Forum LE SUA VAINCRA Espace Rugby |
| | Parlons de Clermont / Toulouse | |
|
+8sylve32 DA VINCI CODE vulcain solen gir3347 jipé s5mar agenais du 84 12 participants | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse Sam 28 Juin 2008 - 16:07 | |
| La finale à la loupe
La finale Clermont-Toulouse, entre le premier et le deuxième du championnat, se jouera à couteaux tirés ce soir, au Stade de France. Chroniqueur sur notre site et l'un des plus fins spécialistes du jeu, Henry Broncan, nous décortique le match secteur par secteur.
CONQUETE
Selon Henry Broncan, l'avantage va à Toulouse. "Légèrement, simplement parce qu'ils sont un peu plus expérimentés que les Clermontois dans ce secteur." Le Stade toulousain a progressé, en touche notamment, grâce à la précision amenée par Yannick Bru. "Pour moi, Jean Bouilhou est un peu le symbole de cette réussite et de cette expérience", affirme l'entraîneur agenais, sachant toutefois que les Clermontois ont eux aussi progressé dans leur alignement avec l'arrivée de l'international Julien Bonnaire. En mêlée, l'ASM doit se passer d'un titulaire indiscutable avec la blessure de Martin Scelzo. Cela ne facilitera pas sa tâche face à la première ligne solide et expérimentée de Toulouse. Mais l'Argentin est absent depuis plusieurs semaines et les Auvergnats ont appris à vivre sans. Ils ont d'ailleurs prouvé qu'ils avaient des ressources en demi-finale, rivalisant crânement face à Perpignan, réputé meilleur pack du championnat.
ATTAQUE
"Les deux sont superbes." Henry Broncan résume ce que toute la France du rugby pense. Toute la saison durant, les Nalaga, Rougerie et autres Médard ou Heymans ont ravi les amoureux de balle ovale de leurs courses folles, de leurs crochets d'école et de leurs raffuts dévastateurs. Ajoutés à la justesse et la précision de la charnière clermontoise ainsi qu'au soutien impeccable des Toulousains et à leur folie, cela promet une rencontre flamboyante. Mais cela pourrait justement se retourner contre eux. Explications du technicien agenais : "Quand on en attend trop sur le plan offensif, c'est souvent la défense qui prend le pas. A mon avis, cette rencontre se jouera en contre-attaque et se gagnera sur les ballons de récupération." Toulouse, qui a marqué ses trois essais sur de contre en demi-finale, ne devrait pas le contredire.
DEFENSE
La clé du match donc selon Henry Broncan. "Avec de telles attaques, les défenses des deux côtés vont être extrêmement bien organisées et il sera très difficile de passer." Ce n'est pas pour rien, d'ailleurs, que les deux équipes sont classées deuxième et troisième meilleure défense de la phase régulière derrière Biarritz (387 points encaissés pour Clermont et 407 pour Toulouse). Côté haut-garonnais, la faiblesse est plus marquée sur les extérieurs avec une paire de centres Jauzion-Kunavore qui n'est pas encore rôdée et qui offre des espaces. A Clermont, l'essentiel des interrogations porte sur Brock James, plus réputé pour son jeu au pied que pour sa rigueur défensive. Napolioni Nalaga, également, pourrait être visé par les Toulousains. Car s'il assure en général en un contre un, il n'est pas irréprochable dans son (re)placement.
JEU AU PIED
"Selon moi, si Elissalde n'avait pas joué, cela aurait été un coup très dur pour Toulouse. Et les Toulousains auraient pu en cas de défaite prendre l'absence d'Elissalde comme excuse..." Henry Broncan souligne l'importance de l'international et de sa précision au pied dans le système de jeu toulousain. "Il s'est très bien installé à ce poste et c'est un buteur hors-pair." Mais il sera dur de tenir la comparaison face à un Brock James "excellent", précis et à la vista exceptionnelle. S'il n'a réalisé qu'un 50% dans ses tentatives de tirs au but en demie, il reste toujours une arme redoutable, capable de voir la moindre faille dans la défense adverse.
