1ère journée de Top 14

1ère Journée



Toulon / Paris: 22-22
Albi (b)/ Racing-Métro 92: 13-19
Biarritz / Castres: 12-24
Bourgoin / Clermont: 28-37
Brive (b) / Montpellier : 30-9
Montauban (b) / Toulouse: 16-17
Perpignan / Bayonne: 28-20

1ère journée : déclarations

Réactions recueillies après les rencontres de la premières journées du Top 14.



PERPIGNAN - BAYONNE : 28-20

Franck Azéma (entraîneur des lignes arrières de Perpignan): "Je suis satisfait bien sûr du résultat, mais surtout de l'état d'esprit démontré par les joueurs. Depuis le titre de champion de France, certains se demandaient si on n'était pas blasé. Je suis fier de la réponse du groupe, qui a montré beaucoup d'implication et d'intensité dans ce match. A l'Usap, il n'y a pas de suffisance. Il reste encore quelques imperfections classiques de début de saison mais c'est une bonne base de travail".

Richard Dourthe (manageur de Bayonne): "Je suis en colère, on devait gagner ce match. Je le dis sans prétention. D'abord on a offert 6 à 9 points aux Perpignanais. Ensuite, on en rate 12 à cause de notre manque d'efficacité au pied. Faites la différence, le score aurait dû être en notre faveur. On a fait trop de fautes bêtes, inadmissibles même. C'est ça que l'on veut travailler et, faites-moi confiance, on va travailler".


BIARRITZ - CASTRES : 12-24

Benoît August (talonneur de Biarritz, au micro de Rugby +): "On a été pris sur beaucoup de choses, on a fait beaucoup de fautes de main, on a perdu trop de ballons pour rivaliser à ce niveau. On a mis la charrue avant les boeufs, on a essayé d'envoyer du jeu alors que l'on n'avait pas mis la conquête et le combat en place. Maintenant, ce n'est pas la fin du championnat, ce n'est que le début. On va essayer de rebondir et de ne surtout pas rentrer dans une spirale négative. On sort de trois bons matches amicaux, on perd aujourd'hui mais on va se remettre au travail et penser à Albi la semaine prochaine".

Marc Andreu (ailier de Castres, au micro de Rugby +): "On avait envie de faire quelque chose ici. Tout le monde parlait de Biarritz, nous on était dans notre petit coin. Les coaches nous ont bien parlé, un très bon discours, et on n'a plus qu'à se donner sur le terrain pour faire plaisir à tout le monde. Pour mon premier match avec le CO, j'avais à coeur de prouver que je ne suis pas venu ici pour me promener dans Castres. Je ne voulais décevoir personne, j'ai fait un très bon match et je suis très content. Mais d'abord, il faut que l'on dise bravo à nos avants, c'est grâce à eux si, après aux ailes, on peut avoir des espaces comme ça".


TOULON - STADE FRANCAIS : 22-22

Max Gazzini (président du Stade Français): "C'est un match de reprise et c'est plutôt un bon résultat car faire match nul dans l'antre de Mayol, ce n'est pas évident. Qui plus est, on était privés de seize joueurs car les internationaux ne pouvaient pas jouer. C'était un très bon match de reprise, en plus, on aurait pu le gagner sans ce contre malheureux. Je suis très satisfait. Il y a trois ans qu'on n'avait pas dominé en touche comme ça, en mêlée, on était conquérants, on a vu une cohésion, il y a des points très positifs. (A propos de Bastareaud) Il serait bien, honnêtement, que la presse le laisse tranquille, je suis content qu'il ait fait sa rentrée aujourd'hui, je crois qu'il a fait une bonne rentrée. C'est un garçon qui a beaucoup souffert, on l'oublie".

Arnaud Marchois (2e ligne du Stade Français): "Ce sont deux bons points pris à Toulon. Si on prend deux points à Toulon tous les ans, on sera content. Au vu du match, on aurait pu gagner parce qu'on prend un essai en contre, mais au vu de l'équipe et de ce que les gens pensaient au départ, c'est un bon résultat. On va prendre ces deux points, travailler dessus et essayer de progresser encore".

