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 Alexi Balès et la fameuse génération 90

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gir3347
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MessageSujet: Alexi Balès et la fameuse génération 90   Alexi Balès et la fameuse génération 90 Default12Jeu 16 Jan 2014 - 8:20

Alexi Balès et la fameuse génération 90


Publié le 15/01/2014 à 03:47 - Le Petit Bleu

l'interview décalée. Alexi Balès


Alexi Balès et la fameuse génération 90 201401150177-full

« Petit Balo » s'est fait un nom au sein du SUA rugby./Photo archives
Zoomer

Alexi Balès, l’un des rares joueurs natifs de Lot-et-Garonne, s’est fait un nom au sein du club d’Agen. Plusieurs sélections avec l’Equipe de France des moins de 20 ans, des matches pleins avec l’équipe du SUALG, «Petit Balo» monte en puissance. Première interview de l’année.

Alexi, qu’aimes-tu faire en dehors du rugby ?
Je vais souvent au cinéma, je joue beaucoup à la play, des jeux de guerre style Call of duty, je suis un vrai geek ! Je joue souvent à la coinche. Avec Mathieu (Lamoulie), on est redoutable.

La première chose que tu fais le matin ?
Je me regarde dans la glace pour voir s’il n’y a pas trop d’épis qui se battent.

Tu écoutes quoi comme musique ?
Beaucoup de musique d’aujourd’hui, j’aime bien Goldman, Les Enfoirés, ou Cabrel pour faire plus régional.

Un film culte ?
«Les Bronzés», un grand classique. Dernièrement, j’ai vu «Capitaine Phillips» avec Tom Hanks, j’ai beaucoup aimé.

Séries ?
Oui, «Dexter», «Homeland», et toutes les bonnes séries qui passent sur Canal.

Tes lectures ?
Je lis beaucoup le «Midol» et «Le Petit Bleu». Mais en ce moment, je lis surtout des bouquins pour ma reconversion professionnelle.

Et tu as une idée de ta vie après le rugby ?
Justement non, ça me fait un peu peur, j’y réfléchis beaucoup. J’ai passé un BTS électronique mais je n’ai pas été très emballé par ma formation. J’aimerais bien rester dans le domaine du sport.

Tu cuisines ?
J’essaie de m’y mettre un peu. Ma copine cuisine très bien, donc j’essaie de la suivre.

Un plat favori ?
Le magret au miel.

Tu passes beaucoup de temps sur internet ?
Sur mon mobile, oui. «Rugbyrama», tweeter, facebook…

Et Candy crush ?
Oui, mais c’était presque une maladie, j’étais vraiment trop accro donc j’ai dû arrêter pour préserver mon couple ! (rires)

Un péché mignon ?
Je suis très mauvais perdant, c’est un vilain défaut que j’ai.

Ton dernier coup de gueule ?
Peut-être à Aurillac, on se fait voler le match, mais on ne peut rien dire parce que l’arbitre a toujours raison. J’ai mal vécu ce sentiment d’injustice. Ça a été un gros coup de colère mais il est resté à l’intérieur. Mais dans l’ensemble, je suis quelqu’un de très calme.

Une phobie ?
Les serpents.

La plus grosse bêtise que tu aies faite ?
J’avais un an et demi, je marchais à peine. Mon père venait de quitter la maison. J’ai voulu le suivre à tout prix. J’ai échappé à la vigilance de ma mère et je suis sorti. Quelques minutes après, on m’a rattrapé de justesse tout près de la voie ferrée et d’un ruisseau profond.

Un surnom ?
«Balo».

Un tatouage ?
Non, je n’aime pas trop ça.

Les vacances ?
J’aime autant la mer que la montagne.

Ton enfance ?
Je suis né à Fumel, j’ai grandi aux côtés d’un grand frère avec lequel j’ai toujours été très complice. Il joue encore aujourd’hui à Sainte-Foy-la-Grande. C’est lui qui m’a appris à jouer au rugby, à faire mes premières passes dans le jardin. Quand je fais des choses sur le terrain, j’ai toujours une pensée pour lui.

La famille ?
Mon père travaille dans une usine de chaux. Ma mère est employée de banque à Libos. Je n’ai pas d’enfant, je vis avec Pauline qui est photographe.

Ton parcours rugbystique ?
J’ai commencé le rugby à Saint- Front-sur-Lémance dont mon père était président du club. J’étais en catégorie lutin, encore avant minipoussins ! Ma famille a toujours été très rugby, du côté de ma mère comme de mon père. Ensuite j’ai fait l’école de rugby à Fumel et je suis venu à Agen en cadets.

