10ème journée de Top 14

Rugby - Top 14 - SF

Messina et Arias renoncent

Le centre du Stade Français Geoffroy Messina (entorse du coude) et l'ailier Julien Arias (côtes), sortis hier en cours de rencontre lors de la victoire de Paris à Bath (27-29), sont forfait pour la réception de Perpignan, samedi au Stade de France.l'Equipe

ben koi, cisco
c'est pas parceque cet arbitre est saoulant
qu'il faut ronchonner
Eric va pas vous faire ric rac quand même
il s'entendrait surement très bien avec le capitaine d'Auch (St Lary )
pour un week end au ski

Le 21/10/2009 à 15:00 | Mis à jour le 21/10/2009 à 17:32

Rugby - Top 14 - Poitrenaud : «En bonne forme»


Absent des terrains depuis sept semaines en raison d'une fracture à la main, Clément Poitrenaud s'apprête à faire son retour avec le Stade Toulousain. Et le XV de France reste également un objectif.

Clément Poitrenaud et Toulouse vont rencontrer Biarritz.

«Clément Poitrenaud, comment allez-vous ? Votre main est-elle guérie ?

La fracture est un souvenir maintenant. J'ai rejoué la semaine dernière avec les Espoirs et je n'ai rien ressenti au niveau de la main. C'est sûr que je manque de compétition mais je suis en bonne forme. Cela fait maintenant un mois et demi que je fais du travail physique. Et cette semaine, j'ai repris l'entraînement avec le groupe professionnel. Cela fait du bien, même si je dois encore retrouver le bon rythme.


«Un coup d'arrêt plutôt difficile.»


Comment avez-vous géré cette coupure ?

Tout d'abord, il faut bien voir que ce n'est pas une période si longue. La moindre entorse vous éloigne trois semaines. Là, dès la semaine suivant l'opération j'ai pu recommencer à courir. Bien sûr, il manque les entraînements. Alors je m'implique encore plus dans la vie du groupe et la préparation des échéances. Et de toute façon, il faut presque travailler encore plus. Il faut rééduquer ce qui est blessé et entretenir ce qui ne l'est pas. Au final, c'est double ration.

N'en profitez-vous pas pour vous déconnecter du rugby ?

Non. Mais cette blessure m'a beaucoup contrarié. J'étais en très bonne forme. Je livrais de bonnes performances sur le terrain et je n'avais pas ressenti de telles sensations depuis deux ans et ma fracture à la jambe. J'ai vécu ça comme un coup d'arrêt plutôt difficile.


«Contre Biarritz, ce sera compliqué»


Et, en tant que spectateur, comment avez-vous jugé les prestations du Stade Toulousain ?

On a vu que l'on avait quelques difficultés à enchaîner les matches. Surtout lorsque Maxime Médard s'est blessé. Vu que j'étais aussi sur la touche, cela compliquait la tâche des trois-quarts. Le staff n'avait pas la possibilité de faire tourner l'effectif et on a fini par tirer toujours sur les mêmes. J'espère que cela ne se paiera pas à la fin de la saison. Mais maintenant, on voit que le groupe est bien en place. Et il fallait que ça arrive car la Coupe d'Europe ne pardonne pas les approximations.

Maintenant, c'est Biarritz.

Oui. D'ailleurs, je postule pour le groupe. Mais bon, ce n'est pas moi qui décide... Sinon, les Biarrots se sont bien remis de leur début de saison. Ils se sont forgé un mental et se sentent très costauds. Le mach sera bien compliqué.


«Le XV de France, un de mes objectifs prioritaires»


On va bientôt parler du XV de France. Y pensez-vous ?

C'est clair qu'avant ma blessure, j'y pensais sérieusement. Mes performances me permettaient d'envisager d'intégrer le groupe et d'y faire plus que de la figuration. Maintenant, pour les tests, je sais que je n'en serai pas. Et c'est normal car je n'ai pas assez de compétition derrière moi. Mais ce n'est que partie remise. J'espère que je serai revenu au top pour le Tournoi. Le XV de France, cela reste un de mes objectifs prioritaires».