DYNAMIQUE ACTUELLE
Les conditions semblaient plus favorables aux Clermontois cette semaine. Mis à part Martin Scelzo, ils ne comptent pas de blessé majeur, ils bénéficieront d'une journée de repos de plus que Toulouse et ont joué trois matchs de moins que leurs adversaires durant la saison. Pourtant, Henry Broncan parie sur une victoire du Stade toulousain : "J'avais assisté à la dernière finale Toulouse-Clermont en 2001. La tension était énorme, chez les supporters et même chez les joueurs. J'ai peur que les Auvergnats ne tombent encore dans ce syndrome de la défaite. Ce ne sont plus les mêmes joueurs aujourd'hui mais des hommes comme Lhermet ou certains dirigeants, qui connaissent l'histoire du club, sont marqués par ça. Il me semble que cela pèse beaucoup à Clermont. Si Vern Cotter parvient à leur faire remporter leur premier Bouclier, on pourra vraiment dire que c'est un sorcier. Le sorcier des Arvernes."
Rugbyrama |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse Sam 28 Juin 2008 - 16:11 | |
| La finale en chiffres
Combien de titres compte le Stade toulousain? Quels joueurs étaient déjà présents lors de la finale de 2001? Voici quelques chiffres clés pour tout savoir de la 107e finale du championnat de France, entre le Stade toulousain et Clermont, ce soir, au Stade de France.
2. C'est le nombre de victoires de Clermont sur le Stade toulousain cette saison. Lors de la phase aller (5e journée), les Jaunards se sont imposés 21-17 face à une équipe toulousaine plus ou moins remaniée après un match de H Cup. Mais le gros coup des Auvergnats, c'était au Stadium. Une victoire 23-11 mi-avril (19e journée) où Toulouse avait également perdu Vincent Clerc sur blessure.
2. C'est seulement la deuxième fois depuis l'introduction de la poule unique en 2004 - mais la première en Top 14 - que les deux premiers de la phase régulière parviennent en finale. La première fois, c'était en 2004-2005 avec le Stade français et Biarritz. Le club basque avait pris le dessus sur le club parisien en finale (23-18).
4. Quatre hommes fouleront à nouveau la pelouse du Stade de France, sept ans après la dernière finale entre les deux clubs, en 2001. Ces rescapés sont Jean Bouilhou et Fabien Pelous côté toulousain, Aurélien Rougerie et Alexandre Audebert côté clermontois. A noter que Clément Poitrenaud était titulaire lors de cette rencontre remportée par les Rouge et Noir (34-22) mais, en raison de sa blessure, il sera dans les tribunes samedi soir.
5. Benoît Baby a raté cinq finales, en partie à cause de blessures, quand il évoluait au Stade toulousain. En 2003, son genou le prive de celle du Top 14 contre Paris et de H Cup face à Perpignan. En 2004, toujours le genou, toujours l'Europe et les Wasps. En 2005 (H Cup contre Paris) et 2006 (finale du Top 14 contre le BO), il ne fait pas partie des plans de Guy Novès. Samedi, l'arrière clermontois jouera donc la première finale de sa carrière.
7. Le Stade toulousain court après un titre national depuis 2001. Sept longues années de disette plutôt inhabituelles sur les bords de Garonne. Ce n'était plus arrivé depuis 1986, une éternité. Depuis ce dernier Bouclier remporté au dépend de Clermont, le Stade toulousain s'est consolé avec deux titres européens (2003 et 2005), échouant par deux fois lors de la dernière marche au Stade de France (2003 et 2006) dans sa quête du Brennus.
8. On l'a dit et redit, Clermont détient le record du nombre de finales perdues (1936, 1937, 1970, 1978, 1994, 1999, 2001, 2007). Ses plus courtes défaites l'ont été contre Narbonne (6-3 en 1936) et La Voulte (3-0, en 1970), la plus large en 1978 devant Béziers (31-9). Le club auvergnat est le chef de file - et assez largement - de ceux qu'on nomme les trois maudits (jamais titrés) avec l'US Dax, battu cinq fois en finale (1956, 1961, 1963, 1966, 1973) et le CA Brive, quatre fois (1965, 1972, 1975, 1996).