Laurent Emmanuelli, pilier du RC Toulon: "On a alterné des choses correctes et d'autres beaucoup moins bonnes, ce qui a permis à Paris de revenir dans la partie et petit à petit, de grignoter la petite avance que l'on avait. Bien sûr, on est déçus parce qu'on voulait gagner ce match à tout prix. Cependant, on n'a pas perdu, c'est une chose importante, il faut rester positif, on va vite se remettre en question pour le prochain match".

Philippe Saint-André, président sportif du RCT: "Ce soir, nous n'avons pris que deux points et il va falloir s'améliorer rapidement pour pouvoir battre le Racing-Métro à domicile, dès la semaine prochaine. C'est très important. On commence bien mais on ne marque pas sur nos temps forts. Nous avons mis du coeur en défense, mais on manque de liant, de repères collectifs".

Jonny Wilkinson, demi d'ouverture du RCT: "Je me suis senti bien physiquement et c'était important pour moi de jouer 80 minutes. J'ai passé 17 points mais le plus important est que nous n'avons pas gagné. L'ambiance était incroyable. A un moment, je venais de taper une pénalité et je me suis demandé ce qui se passait dans le stade tellement il y avait de bruit. J'espère qu'il y aura encore beaucoup de moments comme celui-là".


BOURGOIN - CLERMONT : 28-37

Mickaël Forest (demi de mêlée de Bourgoin): "On était bien dans notre match en prenant l'ascendant assez rapidement et puis on prend deux essais coup sur coup sur la fin qui nous ont fait très mal. Ce fut une journée très spéciale mentalement car on espérait bien disposer de la totalité de notre effectif pour bien débuter dans ce Top 14."

Elvis Vermeulen (troisième ligne de Clermont): "C'est toujours difficile de venir s'imposer à Bourgoin, et cela s'est encore confirmé aujourd'hui face à une formation qui a dû être recomposée. Notre banc et notre physique ont sûrement fait la différence sur la fin."


MONTAUBAN - TOULOUSE : 16-17

Marc Raynaud (entraîneur de Montauban): "Mes garçons ont tout donné et le résultat est cruel. Il existe un arbitrage vidéo qui aurait pu être utilisé sur la tentative de pénalité refusée à Rosalen. On est la petite équipe qui a joué contre l'ogre toulousain. Maintenant, sur la fin, si l'on n'avait pas permis à Poitrenaud de relancer, le match était terminé en notre faveur. Il reste des détails qui font que cette année, le Stade Toulousain nous a encore battus."

Jean-Baptiste Elissalde (ouvreur de Toulouse): "On parle de la santé des joueurs et on joue un 15 août à 16 heures. Heureusement, il n'y a pas eu d'accident. Un jour cela craquera. Il faut jouer plus tard l'été et plus tôt l'hiver. Par respect pour Montauban, je n'ai pas envie de me glorifier de ma transformation réussie qui nous donne la victoire. On retiendra juste que l'on a gagné le match. On n'a pas été capables de s'imposer avant la dernière seconde. Il nous a manqué un peu de jus."

Guy Novès (manageur de Toulouse): "C'est la victoire de la volonté, sous une chaleur exécrable. Les arrêts de jeu normaux ne nous ont pas avantagés. On félicite les Montalbanais qui ont été héroïques durant toute la partie. J'aurais tendance à dire que l'on gagne logiquement au nombre d'occasions que l'on s'est créées."

Sébastien Calvet (entraîneur de Montauban): "On est persuadé que notre groupe, en soignant les détails, est capable de tomber n'importe qui. On a montré que l'on vendrait cher notre peau à Sapiac à chaque match. Il nous a manqué une minute en fin de match pour gagner. On doit mieux gérer les actions. On n'est pas victime, on est coupable."


