Infos Bourgoin (2009-2010)

L'union sacrée des joueurs

Alors que Bourgoin est en grande difficulté financière, les joueurs du CSBJ étudieront une possible baisse de leurs salaires, condition posée par un potentiel repreneur.

Bourgoin n'est pas encore mort. Dans l'attente de la possible venue de Gaston Maulin à la tête du club isérois, les joueurs réfléchissent à une baisse de leur salaire. «On va se réunir cet après-midi (vendredi) pour discuter de cela. Chaque joueur doit voir individuellement ce qui lui parait le mieux. On va le faire pendant la mise au vert précédant le match contre Biarritz, qui est très important malgré tout», a déclaré le capitaine Julien Frier.



Une baisse de 16 à 18 %
Le candidat repreneur, l'ancien président du club Gaston Maulin, s'est manifesté pour injecter jusqu'à 700.000 euros dans le CS Bourgoin-Jallieu, à condition que les joueurs acceptent une baisse de 16 à 18% de leurs salaires. Gaston Maulin, 77 ans, déjà président du club dans les années 70 et patron d'une holding chapeautant une vingtaine de sociétés, s'est déclaré prêt à injecter 700.000 euros de recettes publicitaires au bénéfice du club, auxquels il faut ajouter une subvention de 500.000 euros du Conseil général de l'Isère.


L'Equipe

CSBJ: Baisse des salaires

Les joueurs et les entraîneurs de Bourgoin, en grande difficulté financière, ont indiqué vendredi dans un communiqué dicté qu'ils acceptaient, "dans l'intérêt unique et exclusif du club", la baisse de leur masse salariale, condition posée par un potentiel repreneur.

Bourgoin: La "drôle" de clause Martinet...

A l'heure où le CSBJ cherche un miracle pour sauver sa peau dans l'élite, on commence à en savoir un peu plus sur les raisons, qui ont finalement poussé la société GL Events à renoncer à son plan de reprise du club isérois. Ainsi, selon le quotidien régional Le Progrès, l'audit diligenté par l'entreprise aurait notamment mis à jour une clause très spécifique liée à l'ancien président de la SASP, Pierre Martinet, qui avait cédé le club à l'association en février dernier. Une clause dite de retour à meilleure fortune exigée par le "traiteur intraitable" lui permettant durant les dix prochaines années de récupérer sa mise (5 millions d'euros), à l'instant même où le CSBJ dégagerait du bénéfice. On en est aujourd'hui très loin...


Sport.fr

val a écrit:

CSBJ: Baisse des salaires

Les joueurs et les entraîneurs de Bourgoin, en grande difficulté financière, ont indiqué vendredi dans un communiqué dicté qu'ils acceptaient, "dans l'intérêt unique et exclusif du club", la baisse de leur masse salariale, condition posée par un potentiel repreneur.

CSBJ: Revol satisfait

Le président de la LNR, Pierre-Yves Revol, a salué vendredi la baisse de la masse salariale acceptée par les joueurs de Bourgoin, condition posée par un potentiel repreneur, estimant que cette décision "était de nature à dénouement de la crise."

"Je pense que c'est un signe très positif et j'espère qu'il permettra de dénouer la situation de crise en début de semaine prochaine", a déclaré M. Revol, joint au téléphone par l'AFP.

Bourgoin : Maulin cherche 700 000€

Gaston Maulin sera le futur président de Bourgoin chargé de trouver 700 000 euros. Une mission compliquée pour cet homme de 77 ans. « Je me suis engagé vis-à-vis de tout le monde, à trouver cette somme ou à la couvrir moi-même », dit-il dans les colonnes du Dauphiné.

« Après l'électrochoc du retrait d'Olivier Ginon et de GL Events, le club est mort, explique Gaston Maulin dans le Dauphiné. Il fallait un type un peu anormal pour dire « On va le remettre en route », je peux donc être la solution mais pour la première fois de ma vie j'ai été obligé de proposer à des gens de diminuer leurs salaires. Mais il s'agit de la survie du CSBJ. Pour la DNACG, il fallait amener une garantie de 2,2 M€. La Ligue, grâce à Pierre-Yves Revol, a accepté que les 500 000 € versés par le conseil général, qui devaient valoir sur 3 ou 4 ans, soient pris en considération pour boucler le budget. La diminution de la masse salariale est de 1M€, il manque donc 700 000 €. Je me suis engagé vis-à-vis de tout le monde, à trouver cette somme ou à la couvrir moi-même. »

Rugby365

mais que fait Provale ?

vous savez ceux qui aboyaient sur le SUA à l'automne 2007 parce que 4 joueurs étaient libérés (sans perte de salaire).

