Match avancé du vendredi 17/09/2010 :

TOULOUSE 29 - 20 BAYONNE

Défaites de Bourgoin (0 points) et La Rochelle (1 point). Il faut en profiter ce soir.

sualex a écrit:

Défaites de Bourgoin (0 points) et La Rochelle (1 point). Il faut en profiter ce soir.

pourquoi 1 point pour la rochelle ?

Citation :

pourquoi 1 point pour la rochelle ?

parce qu'ils ont perdu 23-29 donc bonus défensif !

Les résultats de cette 7 eme journée:


La Rochelle:23 - 29:Biarritz Olympique
Perpignan:22 - 21:Stade Français
Castres Olympique:26 - 6:Brive
Racing Métro 92:51 - 20:Bourgoin
Toulouse:29 - 20:Aviron Bayonnais

A noter, les défaites des rochelais et de Bourgoin!
La Rochelle se déplace ensuite 2 fois, à nous d'en profiter!

Babel47 a écrit:

Les résultats de cette 7 eme journée:


La Rochelle:23 - 29:Biarritz Olympique
Perpignan:22 - 21:Stade Français
Castres Olympique:26 - 6:Brive
Racing Métro 92:51 - 20:Bourgoin
Toulouse:29 - 20:Aviron Bayonnais

A noter, les défaites des rochelais et de Bourgoin!
La Rochelle se déplace ensuite 2 fois, à nous d'en profiter!

Ben oui on a l'occasion ou jamais peut etre de ce debarrasser de cette place de 14me, avec cette double reception, ce soir contre le MHRC et le week end prochain contre le SF.

Adishazt

Ben c'est fini au VELODROME, et TOULON s'impose devant un ASM qui rentre bredouille.
Ce soir TOULON est 4 me avec 19 Pts avec 2 defaites a la maison, le prochain match ils iront a BOURGOIN faire notre JEU j'espere pour remettre les compteurs a 0

Ce CHAMPIONNAT est FOU les amis

Adishatz

Rugby - Top 14 - 17/09/2010 - 19:09 - Mis à jour le 18/09/2010 - 19:17 -

Toulon enflamme le Vélodrome

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Belle performance pour Toulon qui lance enfin sa saison en s'imposant au Vélodrome de Marseille face au champion de France clermontois (28-16). Les Varois peuvent une nouvelle fois remercier la botte de Wilkinson, auteur de 23 points. Quatrième défaite pour Clermont qui s'installe dans le doute.


Aux rares observateurs qui pouvaient encore en douter, Jonny Wilkinson a prouvé qu'il était bien l'indéfectible arme fatale de Toulon. Auteur de 23 points, l'ouvreur anglais aura une nouvelle fois été le principal artisan du succès des siens (28-16) face au champion de France en titre, Clermont. Toujours présent en défense, il ajustait deux pénalités (15e, 24e) et un drop (33e) dans le premier acte pour maintenir les Varois au contact des Auvergnats. Et s'il ratait l'opportunité de prendre l'avantage au score avant le repos, l'homme aux 1 111 points avec le XV de la Rose assommait les visiteurs au retour des vestiaires avec quatre coups de pied en moins d'un quart d'heure (42e, 46e, 50e, 54e). Le dernier, un drop des 40 mètres alors qu'il était presque au contact de la ligne de défense adverse, confortait ses coéquipiers sur sa capacité à marquer dans n'importe quelle position. Il n'en fallait pas plus pour finir d'enflammer le Stade Vélodrome, exceptionnel antre du RCT pour cette revanche de la dernière demi-finale du Top 14.
En face, Parra tentait de répondre au métronome toulonnais (18e, 39e, 52e), mais les visiteurs s'en remettaient surtout à leur jeu d'arrières. Avec plus ou moins de réussite. Plus, quand Wesley Fofana passait la ligne en début de rencontre (7-0,12e), suite à un retour intérieur de James pour Malzieu, qui fixait son vis-à-vis avant de servir son trois-quarts centre. Moins, durant le reste de la partie, lorsque le soutien manquait systématiquement une fois le premier rideau franchi. Une baisse de régime due notamment à une pénurie de ballons après la pause, mais aussi à de trop nombreuses fautes de main.
Une défense retrouvée
Dans son entreprise, Clermont était d'autant moins aidé par le carton jaune infligé logiquement à Benoit Baby pour plaquage à retardement (44e). Un carton symbolique de l'indiscipline des visiteurs, qui auront ainsi participé à faire briller Wilkinson. Mais résumer la physionomie de la rencontre à l'impuissance auvergnate serait manquer de respect au bloc défensif varois. Bien en place pour résister aux percussions, solide à l'impact pour provoquer nombre d'en-avants et discipliné pour minimiser le score adverse, il ne restait plus au RCT qu'à sceller l'issue du match.
Ce fut chose faite à l'heure de jeu, lorsque Joe Van Niekerk concluait un essai de 60 mètres, construit par Wulf et Lamont, et amorcé après une séquence de hourra-rugby offerte par les deux équipes (61e). Une réalisation qui prive le visiteur auvergnat du bonus défensif. Si bien que le champion de France pointe au 10e rang tandis que son hôte du jour bondit au pied du podium avant le match de Montpellier ce samedi soir à Armandie. Rugbyrama - Thomas GOURDIN