ALBI - RACING-METRO : 13-19

Pierre Berbizier (entraîneur du Racing-Métro): "Un premier match en Top 14 avec la victoire c'est très important pour le Racing. Mes joueurs, présentés souvent sous des aspects extra-sportifs, sont ainsi récompensés de leur travail. Le Racing est une équipe qui travaille, qui se bat, on l'a vu aujourd'hui. On nous avait promis la guerre et on s'était préparés à ce combat que l'on a gagné aujourd'hui. Il faut savoir que trois joueurs opérant au Racing sont issus de notre centre de formation. Le Racing n'est pas une équipe de mercenaires, il prépare aussi l'avenir".

Lionel Nallet (capitaine du Racing-Métro): "C'est toujours mieux de commencer par une victoire. Le championnat s'annonce très difficile car très relevé. Nous sommes une équipe promue et nous serons attendus un peu partout. Pour moi, cela a été une dure reprise face à un adversaire valeureux mais surtout à cause de la canicule. Les vingt dernières minutes ont été un calvaire".

Vincent Clément (capitaine d'Albi): "C'est nous qui perdons le match, on a fait beaucoup trop de petites erreurs pour prétendre à la victoire, c'est dommage. On fait tout le jeu sur la partie et on aurait voulu obtenir un peu plus, mais nous sommes beaucoup pénalisés. Il me semble qu'il y a deux poids et deux mesures sur cette rencontre. C'est rageant, en commençant, de ne pas avoir gagné sur le résultat alors qu'on a gagné sur le match".

Bernard Archilla (président d'Albi): "J'aurais aimé que l'on marque les esprits par une victoire dès le premier jour, parce que tous les pronostics que l'on nous envoie quasiment tous les jours pourraient faire penser que nous redescendrons rapidement en Pro D2. Je dis que notre modèle est le plus viable. Je n'ai pas vu d'écart entre les deux équipes, j'ai même vu un écart en notre faveur. Mais c'est la loi du sport, nous n'avons rien à reprocher aux joueurs".

Benjamin Lapeyre (arrière d'Albi): "C'est la frustration de la défaite car on a essayé de faire le jeu et de dynamiser les actions. Albi a prouvé qu'il n'y avait pas que le pack d'avant, il y a aussi du jeu derrière. Il nous faut continuer à travailler afin que le petit devienne grand".

Le symbole Michalak


Frédéric Michalak était très incertain pour le déplacement inaugural à Montauban. Il a finalement été aligné d'entrée... pour sortir sur blessure au bout de 20 minutes à peine. Pour Guy Novès, le comble de l'absurde a été atteint samedi à Sapiac. Ou quand le rugby devient ubuesque...

On joue depuis 20 minutes environ à Sapiac. Frédéric Michalak, qui tient depuis le coup d'envoi le poste de demi d'ouverture, se tient la cuisse gauche. Il grimace et se tourne vers son staff. Tout le monde a compris. Quelques secondes plus tard, l'international vient s'asseoir sur le banc toulousain, cédant sa place à Jean-Baptiste Elissalde. "Sur une course, j'ai ressenti une vive douleur. J'ai compris que je ne pourrais pas continuer. C'est dommage", regrette l'ouvreur stadiste, visiblement très abattu à chaud au micro de nos confrères de Rugby +.

Dommage, mais prévisible. Du coup, après la déception, c'est la colère qui dominait dans les rangs haut-garonnais. Guy Novès, notamment, s'en est pris à un règlement qu'il juge absurde. Si Frédéric Michalak a joué, c'est uniquement sous la contrainte d'un effectif limité par l'interdiction faite aux internationaux ayant pris part au dernier match de la tournée dans l'hémisphère Sud au mois de juin de jouer ce week-end. Ces derniers doivent en effet respecter les huit semaines de repos réglementaires pour l'intersaison. Or la rencontre Australie-France du 27 juin remonte à... sept semaines. Cédric Heymans, Vincent Clerc, Florian Fritz, Thierry Dusautoir et Romain Millo-Chlusky n'étaient donc pas disponibles pour cette première journée.