On ne les entend pas pour défendre les employés du CSBJ !

Est-il plus facile de taper sur un club de D2 souvent mal aimé que sur un club de TOP 14 ?

Réunion à Bourgoin

Une réunion est prévue mardi à Bourgoin entre la direction du club isérois et des membres de la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG), a indiqué samedi Gaston Maulin, potentiel repreneur du club en grande difficulté financière.

"Les membres de la Ligue et de la DNACG descendent mardi à Bourgoin pour finaliser notre situation et j'espère bien que l'issue sera favorable", a déclaré M. Maulin à l'issue de la victoire (22-17) de Bourgoin contre Biarritz.

Gaston Maulin, 77 ans, déjà président du club dans les années 70 et patron d'une holding chapeautant une vingtaine de sociétés, s'est déclaré prêt à injecter 700.000 euros de recettes publicitaires au bénéfice du club, à condition que le club parvienne à une baise de 15 à 18% de sa masse salariale. Vendredi, les joueurs et entraîneurs ont annoncé qu'ils consentaient à cet effort "dans l'intérêt unique et exclusif du club."

"C'était 20 Berjalliens contre 30 Biarrots !", a commenté M. Maulin à l'issue de la rencontre. Les joueurs ont véritablement su prendre leurs responsabilités sur la pelouse. Cela me conforte dans mon engagement auprès du club car c'est un élan extraordinaire pour le CSBJ après un début de saison qui était bien mal engagé."

Bourgoin, qui reçoit mercredi le Racing-Métro avant un déplacement dimanche à Bayonne, est toujours privé de douze joueurs, recrues ou prolongations de contrat, dont les licences sont bloquées par la DNACG.


Rugbyrama

CRISE. Le CS Bourgoin-Jallieu occupe une place à part dans le rugby français, mais l'avenir du club isérois est incertain. La majorité des joueurs a accepté une baisse de salaires et continue d'espérer

Bourgoin fait bloc


A l'entrée de Bourgoin, en laissant l'autoroute de Chambéry, au milieu du premier rond-point, l'écriteau tient toujours : « Bienvenue dans la capitale régionale du rugby ». La semaine dernière, la tempête qui a déferlé sur le club l'a bien ébranlé. Hier matin, revigoré par le succès acquis aux dépens du BO (22-17), il était toujours debout. À Bourgoin, « où rien n'est simple et tout est fou » comme le dit l'entraîneur des avants Xavier Péméja, les caisses du club sonnent creux depuis six mois et le rachat, par l'association CSBJ, des parts de Pierre Martinet, le président-mécène douze ans durant.

La société de Martinet injectait chaque saison plus de deux millions d'euros. Mieux, à chaque fin d'exercice, sur ses deniers personnels, il comblait le déficit. Martinet parti, le trou est béant. Fin mai, Bourgoin manque de justesse une rétrogradation financière en Pro D2. La rallonge de la ville (700 000 ?) et celle du Conseil Général (500 000 ?) aident à éponger un déficit toujours là. Au contraire d'un encadrement politique et administratif, absent, déprimé « et déprimant » dit Éric Catinot, le coentraîneur. « Martinet sait vendre ses salades, ses successeurs savaient seulement en raconter », peste Péméja.

Pendant l'été, les deux entraîneurs tiendront le club à bout de bras. Sans la moindre garantie sur l'avenir. En début de semaine dernière, la situation financière du club effraie GL Events, une société lyonnaise spécialisée dans l'événementiel, prête à injecter immédiatement 1,3 million d'euros. En cédant ses parts, Martinet a rajouté une clause de « retour à meilleure fortune ». Pendant cinq ans, si la SASP réalise des bénéfices, le traiteur intraitable en percevra des dividendes. Les salades ont un prix. GL Events se retire. Il manque toujours entre 2,2 et 2,8 millions dans le budget.

Maulin l'enchanteur

Dans un passé récent, d'autres clubs ont explosé pour moins que ça. Pas Bourgoin. « Si on n'a plus le rugby, personne ne parlera de nous » avance Julien Frier, le capitaine. Hier matin, comme 33 de ses partenaires, il faisait face à ses deux entraîneurs. À la veille de recevoir les membres de la DNACG (1), Péméja et Catinot ont un million d'euros à économiser parmi les salaires des joueurs (lire ci-contre). Bourgoin s'est retourné vers Gaston Maulin, 77 ans, président du club dans les années 70, à la tête d'une vingtaine de sociétés et d'une station de ski. Un fou de rugby, parrain du Stade Français, qui revient à Pierre-Rajon par la grande porte, la casquette ciel et grenat vissée sur une tête bien faite.

