Calendrier Top 14 (2009-2010)

Toulouse : Novès et la chaleur


Guy Novès n'a pas vraiment apprécié de jouer en plein après-midi, samedi, pour la reprise de la saison. Le manager toulousain évoque cette chaleur étouffante lors du match à Montauban.

« A cause de cette chaleur étouffante, les joueurs étaient assoupis, regrette le manager toulousain Guy Novès. On ne peut pas jouer au rugby de manière cohérente dans ces conditions. Il faisait 42 degrés voilà deux ans lors de notre demi-finale à Bordeaux mais nous étions dans une préparation physique de fin de saison. Cette fois, les organismes ne sont pas prêts. Avec la pause boisson, on se croirait à l’entraînement. Les instances dirigeantes ont tellement peur qu’il arrive quelque chose que l’on fait n’importe quoi. Je sais que ça n’a pas été simple à gérer et les arbitres ont fait un très bon match. Mais j’espère que très rapidement, on pourra jouer à des heures normales. Je prends le foot en exemple. On gagnerait cinq degrés et on n’aurait pas le soleil dans la figure. C’est tout de même anormal de faire encore plus souffrir les joueurs. »

Rugby365

SF : Dupuy critique le calendrier


Interrogé après le premier entraînement du Stade Français ce lundi, Julien Dupuy n’a pas hésité à livrer son incompréhension concernant les horaires des rencontres.

Julien Dupuy a beaucoup de mal à comprendre les décisions prises par les instances du rugby français. En effet, la recrue parisienne s’est montré critique, non sans ironie : « Ce que je ne comprend pas, c’est que l’été on joue le samedi après-midi sous 35 degrés et que l’hiver, on joue à 19h30 quand il fait froid… Il faudrait changer tout ça et programmer les matchs un peu plus tard l’été et un peu plus tôt l’hiver… Tout simplement ! »

Interrogé lui aussi sur cette même question, Mirco Bergamasco a lui sous-entendu que cela n’était question que d’une affaire de gros sous : « Malheureusement, cela doit être une histoire de droits télévisuels ou pour ce genre de choses... Il faut donc faire avec. »


Rugby365

Dagorne : « Le calendrier est déjà assez compliqué »



Alors que des malaises ont eu lieu samedi dans le public de Montauban - Stade Toulousain en raison de la forte chaleur, le directeur de la LNR Arnaud Dagorne estime qu’on ne peut malheureusement pas modifier le calendrier de Top 14.

La polémique fait rage autour de la programmation des matches de rugby en milieu d'après-midi. Samedi dernier, il faisait ainsi 36 degrés à l'ombre lors de certaines rencontres, obligeant notamment les arbitres à ajouter deux pauses à la traditionnelle mi-temps. Mais pour Arnaud Dagorne, directeur général de la Ligue Nationale de Rugby, il est inconcevable de modifier le calendrier : « C’est impossible matériellement. Le calendrier du championnat est déjà assez compliqué avec 26 dates (plus trois pour les phases finales), sans oublier la Coupe d’Europe et le Tournoi des VI Nations à caser là-dedans. On est déjà obligé de commencer le 15 août et de jouer deux fois en semaine le 2 septembre et le 30 décembre pour arriver à finir le 29 mai. On ne peut pas s’arrêter pendant deux mois comme le faisait la Bundesliga il y a quelques années en foot. C’est impossible. »

Bouscatel critique les barrages


Le président du Stade toulousain, René Bouscatel, a réaffirmé ce jeudi son opposition aux matchs de barrages d'accession aux demi-finales du Top 14 instaurés par la LNR pour les clubs classés de la troisième à la sixième position à partir de cette saison.

"Quand on a bataillé toute une saison, 26 matchs, pour être dans les quatre premiers, je trouve inéquitable de rejouer "tout ou rien" sur un match de barrage pour permettre, peut-être, de qualifier le cinquième ou le sixième", a déclaré M. Bouscatel sur le site internet du club.