Elissalde: "Un jour, cela craquera"

Malheureusement pour Toulouse, les ouvreurs David Skrela (genou) et l'espoir Jean-Marc Doussain (nez) étaient tous deux forfaits. Dès lors, Novès n'avait guère d'autre solution que de faire débuter Michalak. A Sapiac. Certes, parmi les cinq internationaux interdits de terrain ce week-end ne figure aucun ouvreur de formation. Mais Fritz a déjà occupé ce poste. Il aurait pu être titularisé au centre, et Jauzion aurait glissé en 10. Bref, Toulouse aurait eu davantage de souplesse dans ses options. Michalak, lui, qui se plaignait d'un problème musculaire à une cuisse depuis une rencontre amicale le 24 juillet, avait finalement été titularisé à l'ouverture après avoir passé une IRM de contrôle. " Frédéric Michalak a joué insuffisamment rétabli, a déploré Guy Novès après la rencontre. Une IRM montrait une petite cicatrice, il se sentait bien mais la douleur s'est réveillée. "

Voilà donc le comble du paradoxe version rugbystique. Par la faute d'un règlement qui veut protéger les sportifs, un autre athlète a dû jouer blessé. Ce que Guy Novès résume d'une formule: "Aujourd'hui, on casse des joueurs parce que l'on ne nous permet pas de faire jouer les valides". Le règlement est-il trop rigide? Finalement, la vraie solution n'aurait-elle pas été, comme en Angleterre, de reprendre plus tard afin de permettre à tout le monde de bénéficier d'une grande coupure estivale? "En Angleterre, soulignait Sébastien Chabal, invité à établir la comparaison entre Top 14 et Premiership, la compétition commence en septembre et se termine mi-mai, ce qui laisse aux joueurs une période de cinq semaines pour couper complètement. Après, il y a une période de sept à huit semaines pour la préparation à la compétition. Donc, forcément, la préparation est plus pointue et plus intensive. En France, le calendrier n'est pas fait pour les joueurs."

Après le pépin Michalak samedi, difficile de donner tort au deuxième ligne international. D'autant que Michalak a été remplacé par un Jean-Baptiste Elissalde qui souffrait lui-même du talon. En reprenant la compétition alors que la plupart des grands clubs sont privés de leurs forces vives, on risque de s'en prendre à l'équité sportive. Par ailleurs, est-il vraiment raisonnable de jouer en plein après-midi à la mi-août? Le choix de reporter les quatre rencontres de 14h30 à 16h ne change rien au problème. En quoi fait-il plus frais à 16h qu'une heure et demie plus tôt? On se le demande. Jean-Baptiste Elissalde aussi. "On parle de la santé des joueurs et on joue un 15 août à 16 heures, peste l'ancien Rochelais. Heureusement, il n'y a pas eu d'accident. Un jour cela craquera. Il faut jouer plus tard l'été et plus tôt l'hiver." Pendant que le rugby marche sur la tête, Michalak, lui, se retrouve sur une jambe.

Rugbyrama

val a écrit:

Toulon : Mignoni blessé


Touché aux adducteurs, le demi de mêlée de Toulon Pierre Mignoni s'est blessé contre le Stade Français. L'ancien Clermontois a été remplacé par Matt Henjak à la 56eme minute.

Mignoni saura lundi

Touché à l'adducteur gauche vendredi soir face au Stade français, le demi de mêlée du RC Toulon, Pierre Mignoni, sera fixé lundi sur la gravité exacte de sa blessure et sur la durée de son indisponibilité après une IRM.

Le staff médical du club varois redoute une possible absence d'environ un mois.

Plus de forteresses

Faire de (choisir le nom du stade selon votre préférence) une forteresse imprenable. Voici le genre de déclaration que chaque entraîneur ne se prive pas de livrer à l'entame de chaque saison. Et c'est vrai que, d'ordinaire, l'avantage du terrain est bel et bien réel. Sauf que lors de cette première journée, seul deux clubs ont réussi à s'imposer à domicile (Perpignan et Brive). Certes, les gros comme Toulouse, le Stade Français et Clermont étaient de sortie, mais cela n'explique pas tout. Les déplacements sont pris de plus en plus au sérieux par toutes les équipes. Une tendance de plus en plus affirmée et qui devrait être confortée par la nouvelle formule du championnat. Albi et Montauban, qui recevaient respectivement le Racing Métro et Toulouse, ont cependant réussi à arracher le bonus défensif.