Les joueurs le savent : Maulin, intronisé président ce soir, c'est le recours ultime avant le dépôt de bilan. En prenant la parole jeudi, il assure réunir 700 000 ? pour compléter le budget prévisionnel. En contrepartie de quoi, il impose aux joueurs une baisse de leurs salaires, de 15 à 20 %. « Et si certains veulent partir, qu'ils s'en aillent », clame-t-il. Combien partiront ? « Deux ou trois », prédit Péméja. « Pas beaucoup », assure Frier.

« Une refonte du club »

Samedi soir, à la buvette du stade, Julien Bonnaire, Stéphane Glas et Morgan Parra, trois internationaux parmi tant d'autres (2), trinquent au salut du CSBJ. « Ici le rugby n'est pas un métier, assure Parra, ici, le rugby c'est ta vie ». Benjamin Boyet, invité chaque saison à rejoindre des clubs huppés, n'a jamais quitté Bourgoin. Comme Olivier Milloud, le pilier international, en passe de signer son retour sur les pelouses au terme d'une saison blanche. « On n'a jamais connu la facilité, ce club a forgé son caractère dans l'adversité. C'est peut-être la période la plus dure qu'il traverse. Mais pour se regarder droit dans les yeux dans dix ans, on doit l'en sortir ». « Ça fait mal de baisser les salaires, mais y a-t-il une autre alternative ? », s'interroge Mickaël Forest, un autre « historique ».

Péméja, dans son coin, fourmille d'idées. « On est à une demi-heure de l'agglomération de Lyon. Il y a 10 000 entreprises autour de nous. Personne ne va frapper à leur porte ». Pour lui, le salut du CSBJ passe « par une totale refonte du club, avec des gens compétents à sa tête ».

Gaston Maulin, poussé dans son entreprise par Pierre-Yves Revol, le président de la Ligue originaire comme lui de la Tour du Pin, et Pierre Martinet, un proche parmi les proches, l'a répété cent fois : son aide s'arrête au 1er janvier, date à laquelle il espère enfin avoir remis le club sur de bons rails. Y parviendra-t-il ? Ses joueurs veulent y croire. « J'espère qu'on en a fini avec les mauvaises surprises », soupire Catinot. Ce soir, en se couchant, il rêvera de chiffres, d'additions, de soustractions et de DNACG. Demain, si tout se passe bien, Bourgoin récupérera ses douze licences, parmi lesquelles cinq recrues. Le lendemain, c'est le Métro-Racing des Sébastien Chabal et Lionel Nallet qui foulera Pierre-Rajon. Deux joueurs formés dans un club qui a tant donné au rugby français. Et qui aimerait, aujourd'hui, recevoir en retour.

(1) La direction nationale d'aide et de contrôle de gestion veille à la transparence financière des clubs.

(2) En plus de ces trois joueurs, citons pour la période récente Benjamin Boyet, Lionel Nallet, Sébastien Chabal, Yann David, David Venditti, Laurent Leflamand, Jean Daudé, Olivier Milloud, Jeff Coux, David Janin.


SO

CSBJ : 2 joueurs sur le départ


Si plusieurs joueurs font l'objet de sollicitations d'autres clubs, le pilier néo-zélandais Karena Wihongi pourrait prochainement prendre la direction de Perpignan ou Toulon.

Pour l'arrière Florian Denos, un départ paraît encore plus probable. Il serait sur les tablettes de trois clubs de Top 14 et pourrait avoir joué son dernier match avec Bourgoin contre Biarritz samedi.

La réunion de la dernière chance pour le CSBJ

Bourgoin est exsangue depuis plusieurs semaines déjà et son avenir en Top 14 ne tient plus qu'à un fil, tressé par la volonté des joueurs et le bon coeur d'un homme, Gaston Maulin, qui va tenter aujourd’hui de sauver le CSBJ de la relégation.

Gaston Maulin, le potentiel prochain président de Bourgoin, a annoncé qu'une réunion était prévue ce mardi au siège du club avec la DNACG (direction nationale d'aide et de contrôle de gestion) afin de clarifier la situation financière du CSBJ, et valider le budget pour la saison, auquel il manque encore 2,2 millions d'euros ! Gaston Maulin, le nouvel homme fort du club, aura donc la charge de convaincre les gendarmes financiers de la Ligue Nationale de Rugby que les économies réalisées sur les salaires des joueurs (-20%, soit environ un million d’euros d’économisé) et les rentrées d’argent prévues (500 000 euros du Conseil Général et 700 000€ garantis de la part de Gaston Maulin) permettront à Bourgoin-Jallieu d’aller au bout de sa saison. Sinon, le Top 14 deviendra le Top 13, car le CSBJ sera alors interdit de jouer, et relégué !