16. C'est le record de Brennus et il est détenu par le Stade toulousain. Le club de Haute-Garonne a été champion de France en 1912, 1922, 1923, 1924, 1926, 1927, 1947, 1985, 1986, 1989, 1994, 1995, 1996, 1997, 1999 et 2001. Il a été battu en finale à sept reprises: 1909, 1921, 1969, 1980, 1991, 2003 et 2006. S'il s'incline une nouvelle fois, il égalera donc les huit finales perdues de Clermont.
24-16. C'est le score moyen des trois précédentes finales entre le Stade toulousain et Clermont. Toutes à l'avantage des Rouge et Noir bien sûr. Les Haut-Garonnais se sont imposés 22-16 en 1994, 15-11 en 1999 et 34-22 en 2001.
32. Cela faisait 32 ans qu'un finaliste n'était pas revenu en finale la saison d'après. En 1976, Béziers était détrôné par Agen après deux titres consécutifs (13-10 après prolongation). En 1977, les Biterrois ont récupéré leur Bouclier en venant à bout de Perpignan (12-4). A noter que l'AS Monferrand était déjà parvenu en finale deux années de suite. Narbonne, en 1936, et Vienne, en 1937, avaient alors battu le club auvergnat.
109. Clermont et Toulouse vont se disputer le 109e Bouclier de Brennus samedi à l'occasion de la... 107e finale du championnat de France. La différence a une explication. Par deux fois, en 1897 et 1898, le Bouclier fut remporté à l'issue d'une poule finale. C'est le Stade Français Paris qui l'a remporté ces années-là.
1970. Si Clermont venait à remporter enfin le Brennus, ce serait la première fois depuis 1970 - 38 ans donc - qu'un club inscrit son nom au palmarès pour la première fois de son histoire. Cette année-là, c'est La Voulte (avec les frères Camberabero) qui remportait son premier et unique titre à ce jour. Ironie du sort, c'était devant... Clermont, au terme d'une finale très fermée (3-0).
Rugbyrama |
| | | Médoc Champion du monde
Nombre de messages : 5857 Age : 55 Date d'inscription : 24/02/2008
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse Sam 28 Juin 2008 - 16:12 | |
| Merci Val sacré Henri Broncan rien à dire de plus. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse Sam 28 Juin 2008 - 16:13 | |
| Baby : "Enfin gagner un titre"
Benoît Baby a raté cinq finales pour cause de blessures quand il était à Toulouse. Il jouera la première de sa carrière samedi… avec Clermont. Un match forcément particulier pour l’arrière, étincelant contre Perpignan en demie.
Dans quel état d'esprit êtes-vous avant la première finale de votre carrière ?
Benoît BABY : Je le vis très bien. Je suis venu ici pour jouer une finale, voire deux avec la Coupe d'Europe. On a lâché la H Cup mais on est bien là en championnat. Ça fait un pincement au coeur de jouer contre mon club formateur, le club qui m'a tout apporté. Mais il faut savoir tourner la page et être fort samedi pour que cette fois, ça tourne en faveur de l'ASM et en ma faveur.
Jouer contre Toulouse vous motive encore plus ?
B.B. : Je ne suis pas revanchard mais je suis motivé pour gagner des titres. J'en ai souvent vécu sur la touche ou dans les tribunes et là, j'ai envie d'en remporter à mon tour. J'ai galéré pendant cinq ans, à voir les autres jouer des finales. Maintenant j'y suis alors j'espère le gagner.
Toulouse a joué trois matchs de plus que Clermont cette saison, compte plusieurs blessés d'importance dans ses rangs et bénéficie d'un jour de récupération de moins que l'ASM. Pensez-vous que les conditions sont plus favorables pour vous ?
B.B. : Je pense que l'avantage est plutôt de leur côté parce qu'ils ont joué trois matchs de très haut niveau afin de se qualifier pour cette finale. Nous, nous n'en avons joué qu'un, face à des Catalans qui nous ont facilité la rencontre en faisant beaucoup de fautes. Les Toulousains au contraire ont joué une finale de H Cup d'un niveau exceptionnel contre le Munster. Ils savent ce que c'est. Ils ont donc l'avantage selon moi.