Ton meilleur souvenir de rugby ?
Le titre de champion de France avec les Crabos contre Mont-de-Marsan. On était un super groupe de copains, la fameuse génération 90 avec Antoine Erbani, Mathieu Lamoulie, Benjamin Petre, Brice Dulin… Mais cette joie a été quelque part ternie par la défaite et l’élimination en demi-finale du SUA contre Oyonnax à Armandie le même jour. Le contraste était terrible.

Ton plus mauvais ?
La descente l’an dernier.

Un stade où tu as particulièrement aimé jouer ?
Je suis supporteur des Girondins. Le fait de jouer à Chaban-Delmas l’an dernier a été un moment fort pour moi malgré la lourde défaite.

Un joueur modèle ?
Même s’il ne joue pas à mon poste, Jonah Lomu. Il a été l’un des joueurs qui m’a le plus impressionné.

Le meilleur joueur aujourd’hui ?
J’aime beaucoup Mac Allister. C’est le plus complet. Il sait tout faire. Il est technique, il a une bonne vision du jeu.

Ton plus bel essai ?
Les gens me parlent souvent de l’essai contre Toulouse l’an dernier. La consécration d’un match abouti.

Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’actualité récente ?
La mort de Mandela, surtout avec les Sud Af’du club qui ont été marqués. ça m’a fait réaliser à quel point c’était un grand monsieur.

Ton rêve le plus fou ?
court terme, remonter en Top 14 avec le SUA. Ce serait déjà pas mal.

Quel joueur de l’équipe emmènerais-tu sur une île déserte ?
Laurent Cabarry. Parce qu’il sait tout faire. Quand on a besoin de quelque chose, de bricoler, d’un bon plan, on fait toujours appel à Lolo.

Une citation ?
Je me souviens de cette phrase qui était inscrite en gros sur les murs de Marcoussis : «Si tu veux être un champion du monde, entraîne-toi comme un champion du monde.»

Question de Raphaël Lagarde

D’où te vient ce surnom de «poulet sans tête» ?
(rires). Il n’y a que lui qui m’appelle comme cela ! Apparemment, quand je cours, il trouve que ma tête ne va pas avec mes jambes, c’est pour ça qu’il me donne ce surnom !

Propos recueillis par Laurent Gaultier
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MessageSujet: Re: Alexi Balès et la fameuse génération 90   Alexi Balès et la fameuse génération 90 Default12Jeu 16 Jan 2014 - 12:32

gir3347 a écrit:
Alexi Balès et la fameuse génération 90


Publié le 15/01/2014 à 03:47 - Le Petit Bleu

l'interview décalée. Alexi Balès


Alexi Balès et la fameuse génération 90 201401150177-full

« Petit Balo » s'est fait un nom au sein du SUA rugby./Photo archives
Zoomer

Alexi Balès, l’un des rares joueurs natifs de Lot-et-Garonne, s’est fait un nom au sein du club d’Agen. Plusieurs sélections avec l’Equipe de France des moins de 20 ans, des matches pleins avec l’équipe du SUALG, «Petit Balo» monte en puissance. Première interview de l’année.

Alexi, qu’aimes-tu faire en dehors du rugby ?
Je vais souvent au cinéma, je joue beaucoup à la play, des jeux de guerre style Call of duty, je suis un vrai geek ! Je joue souvent à la coinche. Avec Mathieu (Lamoulie), on est redoutable.

La première chose que tu fais le matin ?
Je me regarde dans la glace pour voir s’il n’y a pas trop d’épis qui se battent.

Tu écoutes quoi comme musique ?
Beaucoup de musique d’aujourd’hui, j’aime bien Goldman, Les Enfoirés, ou Cabrel pour faire plus régional.

Un film culte ?
«Les Bronzés», un grand classique. Dernièrement, j’ai vu «Capitaine Phillips» avec Tom Hanks, j’ai beaucoup aimé.

Séries ?
Oui, «Dexter», «Homeland», et toutes les bonnes séries qui passent sur Canal.

Tes lectures ?
Je lis beaucoup le «Midol» et «Le Petit Bleu». Mais en ce moment, je lis surtout des bouquins pour ma reconversion professionnelle.

Et tu as une idée de ta vie après le rugby ?
Justement non, ça me fait un peu peur, j’y réfléchis beaucoup. J’ai passé un BTS électronique mais je n’ai pas été très emballé par ma formation. J’aimerais bien rester dans le domaine du sport.

Tu cuisines ?
J’essaie de m’y mettre un peu. Ma copine cuisine très bien, donc j’essaie de la suivre.

Un plat favori ?
Le magret au miel.