"C'est une date supplémentaire que l'on ajoute, une date entre les matchs éliminatoires de Coupe d'Europe et les matchs éliminatoires du Top 14, à un moment où, j'espère bien, nous serons sur le pont. C'est un match supplémentaire à une période très défavorable pour les clubs français, notamment pour la Coupe d'Europe ", a-t-il ajouté.


Rugbyrama

On n'a qu'à lui donner le bouclier de brennus sans jouer, c'est moins fatiguant.

Bourgoin : Contre l’USAP à Grenoble

La rencontre de la sixième journée du Top 14 entre Bourgoin et Perpignan, le vendredi 11 septembre à 20h35, se déroulera au stade des Alpes de Grenoble.

L’expérience avait déjà été tentée, et réussie, la saison dernière contre le Stade Français. Le CSBJ va de nouveau délocaliser à Grenoble l’une de ses rencontres du Top 14. Le club berjallien a annoncé que le match contre les champions de France, Perpignan, le vendredi 11 septembre à 20h35 (6eme journée), se jouera au stade des Alpes.

Tomas : « Dangereux pour la santé »


Encore une journée de Top 14 placée sous le signe du soleil et de la chaleur, et les matches restent pourtant programmés à 16 heures avec l'accord de la LNR et du diffuseur Canal+.

Samedi après-midi, la chaleur a plombé toutes les rencontres sportives, football et rugby. A Montpellier, Julien Tomas a même fait un sérieux malaise dans les vestiaires. Le jeune demi de mêlée du MHRC revient pour nous sur sa mésaventure : « Le coup de barre, le gros coup de chaud. J’avais une crise de spasmophilie, et beaucoup de tremblements dus au manque de glucose. Je ne me sentais pas bien du tout, j’avais des étoiles dans les yeux… Il faisait faire 40°C dans les vestiaires et moi je tremblais de froid ! La santé en prend un coup après un malaise comme ça. C’est sans doute dangereux, à la longue, pour la santé. »

La rédaction Rmc

Grippe A: des doublons en perspective


Le report de deux matchs du Top 14 va poser une nouvelle fois le problème du calendrier car il ne reste pas beaucoup de créneau libre. La LNR devrait opter pour deux nouveaux doublons, dont un au coeur d'un mois de novembre déjà très chargé.

Matchs en semaine, doublons, le Top 14 a déjà tout testé et approuvé. Le report des deux premières rencontres de la saison, en raison de la grippe H1N1, va être un nouveau problème à régler dans un calendrier qui n'est pas extensible et qui a déjà été compliqué à mettre en place. Avec trois week-ends de doublons et quatre journées organisées en semaine, le Top 14 version 2009-2010 était un véritable casse-tête pour les entraîneurs devant jongler avec des effectifs amputés de leurs internationaux ou contraint de s'imposer un roulement régulier pour présérver la santé de leurs joueurs.

Un nouveau doublon en novembre

Comment la Ligue Nationale de Rugby va-t-elle géré le report de la rencontre Montauban/Castres puis celle opposant Albi et Castres ? Castres, concerné par ces deux matchs, apparaît aujourd'hui très pénalisé. Effectivement, les hommes de Laurent Labit et de Laurent Travers peuvent s'attendre à un mois de novembre éprouvant car la LNR envisagerait de reporter une des deux confrontations le samedi 14 novembre, jour de la rencontre internationale opposant la France et l'Afrique du Sud à Toulouse. Surtout ce nouveau doublon viendrait alors se glisser entre une journée disputée en semaine (jeudi 5 novembre) et deux autres doublons programmés le 21 et le 28 novembre pendant que les internationaux en découdront avec les Samoa et la Nouvelle-Zélande.

Un doublon en février

La rencontre de la 4e journée (Albi/Castres) ne devrait pas se jouer avant le mois de février. Elle serait programmée lors d'un week-end du Tournoi des 6 Nations et la LNR pourra choisir entre les trois dates disponibles (le 7 février jour d'Ecosse/France, le 14 février week-end de France/Irlande ou alors le 26 février lors de Galles/France).