Rugby - Top 14 - 17/09/2010 - 18:45 - Mis à jour le 18/09/2010 - 17:20


Le Racing nouveau leader




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Grâce à sa victoire bonifiée face à Bourgoin ce samedi à Colombes (51 à 20), le Racing-Metro s'installe seul en tête du Top 14 avec 23 points au compteur. Les Franciliens, auteurs de six essais, ont fait la différence en deuxième mi-temps et confirmé leur excellent début de saison.


Engagement réussi pour les hommes de Berbizier et Mannix qui remportent la rencontre face à Bourgoin grâce à six essais (30e, 51e, 57e, 59e, 74e et 78e). Les démons du passé semblent bien loin pour les Franciliens qui n’avaient encore jamais battu les Berjalliens en Top 14 chez eux. Les Ciel et Blanc peuvent se rassurer, la victoire est là, avec un bonus offensif en prime. Le nouveau leader du classement a montré un beau visage à l’occasion de la septième journée de championnat. Toutefois il aura fallu attendre la seconde période pour assister au règne du Racing. En effet, en première mi-temps, les joueurs franciliens commettaient un nombre incalculable de fautes, leur discipline leur faisait cruellement défaut et les nombreuses situations de surnombre sur l’aile n’étaient pas exploitées. Et malgré un essai de l’ouvreur Wisniewski (30e), Bourgoin ne se montrait pas en victime et exploitait chaque ballon jusqu’à ce que la perle fidjienne nommée Nadolo file à grande vitesse sur l’aile, laissant entre temps son compatriote Bobo et l’international Fall figés. A la mi-temps, l’inquiétude se lisait sur les visages des Racingmen, Berbizier demandait plus d’application. La première période se terminait sur une prestation décevante des Franciliens, comme pétrifiés, et Bourgoin n’avait plus que quatre unités de retard (17-13).
Trop dur physiquement
Après une seule victoire face au promu agenais (22-15), les Berjaliens avaient à cœur de marquer le coup et si ce n’est de ramener un point de bonus défensif, si important quand on est en position de lanterne rouge. La première période a véritablement mis en lumière la capacité de Bourgoin à entrer dans son match et à accrocher le Racing-Metro. Et un peu avant la demi heure de jeu, les deux équipes étaient à égalité (6-6), et ce n’est que l’indiscipline de Nadolo qui écopait d’un carton jaune pour un placage haut (25e), qui permit aux joueurs de Mannix d’inscrire le premier essai de la rencontre. Le Fidjien aux capacités exceptionnelles revenait dix minutes plus tard, enragé, pour marquer l'essai de son équipe, comme pour se racheter.
A l’inverse de la première partie, la seconde période a été une correction pour les Berjaliens, en quête de repères. Cinq essais en seulement une demi-heure mettaient en exergue les faiblesses du collectif isérois, trop juste physiquement et moralement. La magnifique percée de Coetzee dans le rideau défensif du Racing (66e) n’y changera rien, le Racing a brillé par sa supériorité. Le vaillant Bourgoin repart une nouvelle fois les mains vides et la réception du RCT la semaine prochaine s’annonce d’ores et déjà complexe.
Probant leader
Le Racing-Métro est donc le leader incontestable à l’issue de la septième journée de championnat. Et quel leader ! Rappelez-vous, il y a tout juste un an, les hommes de Berbizier réussissaient la formidable ascension de monter en Top 14. Une anuité plus tard ils sont leaders. Et le moins que l’on puisse dire est que les Racingmen n’ont pas chômé pour venir à bout du courageux Bourgoin. Un festival d’essais et une main mise quasi totale sur le ballon en seconde mi-temps, ont permis au club d’obtenir leur deuxième bonus offensif consécutif. Le Racing est donc dans une forme olympique, et la réception du BOPB pour la huitième journée pourrait bien constituer la passe de trois ! Rugbyrama - Florane POINOT