La rédaction Rmc

Bourgoin sauvé

La Direction nationale d'Aide et de Contrôle de Gestion (DNACG) a approuvé ce mardi le plan budgétaire du nouveau président Gaston Maulin.

Bourgoin respire. Le club isérois poursuivra bien sa saison en Top 14 après que la DNACG, le gendarme financier du rugby, a approuvé ce mardi vers 15h00 le plan du nouveau président Gaston Maulin. Les joueurs ont ainsi signé un nouveau contrat de travail avec une baisse de salaire de 17% et une clause de sortie du club (s'ils le souhaitent) la saison prochaine, soit une économie de 1 million d'euros. Deux partenaires ont signé deux fois 250 000 euros, Maulin déposant de son côté un chèque de garantie de 700 000 euros. A l'arrivée, les 2 200 000 euros manquants ont donc été trouvés, permettant le déblocage des douze licences. Bourgoin pourra jouer contre le Racing avec tout son effectif, mercredi.


La rédaction Rmc

Cela se complique pour Albi...

Bravo Bourgouin, voila un club qui mérite là ça mouille le maillot . et

Pourvu que les finances suive en fin de saison.

En tout cas, je conseille aux joueurs et à leur agents en plus de s'interesser au projet sportif d'un club et au salaire proposé de réclamer systématiquement bilan, compte d'exploitation et prévisionnel...comme à la bourse

vulcain a écrit:

En tout cas, je conseille aux joueurs et à leur agents en plus de s'interesser au projet sportif d'un club et au salaire proposé de réclamer systématiquement bilan, compte d'exploitation et prévisionnel...comme à la bourse

Pourquoi, ca se complique pour ALBI ?

AnthOo a écrit:

Pourquoi, ca se complique pour ALBI ?

Par ce que le seul espoir pour Albi de se maintenir c'est qu'un ou deux clubs soient relégués financiérement .

Aprés leurs défaites contre les"92" et Toulon , dis- moi contre qui ils vont aller chercher les 9 victoires minimum , synonymes de maintien ??

D'accord.

De toute facon, je ne suis pas pour Albi, club ingras, entraineur...., pas de mentalité, pas d'équipe.

Je pensais qu'il disait cela financierement.. mais de toute facon, le plus grand souhait que j'ai. C'est que Agen, monte. Albi déscende !

Bourgoin : Maulin président

Dans un communiqué, le nouveau président de Bourgoin Gaston Maulin a tenu à remercier tous ceux qui ont aidé à se sauver. « Le chemin est long, tous les problèmes ne sont pas réglés puisqu’il faut que nous trouvions encore un million d’euros pour boucler la saison », a-t-il déclaré par ailleurs.

Le communiqué de Bourgoin

Après l’acceptation des joueurs, du staff et des salariés du CSBJ Rugby de consentir un effort financier important pour permettre la survie du Club, le Conseil d’Administration de la SASP CSBJ Rugby vient de nommer Gaston Maulin Président de la SASP CSBJ Rugby.

Gaston Maulin : « Tout d’abord, je tiens à remercier tous ceux qui ont œuvré depuis de longues années pour le club. Je remercie également tous ceux qui depuis quelques mois ont supporté les soubresauts que le Club a vécu. Aujourd’hui, je vais essayer avec tous les membres du CSBJ de redonner sa place au Club et nous aurons besoin de tous. Le chemin est long, tous les problèmes ne sont pas réglés puisqu’il faut que nous trouvions encore 1 million d’euros pour boucler la saison. Petits et grands bienfaiteurs devront nous témoigner leur amitié. A cet effet des urnes seront à votre disposition aux entrées du stade à l’occasion du match contre le Racing Metro. Venez très nombreux nous soutenir. »

Rugby365

Bourgoin : Wolff encense les joueurs


Patrick Wolff, le vice-président de la LNR, a confirmé que la DNACG avait validé le plan des dirigeants berjalliens. Il ne tarit pas d’éloges sur le comportement des joueurs.

Patrick Wolff, la DNACG a donc validé le plan de Bourgoin…
Oui, il a été validé par la DNACG. L’avenant est signé par les joueurs et les licences de Bourgoin vont donc être libérées. Le club nous a présenté des garanties que nous estimons suffisantes. On avait bloqué une journée pour ne pas se perdre dans des détails de forme et pour que toutes les parties soient autour de la table.