Pour l'instant, malgré ces deux premiers matchs reportés, les solutions existent. Que deviendra-t-il si d'autres reports sont annoncés dans les semaines à venir ? Le problème serait alors beaucoup plus épineux.

Rugbyrama

RUGBY TOP 14, CALENDRIER. Les trois matches en huit jours contraignent clubs et joueurs à s'adapter à une situation inédite en Top 14

Un enchaînement qui fait peur



Enchaîner trois journées en championnat en huit jours n'enchante guère sur la Côte Basque. « Le rugby est devenu trop exigeant pour jouer trois matches en une semaine. C'est la porte ouverte à des pratiques dopantes », soupire Julien Peyrelongue, ouvreur du Biarritz Olympique. « Humainement, ce n'est pas possible », peste Richard Dourthe, directeur sportif de l'Aviron Bayonnais.

Si un tel enchaînement est commun dans le football par exemple, il est inédit dans le Top 14. Et contraint forcément les clubs à une double gymnastique. D'abord au niveau de la gestion des effectifs, ensuite sur le plan de la gestion « stratégique » des trois matches. Ainsi, Jack Isaac estimait la semaine dernière que le résultat du BO à Bourgoin déterminerait la nécessité, ou non, « d'aller chercher une victoire à Montpellier mercredi ». Même souci du côté de l'Aviron où la rencontre contre Toulouse demain était déjà prévue comme ne rapportant pas grand-chose... « Il faut cibler des objectifs et ne pas se tromper », confiait encore Peyrelongue. « On fera les comptes après le Racing », annonçait quant à lui Richard Dourthe. Les calculs sont simples : zéro point rapporté de Colombes. Et hier, à l'issue de l'entraînement, le directeur sportif bayonnais disait ne pas encore savoir quelle équipe il alignera demain soir à Toulouse.

Comme un boxeur

Au-delà de ces considérations qui finalement n'engagent que les techniciens biarrots et bayonnais, il y a une réalité. Celle qui fait que les joueurs, car se sont finalement eux les premiers concernés, vont devoir enchaîner en une semaine ce qu'ils font habituellement en trois. « Normalement, nous laissons un délai de 72 heures après un match avant de reprendre les contacts », explique Yann Pradel, préparateur physique de l'Aviron Bayonnais. « Quand on joue le samedi, on a fini de récupérer le mardi ou le mercredi matin », confirme Peyrelongue. « La priorité va donc être la récupération et la fraîcheur », ajoute Pradel. Récupération, massage, balnéothérapie, aérobie seront donc au programme pendant une semaine. À la manière des footballeurs, donc. Et pourtant, ce n'est pas à eux que pense Yann Pradel. « Le rugby est un sport de combat. Il faut se mettre à la place d'un boxeur. On ne lui demande pas d'enchaîner trois combats en une semaine ». Les clubs vont devoir également faire avec la « bobologie ». Tous ces petits pépins, ces bobos inévitables au cours d'un match. « On a prévu de faire jouer tout l'effectif, confie Jean-Michel Gonzalez, entraîneur du BO. Après, il faudra voir l'état de l'infirmerie ».

Alors pour mettre les joueurs dans les meilleures conditions, les clubs s'organisent pour optimiser les déplacements. Ainsi, le BO a affrété deux avions. L'un qui a permis de faire l'aller-retour samedi à Bourgoin. Un autre qui partira mercredi vers Montpellier pour revenir après le match. « C'est une semaine où on joue gros. Le club fait des gros efforts », reconnaît Jean-Michel Gonzalez. Reste à savoir si ces efforts seront récompensés.


SO

Le Top 14 s'invite en semaine

Rugby. La quatrième journée se déroule demain. Trois autres rendez-vous auront lieu hors week-end.

Entre les horaires pour l'heure décalés à 16 heures le samedi et une journée en semaine, le supporter de rugby a actuellement du mal à s'y retrouver. Dès demain, le Top 14 s'invite en semaine le soir pour la quatrième journée alors que la cinquième débutera dimanche après-midi pour se terminer à 21 heures avec le choc de la journée, Clermont - Stade toulousain.