Rugby - Top 14 - 18/09/2010 - 10:41 - Mis à jour le 18/09/2010 - 18:27


Perpignan au forceps




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Menés 18-12 à la mi-temps par des Parisiens décomplexés, les Perpignanais se sont fait peur une nouvelle fois sur leur terrain mais ils ont trouvé les ressources en deuxième période pour s'imposer d'un petit point, 22 à 21. L'Usap a assuré mais n'a pas encore rassuré.


Dans une ambiance électrique après des résultats décevants de part et d'autre, l'Usap et le Stade français s'affrontaient pour se rassurer et glaner des points pour retrouver un rang digne de leurs statuts respectifs. L'opposition,qui n'était pas sans rappeler une affiche de phases finales, s'annonçait ainsi rude entre deux ténors du championnat déjà sous pression après moins d'un tiers de la saison écoulée. Et dans ce contexte particulier, c'est Paris qui prenait le meilleur départ par une pénalité de Beauxis (5e). Les choses se compliquaient d'ailleurs très vite pour les locaux. Après deux chaudes embrassades, c'est Cazenave qui écopait d'un carton jaune pour être venu faire valoir son point de vue alors que les esprits s'étaient calmés (7e). Perpignan allait donc évoluer à 14 pendant 10 minutes, et il n'en fallait pas plus pour que Paris en profite. Sur une mêlée à 5 mètres, alors que Sid était passé à la mêlée, Parisse sortait à droite pour Dupuy, la ballon filait à l'aile pour Arias qui marquait en force (9e).
On assistait alors à un premier acte inconstant où beaucoup de fautes et de maladresses étaient commises, et où les bons enchainements alternaient avec des phases où le rythme retombait. Paris pliait à plusieurs reprises mais ne rompait jamais notamment grâce à un énorme travail de joueurs comme Szarzewski, Parisse ou Haskell qui se multipliaient en défense et faisaient régulièrement reculer les Catalans à l'impact. C'est ainsi en agressant leurs adversaires sur les zones de rucks que les Parisiens récupéraient un ballon qu'aucun Sang et Or n'était venu réclamer et que Valançon, presque seul, s'en allait inscrire un essai assassin à la 22e. De son côté, Porical s'occupait de meubler (12e, 18e, 21e, 38e). Les deux équipes se séparaient à la pause sur un score de 18 à 12 mérité pour des Parisiens sérieux et réalistes.
Le one-man show de Porical
La deuxième période avait un léger goût de déjà vu pour les Catalans qui se retrouvaient rapidement à 14 après une obstruction de Marty sur Arias juste devant son en-but. Paris n'en profitait pas et devait attendre la 53e pour marquer de nouveaux points par Beauxis, à la suite d'une action litigieuse au cours de laquelle Bastareaud était pris sans ballon alors que l'essai lui tendait les bras et qui aurait mérité un nouveau carton voire un essai de pénalité. Une action à sept points qui n'en rapportait finalement que trois, et qui pourrait faire jaser tant le match était serré.
C'était en effet le tournant du match, puisque à la suite du renvoi, les Catalans revenaient à l'attaque dans le camp parisien et Porical, dans un très grand jour, héritait de la balle en bout de ligne, tapait par-dessus la défense et récupérait acrobatiquement pour aller plonger dans l'en-but (55e). Alors qu'ils auraient pu être distancés, les Catalans revenaient à 21-19. Perpignan monopolisait le ballon et mettait la défense parisienne à contribution. Il ne manquait plus qu'une dernière touche pour que le scénario soit parfait pour des Perpignanais qui dominaient largement les débats, et c'est bien évidemment Porical, encore et toujours lui, qui se chargeait de crucifier les Parisiens à la 62e. Les joueurs de la capitale tentaient bien de se rebeller mais n'avançaient plus et ne pouvaient plus rien faire pour inverser la tendance. Ils repartaient donc avec un bonus défensif amer tant ils échouaient près du but. Pour Perpignan, c'était bien le minimum que de gagner ce samedi avant de se déplacer chez l'épouvantail bayonnais, et les Catalans peuvent encore une fois remercier Porical, auteur de tous les points de son équipe. Rugbyrama - Thomas CORBET