Propos recueillis par Bertrand LAGACHERIErugbyrama

Le 21/10/2009 à 18:56 Rugby - Top 14 - AB

Sans Elhorga contre Castres

Outre, Marc Baget, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche, Bayonne sera privé de trois autres joueurs pour la réception de Castres vendredi soir, à l'occasion de la dixième journée de Top14. Ainsi, l'Aviron se présentera sans l'ailier Pepito Elhorga (déchirure du muscle droit antérieur d'une cuisse), déjà absent en Challenge européen contre Rome et au Racing-Métro, ni Nicolas Lafitte (début de pubalgie) et Arnaud Héguy, en cours de reprise. Quant à Dwayne Haare (entorse des ligaments du genou gauche), il est toujours indisponible.L'Equipe

Le 21/10/2009 à 18:59 Rugby - Top 14 - Castres

Albouy est forfait


Pour le déplacement à Bayonne vendredi soir, Castres sera privé des services d'Alexandre Albouy. Le demi de mêlée souffre d'une petite contracture au mollet. Carl Hoeft, le pilier international néo-zélandais, est également préservé pour la dixième journée de Top 14, en raison d'une contusion à un mollet. Sont également absents les Sud-Africains Michaël Coetzee (adducteurs) et Daron Nell (contracture ischio-jambiers) tandis que le centre Pierre-Emmanuel Garcia est en reprise.
L'Equipe

Ca y est j' ai trouvé : Val c' est gir 33 maintenant

Xavier a écrit:

Ca y est j' ai trouvé : Val c' est gir 33 maintenant

tout faux Xavier...... je n'en ferai pas tant !!!!

Top 14. Castres, le trublion...


Après les deux premiers tours de Coupes d'Europe, le Top 14 va à nouveau constituer le principal souci des clubs... avec le XV de France.

Neuf tranches de chocolat (championnat), deux tranches de vanille (Coupe d'Europe), trois tranches de chocolat, deux tranches de praliné (XV de France)/Chocolat, une tranche de chocolat, deux tranches de vanille… Stop ! Et bien non, ça ne s'arrête jamais. Le calendrier rugbystique ressemble à une monstrueuse pâtisserie carnivore… Tout le monde veut en croquer mais il faut des estomacs en béton armé et on ne sait jamais qui va manger l'autre.

Donc, le top 14 reprend ce week-end après deux tours de Coupes d'Europe. Deux tours qui auront notamment permis aux deux Stades (Toulouse-Paris) et à Biarritz de fortifier leur santé, aux Catalans, champions de France, d'expérimenter la douche italienne, aux Clermontois de refaire un tour gratuit de train fantôme, aux Brivistes de passer du grand au petit cabaret, aux Toulonnais de hausser le braquet et aux Castrais de pratiquer en roue libre après un violent contre-la-montre gagnant…

Car voilà les Tarnais dauphins de Clermont, qui l'eût cru? Ils n'en demandaient pas tant et se méfient beaucoup aujourd'hui de cette position flatteuse qui enflamme les imaginations. Ils ont raison, c'est à la fin du bal que l'on paie les musiciens et il reste encore 17 tours de piste ! N'empêche, l'avenir du trublion qui est parvenu à infiltrer l'impitoyable club des cinq (Perpignan, Clermont, Biarritz, les deux Stades se partagent les places en demi-finales depuis quatre ans) constitue l'un des intérêts majeurs de la suite des opérations.

Ce que l'on attend aussi avec impatience ce sont les toutes dernières joutes puisque cette année seuls les deux premiers obtiendront leur billet direct aux demi-finales… Et les grosses écuries vont avoir sans tarder du lisier sous les sabots puisque les imminentes 13e (Castres-Toulouse !) et 14e journées se joueront sans les internationaux (Doublons avec France-Samoa et France-Nouvelle-Zélande).La Dépêche

Dupuy-Beauxis, double détente


Totalement relancé par l'arrivée du duo Delmas-Faugeron, le Stade Français, invaincu depuis six matches et conforté par une parenthèse européenne enchantée, s'il tire en grande partie sa réussite actuelle de sa défense retrouvée, sait aussi pouvoir compter sur une charnière en passe de s'installer pour de bon. Julien Dupuy et Lionel Beauxis font la paire à Paris.

En inscrivant à Bath la pénalité de la gagne (29-27) pour le Stade Français dimanche dans les dernières minutes de la rencontre, Julien Dupuy, en plus de confirmer son statut de pire cauchemar du club anglais, qu'il avait déjà crucifié d'un essai assassin la saison passée en quart de finale de cette H-Cup, a surtout signé son premier vrai coup d'éclat sous ses nouvelles couleurs parisiennes. Débarqué dans la capitale précédé de sa saison en or massif réalisée avec Leicester et de son nouveau statut d'international, étrenné cet été lors de la tournée des Bleus dans l'hémisphère sud, le demi de mêlée confirme sa réputation.