Le rugby qui a grandi très vite depuis l'avènement du professionnalisme est en fait victime du trop grand nombre de compétitions qui sont de plus organisées par des organismes différents. Il faut en effet trouver 29 dates pour le Top 14 géré par la Ligue Nationale de rugby, 9 dates pour la Coupe d'Europe organisée par l'ERC ; et 11 pour le calendrier international (5 pour le Tournoi, trois pour les tests d'hiver et trois pour la tournée d'été). Faites votre calcul, cela donne 49 dates. Et jusqu'à maintenant, votre éphéméride compte 52 semaines.

Dès lors, la Ligue a choisi de faire disputer trois journées de championnat dans la fenêtre internationale (les clubs sont alors privés de leurs internationaux) et quatre journées en semaine (dont une le 30 décembre…). Deux écoles s'opposent : ceux qui sont pour les matches en semaine parce qu'ils ne les privent pas de leurs internationaux. Et ceux qui préfèrent les doublons parce qu'ils estiment ne pas posséder l'effectif nécessaire pour jouer deux rencontres en cinq jours.

À force de changer de jour et d'horaires, le spectateur a des chances de se perdre. Mais le rugby peut gagner également un nouveau public en s'exportant le soir en semaine. Pour l'heure, Mayol devrait faire le plein pour la réception de Clermont ; et Ernest-Wallon n'est pas prêt de sonner creux (il restait hier soir un millier de billets disponibles).

La télévision a quant à elle choisi de ne pas retransmettre de match vedette sur Canal + : une rencontre sur Canal + Sport et les autres matches disponibles en paiement à la séance.

Pour des équipes qui ont beaucoup de blessés ou peu d'effectif, la tentation est grande de « choisir » un match plutôt qu'un autre même si aucun entraîneur ne le reconnaîtra ouvertement. C'est ainsi que Clermont va lancer des espoirs à Toulon afin de ne pas griller ses joueurs pour la réception de Toulouse dimanche.

Mais la nouvelle formule ne laisse pas beaucoup de marge aux équipes tentées par ce choix.

Les cadences infernales constituent le plus gros danger de ces rencontres en semaine. Dans un rugby de plus en plus physique, les organismes trop souvent mis à contribution peuvent lâcher. De plus, cette journée de championnat arrive après trois journées jouées sous une grosse chaleur, le plus souvent à 16 heures. Néanmoins, dans ces cas-là, la récupération est privilégiée au détriment des entraînements. Ainsi du Stade toulousain qui aura deux jours de récupération jeudi et vendredi (avec un débriefing du match contre Bayonne) puis une simple mise en place samedi avant le départ pour Clermont.


La Dépêche

Question de banc


Plus que jamais la profondeur de banc devient primordiale. En période de matches rapprochés, tous les clubs ne sont pas logés à la même enseigne.

«On savait que Toulouse avait un banc très structuré», a confié Thierry Mentières, entraîneur des avants bayonnais après la défaite face au Stade Toulousain (21-17). Et pour cause, avant que Guy Novès ne décide de faire rentrer ses glorieux remplaçants, l'Aviron Bayonnais avait les clés du camion face à des Toulousains encore trop brouillons. Mais en cette période de matches rapprochés, l'importance d'un banc conséquent prend toute son ampleur. Surtout lorsqu'il n'est composé que d'internationaux comme c'est le cas pour Toulouse. La rentrée à l'heure de jeu d'un joueur du calibre de Byron Kelleher a transfiguré les Rouge et Noir. Si Lord Byron était un écrivain tout en retenue et délicatesse, le Byron de la ville rose se rapproche plus du bison sauvage. Ses charges incessantes ont montré la voie à suivre et ont conduit le Stade Toulousain droit vers une victoire qui ne se dessinait pourtant pas clairement à la pause.