Par ailleurs, un seul bonus offensif a été inscrit (Brive) dans cette journée. Compréhensible dans la mesure où les attaques sont toujours un peu plus longues à régler que les défenses. Un autre signe d'un championnat qui pourrait se révéler très dense.

L'Equipe

RUGBY TOP 14 Orange: ce qu'il faut retenir de la 1ère journée


Retrouvez, club par club, les statistiques, marquantes ou originales, à l'issue de la 1ère journée de RUGBY TOP 14 Orange.


Albi :
Les Franciliens ne réussissent définitivement pas aux Tarnais en première division… en effet, à ce niveau, le SCA enregistre son troisième revers en autant d’affrontements, le 2ème à domicile.

Bayonne :
Depuis sa remontée dans l’élite en 2004, l’Aviron s’est toujours incliné à Perpignan… Les Bayonnais, même s’ils ont manqué le bonus défensif sur la sirène, se consoleront en se disant qu’il s’agit de leur plus court revers en Catalogne.

Biarritz :
Après avoir terminé la saison précédente en trombe avec 6 succès de rang pour arracher l’Europe, le BO trébuche d’entrée cette année, qui plus est à domicile.

Bourgoin :
Mauvaise entame de championnat qui enregistre sa 4ème défaite consécutive à domicile face à Clermont…

Brive :
Le CAB a enfin mis un terme au mauvais sort qui voulait qu’il ne remporte pas son premier match de la saison à domicile. En effet, la précédente victoire cabiste à Brive pour sa première sortie dans son antre remontait à 2005 et un succès 15-12 sur Bourgoin. S’en était suivi deux revers, face à Toulouse en 2006 (24-9) puis Bayonne en 2007 (22-21) et enfin un nul contre Castres l’an passé (16-16).

Castres :
Belle entrée en matière pour les Tarnais… et hasard du calendrier, le CO avait terminé sa saison 2007-2008 par un succès à Biarritz pour accrocher le wagon européen… il débute le nouveau par une victoire à Aguilera, de quoi nourrir quelques espoirs.

Clermont :
La belle série des Jaunards face à Bourgoin se poursuit avec une 8ème victoire consécutive sur le CSBJ, dont une 4ème de suite à l’extérieur.

Montauban :
Sapiac ne vibre plus au son des victoires du MTG XV, qui n’y a remporté qu’une seule de ses quatre derniers matchs, s’inclinant deux fois et concédant le nul à Clermont. Les Tarnais étaient pourtant tout près de signer leur 1er succès face à Toulouse en 8 affrontements… s’il n’y avait pas eu cette dernière minute de jeu…

Montpellier :
Le MHRC n’est toujours pas parvenu à trouver la voie du succès à l’extérieur en enchaînant un 9ème revers de rang en déplacement.

Paris :
Après 9 matchs disputés face à Toulon depuis l’avènement du professionnalisme, le Stade Français reste invaincu… même si ce nul est le moins bon résultat face au RCT, au regard des huit matchs précédents, qui s’étaient tous soldés par une victoire.

Perpignan :
L’USAP confirme ses velléités à domicile face Bayonne en signant sa 6ème victoire en autant de réceptions des Basques depuis leur remontée dans l’élite en 2004… en revanche, après avoir toujours inscrit au moins 32 points aux Ciel et Blanc, les Sang et Or, avec seulement 28 points au compteur, signent leur plus courte victoire.

Racing-Métro 92 :
Grâce à ce nouveau succès sur le SCA, les Racingmen signent leur 2ème victoire consécutive dans le Tarn, la 3ème en trois rencontres.

Toulon :
Les transferts effectués à l’intersaison commencent à porter leurs fruits sur la rade. Même si ce nul reste moins positif qu’une victoire, le RCT connaît son premier match sans défaite à Mayol face aux Parisiens en 5 matchs sur les hommes de la Capitale à Mayol depuis l’avènement du professionnalisme.

Toulouse :
En s’imposant pour la 8ème fois de suite à Montauban, Toulouse enregistre son 16ème succès de rang face au MTG XV depuis la saison 1984-1985.



LNR