Est-ce une bonne nouvelle pour la LNR ?
C’est une bonne nouvelle pour le rugby en général. Bourgoin est un club emblématique, formateur et qui correspond un petit peu à l’idée qu’on se fait de ce que doit être un club de rugby. Avec du professionnalisme et des valeurs.

Que pensez-vous du comportement de l’équipe ?
Je veux vraiment saluer la mobilisation des joueurs et des entraîneurs. Si Bourgoin s’en est sorti c’est parce qu’on a vu des joueurs se donner à 120% pour leur club. C’est très réconfortant à l’heure du soi-disant tout professionnel.

Quel regard portez-vous sur la baisse des salaires acceptée par le groupe ?
Ce n’est pas une première. Mais ce n’est pas arrivé souvent, Dieu merci. Il y a des exemples assez récents avec Auch et Agen. Mais nous sommes dans une situation dans laquelle l’économie prime sur tout. C’est normal. Dans les bons moments, les salaires montent. Et dans les mauvais moments, ils s’ajustent. Leur implication sportive a été exceptionnelle et cela a permis d’impliquer des gens autour d’eux et donc de trouver une solution. Le sportif tire toujours le financier et pas l’inverse.

Rugby365

CSBJ: Licences débloquées "mardi soir ou mercredi matin"

Avec la validation du plan de sauvetage du CSBJ par Gaston Maulin, la Ligue nationale (LNR), qui dispose des garanties financières nécessaires, s'apprête à autoriser le déblocage des douze licences de joueurs (recrues ou prolongations), privés de Top 14 depuis le coup d'envoi de la saison. Une délivrance alors que Bourgoin accueille le Racing-Métro 92 mercredi, à Pierre-Rajon, dans le cadre de la 4e journée. Toutefois, cette délivrance, attendue "mardi soir ou mercredi matin" reste conditionnée par un préalable, à savoir la signature par les joueurs berjalliens des nouveaux avenants à leurs contrats officialisant les baisses de salaires consenties.

donc, si j'ai tout bien compris, pas de fusion avec Lyon...????
donc Lyon en prod2 l'année prochaine..!!?

val a écrit:

Bourgoin : Wolff encense les joueurs


Patrick Wolff, le vice-président de la LNR, a confirmé que la DNACG avait validé le plan des dirigeants berjalliens. Il ne tarit pas d’éloges sur le comportement des joueurs.

Patrick Wolff, la DNACG a donc validé le plan de Bourgoin…
Oui, il a été validé par la DNACG. L’avenant est signé par les joueurs et les licences de Bourgoin vont donc être libérées. Le club nous a présenté des garanties que nous estimons suffisantes. On avait bloqué une journée pour ne pas se perdre dans des détails de forme et pour que toutes les parties soient autour de la table.

Est-ce une bonne nouvelle pour la LNR ?
C’est une bonne nouvelle pour le rugby en général. Bourgoin est un club emblématique, formateur et qui correspond un petit peu à l’idée qu’on se fait de ce que doit être un club de rugby. Avec du professionnalisme et des valeurs.

Que pensez-vous du comportement de l’équipe ?
Je veux vraiment saluer la mobilisation des joueurs et des entraîneurs. Si Bourgoin s’en est sorti c’est parce qu’on a vu des joueurs se donner à 120% pour leur club. C’est très réconfortant à l’heure du soi-disant tout professionnel.

Quel regard portez-vous sur la baisse des salaires acceptée par le groupe ?
Ce n’est pas une première. Mais ce n’est pas arrivé souvent, Dieu merci. Il y a des exemples assez récents avec Auch et Agen. Mais nous sommes dans une situation dans laquelle l’économie prime sur tout. C’est normal. Dans les bons moments, les salaires montent. Et dans les mauvais moments, ils s’ajustent. Leur implication sportive a été exceptionnelle et cela a permis d’impliquer des gens autour d’eux et donc de trouver une solution. Le sportif tire toujours le financier et pas l’inverse.

Rugby365

Allez...un dernier effort et on se débarrasse enfin de la convention collective , du contrat de travail...!
...Et si on les payait à la tâche ???

zebra3 a écrit:

donc, si j'ai tout bien compris, pas de fusion avec Lyon...????
donc Lyon en prod2 l'année prochaine..!!?

Pour te répondre , j'attendrais la fin du championnat de ProD2 , par ce que Lyon fait quand même partie des candidats sérieux à l'accession en Top 14 .

Ensuite , Bourgoin est quand même en situation précaire , et rien ne dit que le groupe "EVENT" ne revienne pas à la charge , une fois la dette de Bourgoin épongée .

Rien n'est définitif dans cette affaire Bourgoin/Lyon !