Pas logés à la même enseigne
Interrogé sur le sujet des matches en milieu de semaine, Guy Novès estimait qu'il préférait cette situation à celle qui voyait les équipes disputer des matches de Championnat en doublon du tournoi des VI nations. On peut comprendre l'avis du tacticien toulousain dans la mesure où sa profondeur de banc lui permet de laisser des joueurs au repos, et d'en utiliser d'autres comme autant d'«impact players» décisifs. Pas sûr que du côté d'Albi ou de Montauban les perspectives soient les mêmes. Tous les clubs n'ont pas les moyens d'avoir pratiquement une trentaine de quasi titulaires affamés à leur disposition. Certes, les joueurs sont de plus en plus athlétiques et sont à même de supporter cette charge de travail supplémentaire, tant qu'elle reste exceptionnelle, mais cela ne facilite pas la récupération et les moins bien lotis peuvent en ressentir le contrecoup plus tard dans la saison.


A 23 plus qu'à 15
Pour autant, un joli banc n'est pas tout. Renverser une situation grâce au coaching est certes devenu une possibilité mais c'est un coup de poker qui ne s'avère pas toujours payant. Face à Montpellier, Biarritz l'a tenté. Mais si les entrées en jeu de Peyrelongue et autre Barcella ont apporté un plus indéniable aux Biarrots, cela n'a pas fait basculer le sort de la rencontre. Quoi qu'il en soit, il est de plus en plus vrai qu'un match se joue et se gagne à vingt-trois, bien plus qu'à quinze. Et c'est peut-être aussi inégal que de devoir jouer sans ses internationaux. -


L'Equipe

RUGBY TOP 14 Orange

Clermont-Racing le 12 septembre à 16h30 au lieu de 20h35


Le match ASM CLERMONT AUVERGNE / RACING METRO 92, comptant pour la 6ème journée de TOP 14 Orange, initialement prévu le samedi 12 septembre à 20h35, se jouera finalement le samedi 12 septembre avec un coup d'envoi donné à 16h30, en direct sur Rugby +.

CO : 6 matchs en 3 semaines

On connaît les dates de report des matchs décalés pour cause de grippe A.

Montauban/Castres se jouera le mercredi 16 septembre, ce qui conduira au retardement de Perpignan/Montauban et Castres/Racing-Metro au dimanche 20 septembre.

Quant à Albi/Castres, il aura lieu le 29 septembre. Du coup, Brive/Castres et Albi/Bayonne seront avancés au 25 septembre.

Cela signifie que Castres jouera six matchs en trois semaines, avec une rencontre programmée les 12, 16, 19, 26, 29 septembre et le 3 octobre.

Castres/Audrin : « Difficile septembre »


Privé de championnat pendant une semaine en raison de l’épidémie de grippe A, Castres va devoir rattraper ses deux matchs en retard fin septembre. De quoi inquiéter le trois quart du CO, Yoan Audrin.

Yoan Audrin, préparez-vous déjà le calendrier de fin septembre avec le report des deux matchs en retard ?

On s’était déjà préparé, avant l’épidémie de grippe A, à enchainer les trois matchs de la semaine. On nous a un peu interdits de jouer. On n’y est vraiment pour rien. On s’était préparé pour ça avec un effectif conséquent. C’est impossible de jouer trois matchs en une semaine. Le groupe va être important avec beaucoup de roulements. On devra répondre présents et il ne devrait pas y avoir de problèmes. Les autres équipes l’ont fait, je ne vois pas pourquoi, on ne le ferait pas.

Septembre s’annonce décisif, non ?

Ce sera un mois difficile avec des matchs à enchainer. On fera les comptes fin septembre. L’objectif, c’est le maintien et après, le groupe et les entraîneurs se réuniront pour se fixer d’autres objectifs. Si possible.

Le maintien est-il l’unique objectif ?

C’est vraiment le but pour le moment. Enchainer de bons matchs, continuer à être régulier et engranger le maximum de points pour essayer d’assurer le maintien le plus rapidement possible. Une fois que le maintien sera acquis, on pourra se fixer d’autres objectifs. Pour le moment c’est difficile puisqu’il n’y a que trois matchs de joués.