Tu passes beaucoup de temps sur internet ?
Sur mon mobile, oui. «Rugbyrama», tweeter, facebook…

Et Candy crush ?
Oui, mais c’était presque une maladie, j’étais vraiment trop accro donc j’ai dû arrêter pour préserver mon couple ! (rires)

Un péché mignon ?
Je suis très mauvais perdant, c’est un vilain défaut que j’ai.

Ton dernier coup de gueule ?
Peut-être à Aurillac, on se fait voler le match, mais on ne peut rien dire parce que l’arbitre a toujours raison. J’ai mal vécu ce sentiment d’injustice. Ça a été un gros coup de colère mais il est resté à l’intérieur. Mais dans l’ensemble, je suis quelqu’un de très calme.

Une phobie ?
Les serpents.

La plus grosse bêtise que tu aies faite ?
J’avais un an et demi, je marchais à peine. Mon père venait de quitter la maison. J’ai voulu le suivre à tout prix. J’ai échappé à la vigilance de ma mère et je suis sorti. Quelques minutes après, on m’a rattrapé de justesse tout près de la voie ferrée et d’un ruisseau profond.

Un surnom ?
«Balo».

Un tatouage ?
Non, je n’aime pas trop ça.

Les vacances ?
J’aime autant la mer que la montagne.

Ton enfance ?
Je suis né à Fumel, j’ai grandi aux côtés d’un grand frère avec lequel j’ai toujours été très complice. Il joue encore aujourd’hui à Sainte-Foy-la-Grande. C’est lui qui m’a appris à jouer au rugby, à faire mes premières passes dans le jardin. Quand je fais des choses sur le terrain, j’ai toujours une pensée pour lui.

La famille ?
Mon père travaille dans une usine de chaux. Ma mère est employée de banque à Libos. Je n’ai pas d’enfant, je vis avec Pauline qui est photographe.

Ton parcours rugbystique ?
J’ai commencé le rugby à Saint- Front-sur-Lémance dont mon père était président du club. J’étais en catégorie lutin, encore avant minipoussins ! Ma famille a toujours été très rugby, du côté de ma mère comme de mon père. Ensuite j’ai fait l’école de rugby à Fumel et je suis venu à Agen en cadets.

Ton meilleur souvenir de rugby ?
Le titre de champion de France avec les Crabos contre Mont-de-Marsan. On était un super groupe de copains, la fameuse génération 90 avec Antoine Erbani, Mathieu Lamoulie, Benjamin Petre, Brice Dulin… Mais cette joie a été quelque part ternie par la défaite et l’élimination en demi-finale du SUA contre Oyonnax à Armandie le même jour. Le contraste était terrible.

Ton plus mauvais ?
La descente l’an dernier.

Un stade où tu as particulièrement aimé jouer ?
Je suis supporteur des Girondins. Le fait de jouer à Chaban-Delmas l’an dernier a été un moment fort pour moi malgré la lourde défaite.

Un joueur modèle ?
Même s’il ne joue pas à mon poste, Jonah Lomu. Il a été l’un des joueurs qui m’a le plus impressionné.

Le meilleur joueur aujourd’hui ?
J’aime beaucoup Mac Allister. C’est le plus complet. Il sait tout faire. Il est technique, il a une bonne vision du jeu.

Ton plus bel essai ?
Les gens me parlent souvent de l’essai contre Toulouse l’an dernier. La consécration d’un match abouti.

Qu’est-ce qui t’a marqué dans l’actualité récente ?
La mort de Mandela, surtout avec les Sud Af’du club qui ont été marqués. ça m’a fait réaliser à quel point c’était un grand monsieur.

Ton rêve le plus fou ?
court terme, remonter en Top 14 avec le SUA. Ce serait déjà pas mal.

Quel joueur de l’équipe emmènerais-tu sur une île déserte ?
Laurent Cabarry. Parce qu’il sait tout faire. Quand on a besoin de quelque chose, de bricoler, d’un bon plan, on fait toujours appel à Lolo.

Une citation ?
Je me souviens de cette phrase qui était inscrite en gros sur les murs de Marcoussis : «Si tu veux être un champion du monde, entraîne-toi comme un champion du monde.»

Question de Raphaël Lagarde

[b]D’où te vient ce surnom de «poulet sans tête» ?
[/b]
(rires). Il n’y a que lui qui m’appelle comme cela ! Apparemment, quand je cours, il trouve que ma tête ne va pas avec mes jambes, c’est pour ça qu’il me donne ce surnom !

Propos recueillis par Laurent Gaultier

eh bé, c'est logique, allo koi !
un poulet s'entète toujours ( à trouver le coupable)
bon, je  Alexi Balès et la fameuse génération 90 Flowers
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