certains travaillent d'arrache-pied depuis fin aout 2012 pour leur trouver un nouveau club. Il n'y a pas d'autoroute entre Agen et la Cote Basque, l'hiver a été neigeux, ce métier difficile trouve enfin une reconnaissance dans le milieu parfois brut de décoffrage du rugby professionnel. Finalement, ce compromis original grandit le microcosme ovalien Mais au fait que devient l'entraineur en chef? Nous l'avions laissé au bord de la route, le pouce levé à la recherche d'un véhicule roulant vers Toulon. Bon, il a eu quelques soucis, l'autostop marche de moins en moins bien dans un monde où la suspicion prend le pas sur confiance. Rassurez-vous pour lui, le bus l'a récupéré au passage (et non pas au Passage), il s'est endormi comme ses compagnons, il rêve à la prochaine saison.

Un vrai plaisir que d'avoir accompagné le bus dans ses conditions, Trinquetaille...je pense qu'avec ce sens de l'épique qui te caractérise, tu pourrais nous raconter très avantageusement cette formidable saison...et en faire le best-seller de l'été agenais !

Moi, je pense qu'avec ces chroniques qui valent haut la main celles de Moscatto, tu pourais bien être très prochainement être contacté par les grosses écuries, peut être l'AB ! résiste ! J'ai vu aussi que le village de Trinquetraille vaut à lui tout seul une série aussi impressionante que les oeuvres complète de Paul Claudel...

Ce petit jeu m'a beaucoup amusé aussi et j'ai bien envie de le reprendre la saison prochaine sous forme d'une chronique hebdomadaire. N'oublions pas que le Sporting est bien plus qu'un club, il nous donne de la joie, de la colère, des frustrations mais jamais de la lassitude.

Avec joie...on ne va pas s'ennuyer en découvrant avec tes chroniques quelques obscurs coins de notre chère Ovalie !

Tes chroniques sont fluides, joviales, tu as du talent, c'est clair. Tu es comme la ligne de 3/4 du SUA dans les années 80 !

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

jipé a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille a écrit:

Pat de Mérignac a écrit:

Trinquetaille, le retour s'est bien passé ?

Jamais l'expression "paix des braves" ne fut aussi appropriée que dans le bus du SUA s'en retournant vers la capitale de l'Agenais. Chacun dormant comme un gros poupon dans la chambre rose fushia d'une enfant sage à la veille de la remise des prix. Ici un grognement, là, un ronflement, ailleurs un cri étouffé, un appel à sa maman venu du fond d'un inconscient satisfait du devoir accompli. quel spectacle de voir Opéti assoupi à poings fermés tenant dans sa main un morceau du maillot arraché au grand Joni Après le rituel Pilou-Pilou, ce ne fut pas la pilée-pilée attendue. Non, ils n'avaient pas pris 100 points dans la musette, à peine 40 et quelques, comme tout le monde, comme une équipe normale, oserais-je avancer. ils avaient tous hâte de se retrouver lundi à l'entrainement pour se raconter leur match, loin des turpitudes de la semaine dernière. Tous ont tiré un trait sur cette jacquerie, il en sourient, satisfaits d'avoir obtenu une quinzaine de jours de repos supplémentaires pour leurs agents qui pour certains travaillent d'arrache-pied depuis fin aout 2012 pour leur trouver un nouveau club. Il n'y a pas d'autoroute entre Agen et la Cote Basque, l'hiver a été neigeux, ce métier difficile trouve enfin une reconnaissance dans le milieu parfois brut de décoffrage du rugby professionnel. Finalement, ce compromis original grandit le microcosme ovalien Mais au fait que devient l'entraineur en chef? Nous l'avions laissé au bord de la route, le pouce levé à la recherche d'un véhicule roulant vers Toulon. Bon, il a eu quelques soucis, l'autostop marche de moins en moins bien dans un monde où la suspicion prend le pas sur confiance. Rassurez-vous pour lui, le bus l'a récupéré au passage (et non pas au Passage), il s'est endormi comme ses compagnons, il rêve à la prochaine saison.

Un vrai plaisir que d'avoir accompagné le bus dans ses conditions, Trinquetaille...je pense qu'avec ce sens de l'épique qui te caractérise, tu pourrais nous raconter très avantageusement cette formidable saison...et en faire le best-seller de l'été agenais !

Moi, je pense qu'avec ces chroniques qui valent haut la main celles de Moscatto, tu pourais bien être très prochainement être contacté par les grosses écuries, peut être l'AB ! résiste ! J'ai vu aussi que le village de Trinquetraille vaut à lui tout seul une série aussi impressionante que les oeuvres complète de Paul Claudel...

Ce petit jeu m'a beaucoup amusé aussi et j'ai bien envie de le reprendre la saison prochaine sous forme d'une chronique hebdomadaire. N'oublions pas que le Sporting est bien plus qu'un club, il nous donne de la joie, de la colère, des frustrations mais jamais de la lassitude.

Avec joie...on ne va pas s'ennuyer en découvrant avec tes chroniques quelques obscurs coins de notre chère Ovalie !

Tes chroniques sont fluides, joviales, tu as du talent, c'est clair. Tu es comme la ligne de 3/4 du SUA dans les années 80 !