Rédaction Sport365

COMMUNIQUE DE PRESSE


DATES DE REPORTS DE MATCHS

La LNR a examiné les différentes possibilités de dates concernant le report des deux matchs du TOP 14 Orange suite aux huit cas de Grippe A (H1N1) diagnostiqués dans le club du Castres Olympique le jeudi 27 août.

Ces reports concernent les matchs Montauban/Castres et Albi/Castres comptant respectivement pour la 3ème et la 4ème journée de TOP 14 Orange.

Le bureau de la LNR a décidé hier soir, après consultations, de la Commission Médicale de la LNR et de Provale, de jouer les rencontres avant les matchs internationaux (Coupe d’Europe et tests matchs des équipes nationales).

Ainsi, il a été décidé que :

Montauban/Castres aura lieu le mercredi 16 septembre à 19h30 (rugby+)

Et Albi/Castres se déroulera le mardi 29 septembre à 19h30 (rugby+)

Afin de respecter les délais de récupération entre les matchs, les rencontres Castres / Racing et Perpignan / Montauban se dérouleront le dimanche 20 septembre et les rencontres Albi / Bayonne et Brive / Castres sont fixées au vendredi 25 Septembre.


LNR

RUGBY TOP 14 Orange

Affluences record pour les délocalisations à l’étranger


Les deux premières rencontres du championnat délocalisées à l’étranger, au stade d’Anoeta de San Sebastian, ont été de véritables succès populaires, car elles représentent les deux meilleures affluences des 40 premières rencontres disputées cette saison en RUGBY TOP 14 Orange (Exception faite de Montauban – Castres et Castres Albi, reportés en raison de la grippe A). C’est le Derby entre Biarritz et Bayonne de la 6ème journée qui a attiré le plus de monde, avec 28.933 personnes, juste devant le Bayonne – Stade Français de la 2ème journée avec 24.411 spectateurs.

LNR

Les demies au Stade de France ?

Et si les demi-finales, comme la finale, de Top 14 avaient pour enceinte unique le stade de France ? C'est la réflexion que mêne actuellement la LNR, embarrassée par la pénurie de grands stades les 14 et 15 mai 2010. Marseille, Lyon et Paris sont pris par la dernière journée de Ligue 1. Certes Bordeaux et Montpellier sont libres mais Chaban-Delmas (34 700 places) et la Mosson (33 000 places) sont bien loin des 80 000 places de Saint-Denis. La LNR prendra sa décision d'ici la fin de l'année.

Johnson en visite

De nombreux internationaux anglais ont franchi la Manche pour disputer le Top 14. Du coup, Martin Johnson, l'entraîneur de l'équipe de la Rose, suit particulièrement le Championnat français. L'Equipe l'a rencontré juste avant qu'il ne vienne assister ce vendredi au match Stade Français-Brive. « J'ai été très clair : le fait de jouer en France risque d'avoir un impact important sur leurs chances de jouer pour l'Angleterre. Pour certains, tel Jonny Wilkinson, qui ont rêvé de ça pendant de nombreuses années, c'est une très bonne chose et on aurait eu tort de le priver de cette opportunité. Mais pour d'autres, ça risque d'être plus compliqué. »

Johnson : «Nous voulons que nos joueurs soient physiquement en forme, performants pour jouer pour l'Angleterre.»

L'ancien deuxième ligne international se pose principalement comme un observateur. Pas question pour lui d'intervenir dans le quotidien des clubs français. «Nous voulons que nos joueurs soient physiquement en forme, performants pour jouer pour l'Angleterre. Mais les clubs aussi les veulent pour eux et nous savons que de temps en temps, des différends surgiront. Mais rien qui ne puisse être résolu par un dialogue intelligent. » Il faut savoir que les clubs, même les clubs français, ont l'obligation de laisser les internationaux à la disposition de Johnson durant 17 semaines par saison (4 en novembre, 8 pendant le Tournoi, 4 en juin, 1 en août), et ce, sans compensation financière.

L'Equipe