Rugby - Top 14 - 17/09/2010 - 19:00 - Mis à jour le 18/09/2010 - 16:47


Castres s'impose sans briller




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A Pierre-Antoine, Castres a pris la mesure de Brive (28-6) grâce à une belle fin de match. Brouillon, l'écart au score est même flatteur pour les Tarnais qui se sont appuyés comme de coutume sur la botte de Teulet auteur de 20 unités. Les Corréziens, malmenés en mêlée, ne marquent aucun point.


Il paraît que les joueurs de rugby aiment bien jouer sous une température proche des vingt degrés avec un temps grisonnant et une légère brise d'automne. Mais la première mi-temps de la rencontre Castres-Brive nous a prouvé tout le contraire. Aucun essai dans cette période qui a vu les Tarnais passer devant leur adversaire du soir grâce à la botte de Romain Teulet. M.Matheu avait du travail et infligeait pas moins de trois cartons en huit minutes. Deux à la suite de chamailleries en mêlée entre Idieder et Hoeft (20e). Les équipes évoluaient à quatorze jusqu'à une "nouvelle biscotte" donnée à Baï pour plaquage dangereux (28e). En infériorité numérique, les Castrais tenaient le score grâce à une bonne défense mais surtout à cause de la maladresse des buteurs coujoux. Caminati puis Palisson ratant chacun une tentative. Castres ne semblait pas avoir les moyens de faire plus, commettant trop de maladresses ballon en main. Seul point positif : la mêlée tarnaise dominait largement son homologue corrézienne. 9 à 3 à la fin des quarante premières minutes, le spectacle n'était pas au rendez-vous.
Et Brive craquait en mêlée...
La seconde période démarrait sur de meilleures intentions mais il manquait toujours un soutien ou un éclair de génie pour vraiment enflammer la partie. Les buteurs se chargeaient d'animer une rencontre qui voyait Castres prendre le large. Les coups de sifflets se multipliaient contre des Corréziens trop indisciplinés. Dubarry prenait un autre carton jaune pour ne pas avoir respecté la règle des dix mètres (55e). La mêlée briviste n'arrivait pas à reprendre l'avantage, se faisant sanctionner à de nombreuses reprises, à tort ou à raison. Et c'est Romain Teulet qui en profitait pour terminer au final avec 20 points au compteur. Brive craquait complètement à la fin de la rencontre, relançant des ballons impossibles à jouer. Conséquence : Marc Andreu pouvait enfin faire lever les spectateurs de Pierre-Antoine sur le seul essai du match suite à une belle passe volleyée d'Audrin (80e).
Castres reste invaincu à domicile grâce encore à une excellente performance de son buteur et à des fondamentaux toujours bien respectés. Malgré un jeu maladroit, les hommes de Laurent Labit gardent un rythme intéressant (victoire à domicile et quelques bonus à l'extérieur) qui peut s'avérer payant dans la course aux barrages. Brive a semblé supérieur dans le jeu mais n'a pas su concrétiser ses temps forts. Les Corréziens ont surtout pêché dans la discipline, des lancements de jeu moyens et une mêlée à la peine. Un match médiocre en somme qui voit une nouvelle fois les Tarnais sortir vainqueurs d'une opposition musclée. Rugbyrama - Romain POUJAUD