Mais Dupuy n'est pas qu'un soliste, loin de là, et possède cette capacité à faire briller ses partenaires. A commencer par celui avec lequel il partage depuis deux matches la charnière de l'équipe parisienne. Sous la houlette du nouveau duo d'entraîneurs parisien, Jacques Delmas et Didier Faugeron, Dupuy et Beauxis installent peu à peu comme les patrons de jeu, qui manquaient au Stade Français et lui redonnent cohérence et résultats. Une association porteuse d'espoirs, rendue possible par le départ à l'intersaison de Juan Martin Hernandez, mais qui, au pire de la tourmente de début de saison, n'avait pourtant rien d'évidente.

Delmas: " C'est vrai que Julien connaît parfaitement mes choix de jeu "

A l'issue de la première prestation de ce duo label XV de France à Bayonne, où le Stade Français, balayé (38-24), entamait son chemin de croix, " il y a du bon et du moins bon ", avait jugé Christophe Dominici, alors encore entraîneur des lignes arrières, au sujet de cette nouvelle charnière. " Elle est intéressante mais manque encore d'intelligence. Elle n'a pas assez alterné ", avait-il ajouté. Même si Dupuy pouvait bénéficier de circonstances atténuantes, lui qui après sa saison anglaise colossale, marquée par un titre de champion d'Angleterre, une finale de Coupe d'Europe, ses trois premières capes en équipe de France, au mois de juin, en Nouvelle-Zélande et en Australie, et un transfert long à se décanter, n'a eu droit qu'à une intersaison réduite à sa plus simple expression.

Dupuy en quête de repères, Beauxis, lui, semblait devoir s'installer en dix, débarrassé de l'ombre parfois encombrante de "El Mago", alias Juan Martin Hernandez, mais était de nouveau relégué à l'arrière par Dominici et McKenzie cette fois au profit du Sud-Africain Noël Oelschig, demi de mêlée de formation. Le 8 septembre, le couperet tombait pour l'attelage franco-australien, laissant la place à Jacques Delmas, nouvel entraîneur en chef et son adjoint, en charge des lignes arrières, Didier Faugeron. Delmas, qui fut l'entraîneur de... Dupuy à Biarritz. " C'est vrai que Julien connaît parfaitement mes choix de jeu ", explique l'ex-technicien du BO. " Le fait de travailler avec lui pendant trois ans à Biarritz le rend plus sensible à mes conseils. Il comprend plus vite ce que je veux. "

Surtout, Dupuy, par son profil, semble de nature à révéler enfin Beauxis sus son meilleur jour, comme l'explique Delmas. " Julien aime porter la balle ", précise le nouvel entraîneur du Stade Français. " Les caractéristiques de Julien contraignent Lionel à agresser un peu plus souvent la ligne d'avantage. Il redevient le premier attaquant dans la ligne d'arrières. En restant trop profond en retrait par rapport à Julien, Lionel tuait les surnombres " comme lors de la fameuse défaite face à Bayonne, ajoute-t-il. " On essaie de rectifier cela. En attaquant la ligne, il crée de l'incertitude et un surnombre dans la ligne. " Peu à peu, le talent endormi de Beauxis redevient visible et sa complémentarité avec Dupuy est de plus en plus évidente, comme lors la brillante première mi-temps contre Edimbourg avec quatre essais à la clé (31-7), en ouverture de la H-Cup.

Après les dernières semaines idylliques avec une série de trois victoires et un match nul, à Toulouse, en Top 14, le déplacement à Bath a confirmé dans la douleur le bienfondé de ce nouveau duo gagnant, qui a toutes les chances d'être reconduit samedi, au Stade de France, à l'occasion de la réception des champions de France de l'Usap. Un choc sur lequel Marc Lièvremont ne manquera pas de jeter son oeil avisé à quatre jours de l'annonce de son groupe pour les tests de novembre.aol.fr

Xavier a écrit:

Ca y est j' ai trouvé : Val c' est gir 33 maintenant

Bien vu !! je me disais la même chose

je rigole .. merci gir !