Comment gérez-vous la pression avant de telles rencontres ?
B.B. : Bizarrement, j'en ai eu beaucoup toute la journée de la demie mais je n'en avais plus en arrivant sur le match. J'avais peur d'en avoir beaucoup trop et de m'effondrer... Pour samedi, il faudra que je sois dans le même état d'esprit afin d'aborder la rencontre sereinement.
Vous avez été en vue en demie contre Perpignan. Cela vous rassure avant la finale ?
B.B. : Faire des bonnes actions met en confiance, bien sûr. Mais les matchs ne sont jamais les mêmes. Peut-être que je serai nul samedi. Mais si c'est le cas et qu'on gagne, ce sera mieux qu'être bon et perdre. On verra.
Sentez-vous vos coéquipiers marqués par la finale perdue l'an dernier contre le Stade français ?
B.B. : Non. Ils sont revanchards, c'est normal, et veulent gagner cette fois. Nous nous préparons sereinement. Il faut mettre de l'intensité dans la rencontre, plus d'intensité que nous n'en avons jamais mis cette saison parce que sinon, le match sera très difficile pour nous.
Avez-vous eu vos anciens coéquipiers au téléphone ?
B.B. : Pas du tout. Je leur ai envoyé des textos pour les féliciter après la demie mais je ne sais pas si on s'appellera dans la semaine. Ils veulent préparer leur match sereinement, et moi aussi.
Eurosport |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse Sam 28 Juin 2008 - 16:17 | |
| Top 14. Ce soir : enfin Toulouse ou… enfin Clermont
Il était une époque où le Stade Toulousain, comme Béziers avant lui, était invincible, ou presque. L'accumulation des victoires lui procurait une assurance exactement proportionnelle au complexe dont souffraient tous ses adversaires. Les énormes mais vains efforts fournis par le club « rouge et noir » depuis 2001 pour reconquérir le bouclier de Brennus font aujourd'hui ressortir à sa vraie valeur le prodigieux exploit, quatre titres consécutifs, réalisé lors de la précédente décennie.
Il est vrai que le Stade Toulousain disposait alors d'une avance rugbystique et structurelle importante sur ses rivaux ; ces derniers l'ont comblée et un triumvirat s'est formé, avec le Stade Français et Biarritz, qui truste les titres. Tôt ou tard, il deviendra quatuor car la régularité des performances de Clermont finira par être récompensée.
POULIDOR ET LE FRONT POPULAIRE Ce soir enfin ? La région toulousaine est la seule à ne pas le souhaiter car l'abonnement au malheur souscrit par Clermont lui vaut la sympathie générale. La même dont a joui un héros sans maillot jaune de la contrée voisine. D'ailleurs, Raymond Poulidor est né la même année (1936) où l'ASM disputait - et donc perdait - sa première finale. Une année où la petite histoire du rugby se confondait avec la grande : une semaine avant la finale aux Ponts-Jumeaux, le Front Populaire avait remporté les élections législatives et la tension était telle entre les ouvriers et les cadres de l'équipe Michelin qu'ils en seraient venus aux mains à la veille d'affronter les Narbonnais, les compatriotes de Léon Blum !
Plus tard, c'est la politique du club lui-même qui l'a mené à l'échec. Comme par hasard, l'arrivée du tandem Fontes-Cotter a installé l'ASM au plus haut niveau alors qu'elle y accédait auparavant plus ou moins par accident. Il n'empêche que le sort a été encore contraire l'an passé. Revenus immédiatement à Saint-Denis à la force du poignet, Cotter et les siens auront tiré toutes les leçons de la douloureuse défaite devant le Stade Français.
TUTOYER LES ETOILES Au Stade Toulousain, sept ans d'attente exaspèrent autant que l'éternité pour Clermont et le club de la Ville rose dira lui aussi « enfin » si le Bouclier revient aux Sept-Deniers. Car le club sait que seuls les titres confèrent la grandeur. Pour ne pas être doublement marri comme Paris en 2005, le Stade Toulousain a besoin de sortir non pas un bon mais un grand match, sans fautes, car l'adversaire est plus habile qu'autrefois à les exploiter. Plus que jamais, le Stade voudra donc faire dans la simplicité, l'art toutefois le plus complexe.