Publié le 06/05/2013 à 06h00
Par frédéric cormary - Sud Ouest



Fonua, le bulldozer





Il a mis Wilkinson et Rossouw sur les fesses. Le 3e ligne est une arme que le SU Agen espère toujours conserver.

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Il aurait pu être le héros malheureux de la soirée. Celui qui aurait privé Jonny Wilkinson de finale de H-Cup à cause d’un raffut qui a propulsé à terre le chouchou de tout le peuple varois (42e). Mais l’ouvreur anglais s’en est sorti avec une grosse frayeur et s’est relevé indemne. Alors Opeti Fonua a récidivé dix minutes plus tard avec un énorme « tampon » sur Daniel Rossouw. Malgré ses 62 sélections, le troisième ligne centre international sud-africain a aussi « volé en éclats ». Deux charges du n°8 du SUA - avec le 24 dans le dos samedi - qui ont marqué les esprits.

Auteur d’un gros match, le bulldozer tonguien a été récompensé par son second essai de la saison juste avant le coup de sifflet final. « On a vu notamment une très jolie seconde mi-temps d’Opeti Fonua », convient l’entraîneur des avants Mathieu Blin. Le troisième ligne a été de tous les bons coups et à coup sûr le meilleur agenais samedi sur la pelouse de Mayol.

Une semaine décisive
« Opeti, on connaît ses qualités. Il a un nombre d’actions très limité, mais à chaque fois qu’il touche le ballon il fracasse le joueur en face », sourit son compère de la troisième ligne Rémi Vaquin. En trois saisons seulement de Top 14, le colosse tonguien (1,97 m ; 140 kg) se sera offert un joli tableau de chasse avec notamment Masoe, Chabal et donc désormais Wilkinson et Rossouw.

Malgré ses problèmes de poids qui jouent de mauvais tours à sa musculature, Opeti Fonua s’est fait une solide réputation en Top 14 où Perpignan et Bayonne lui font les yeux doux. Mais le SUA ne désespère pas de le conserver en Pro D2. « La volonté du club a toujours été de le garder (il est sous contrat jusqu’en 2014, mais dispose d’une clause libératoire, NDLR), insiste Mathieu Blin. Il y a eu un engagement de pris de la part du SUA et lui s’est donné les moyens d’être dans une meilleure condition physique. J’espère que les choses vont se finaliser durant la semaine. »

Espérons !!!

Difficile d'y croire...l'AB a consolidé son budget et devrait logiquement récupérer Fa'aoso (...une fois calée l'indemnité !) et Fonua (...avec un contrat à "clause de performance" (source Midol )

Pat de Mérignac a écrit:

Difficile d'y croire...l'AB a consolidé son budget et devrait logiquement récupérer Fa'aoso (...une fois calée l'indemnité !) et Fonua (...avec un contrat à "clause de performance" (source Midol )

Il faut caler l'indemnité de Fa 'Aoso ? Boff c'est rien çà comme problème !!C'est comme si c'était fait !!

Et si le SUA ne demandait qu'une indemnité symbolique pour tout club interressé par Fa'Aoso , sauf si c'est ... suivez mon regard !!

Le Stade Français devrait avoir les moyens de payer, faudrait aussi creuser cette piste.

El Farfadet a écrit:

Le Stade Français devrait avoir les moyens de payer, faudrait aussi creuser cette piste.

Je pense surtout au club qui accompagnera Oyonnax : Pau, Brive ou La Rochelle ?

La côte de Fonua doit exploser (c'est le cas de le dire) depuis ce week-end grâce à son "petit déblayage" sur Jonny
va pas être facile de le garder... Quoique, puisque paraît-il c'est les joueurs qui fixent leur salaire à Agen

Pat de Mérignac a écrit:

Difficile d'y croire...l'AB a consolidé son budget et devrait logiquement récupérer Fa'aoso (...une fois calée l'indemnité !) et Fonua (...avec un contrat à "clause de performance" (source Midol )

moi ce qui m interpelle c est la clause de performance !? comme c est difficile à evaluer uen performance j imagien que le plus simple des critere sera la balance ! l affaire falefa fera t elle jurisprudence et permettre aux clubs de demander une obligation de "maintien d un poids de forme toute la saison à +- 5kg d un poids moyen ?

comme koi en france c est toujours pareil, faut attendre d etre devant un mur pour prevoir des solutions

Vous oubliez les 2 piliers sur le **_** pour l'essai d'Opéti a la 79ème, en plus de Rousow et Willk.... sacré match de notre numéro 8 J'ai bien aimé Tian, Dupuy et Giraud aussi.

superman(agen) a écrit:

Vous oubliez les 2 piliers sur le **_** pour l'essai d'Opéti a la 79ème, en plus de Rousow et Willk.... sacré match de notre numéro 8 .

C'est ce qui a décidé Lanta de lui donner une chance à Bayonne.

Ben j'espère qu'il vont le garder au SUA sans clauses . L'affaire de Wilko amuse bien nos tongiens sur les réseaux sociaux. Ce n'était pas méchant, mais c'est vrai qu'il a giclé comme un bouchon de champ...