Si l'on en croit Guy Novès, son équipe est trop handicapée pour rivaliser avec le n° 1 de la première phase. Si le rapport des forces est indiscutablement en faveur de Clermont, le trait a été délibérément forcé. Car le Stade Toulousain compte non seulement sur ses vertus ordinaires et sa fierté mais aussi sur le petit excès de confiance qu'aura procuré aux Auvergnats leur victoire au Stadium. Il en avait été de même en 2001 et les Toulousains avaient puisé dans cette défaite un irrésistible désir de revanche. Cette fois Novès n'accorde publiquement que 20 % de chances aux siens. Mais jeudi soir, expliquant le départ nocturne des Toulousains pour la capitale, le manager stadiste a affirmé : « C'est pour essayer de tutoyer les étoiles… »
--------------------------------------------------------------------------------
Les plus et les moins LES FACE-A-FACE
Cette saison, avantage Clermont, vainqueur à domicile (21-17) d'un Toulouse qui avait fait tourner, puis au Stadium (23-11 en avril) d'un sommet dramatique (Dusautoir KO après 3 minutes, Clerc sur civière). Très peu sépara les deux équipes à chaque fois. L'an dernier, l'ASM avait l'emporté en demi-finale (20-15) sur une folle chevauchée de Rougerie. Mais si on remonte l'histoire, Toulouse, pour Clermont, c'est la bête noire: leurs trois finales ont toutes tourné à l'avantage du Stade (22-16 en 1994, 15-11 en 1999, 34-22 en 2001).
LES FORCES
Impérial de février à mai, Clermont a fait une démonstration de jeu total, aussi puissant que rythmé, une machine huilée à laquelle pendant trois 3-4 mois nul n'a résisté. Tout le monde joue, tout le monde marque, y compris le talonneur Mario Ledesma, 3e marqueur du club (6 essais).
Toulouse cette année, a retrouvé une conquête respectée. Derrière ont éclos Médard et Kunavore. Kelleher a amené punch et vécu, Sowerby justesse de geste.
LES FAIBLESSES
Clermont a perdu son pilier argentin Martin Scelzo, une référence à droite. Et quand Clermont est -c'est rare- contré devant, il n'y a pas de plan B.
A Toulouse à force de sollicitation la corde finit par rompre. Nyanga (adducteurs) depuis la demi-finale est venu rejoindre Clerc (genou) et Poitrenaud (cheville) à l'infirmerie, alors qu'Elissalde est diminué.
LA FORME ET LA TETE
A Clermont, Vern Cotter a accordé 15 jours de repos à ses joueurs sur la fin de la phase régulière. Mais un titre se gagne dans la tête. Et la confiance, à Clermont, est un concept savonneux, même si les malédictions ne sont jamais éternelles en sport.
Toulouse, contre Paris, a paru remis du traumatisme européen, concerné dans le combat, lucide et résolu au moment de concrétiser ses coups. Les corps sont usés, mais depuis un mois les cadres ont été ménagés -sauf par 35 degrés à Bordeaux samedi. La guigne peut accabler les Toulousains, comme les ressouder. Et le spectre d'une superbe saison à 2 finales mais sans titre peut galvaniser, comme elle peut tétaniser.
La Dépêche du midi |
| | | s5mar Champion du monde
Nombre de messages : 7735 Age : 67 localisation : Aix en Provence (13) Date d'inscription : 10/11/2007
| | | | DA VINCI CODE Champion d'europe
Nombre de messages : 3285 Age : 59 localisation : prés d'Agen Date d'inscription : 27/08/2005
| | | | Dixit Champion de france
Nombre de messages : 2511 localisation : Agen Date d'inscription : 03/06/2005
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse Mar 1 Juil 2008 - 14:35 | |
| L'équation mathématique qui fait mal aux JaunardsEn tant que "spécialiste" des chiffres, je ne pouvais rester sans rien dire : ASM_finales_perdues = (Nb_Brennus_ST+1) / 2 !!!! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Parlons de Clermont / Toulouse | |
| |
| | | | Parlons de Clermont / Toulouse | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|