Rugby - Top 14 - 18/09/2010 - 11:25 - Mis à jour le 18/09/2010 - 17:20


Le BO n'est pas tombé dans le panneau




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Le Biarritz olympique n'a pas flanché chez le promu rochelais en ramenant sa première victoire à l'extérieur de la saison 29-23. Les Basques se sont encore appuyé sur leur buteur Dimitri Yachvili. La Rochelle, de son côté, a trouvé les ressources pour récupérer le bonus défensif en fin de match.


Pour la première titularisation de son capitaine Robert Mohr, La Rochelle n'a pas su venir à bout de son adversaire du jour, le Biarritz-Olympique. Les hommes d'Imanol Harinordoquy décrochent donc leur première victoire de la saison à l'extérieur, en s'imposant 23-29 à Marcel-Deflandre. Et si les Charentais ont pris un point de bonus défensif dans les dernières secondes de la partie, ils enchainent tout de même une quatrième défaite de rang, la cinquième en sept journées. Qu'il semble loin de bon début de saison des promus!
Pourtant, les Rochelais n'ont pas démérité sur l'ensemble du match, ne baissant jamais les bras et engageant de nombreuses attaques. Mais la précipitation et le manque de repli défensif leur coutent un match dont l'issue est restée incertaine jusqu'à la fin. Ce sont d'abord les Biarrots qui ont mené au score, et ce dès la 5e minute du match, avec un essai de Raphaël Lakafia transformé par Peyrelongue. Puis, en seulement six minutes, La Rochelle a réussi à revenir au score et à prendre l'avantage, avec deux essais de Ninard (27e) puis Rabeni (33e). A la pause, les hommes de Serge Milhas menaient 18-13 et ont donc renversé la vapeur. De retour des vestiaires, Biarritz remettait la main sur le ballon et Ngwenya signait un très bel essai à la 50e, redonnant l'avantage aux siens. Dès lors, les Rochelais n'ont pu revenir, mais leur engagement constant a tout de même fini par payer avec un dernier essai de Clément sur l'ultime action du match, qui leur offre un précieux point de bonus défensif.
La clé du match: la touche
Avec trois essais à deux, ce sont bien les locaux qui ont été les plus présents offensivement dans cette partie, notamment grâce à leur demi de mêlée, Ferrou, dont la vista est à l'origine de bon nombre des attaques rochelaises. Mais si le Stade ne s'est pas imposé, il le doit à son manque d'organisation. Beaucoup de ballons rendus, souvent dans les derniers mètres de leurs actions, et un problème de repli défensif qui a permis aux Biarrots de bénéficier de contres intéressants. Et Biarritz, de son côté, a su se montrer très réaliste et jouer sur son point fort: la touche. Très nombreuses durant ce match, elles ont permis aux Basques de pratiquer un art dans lequel ils excellent: récupérer les lancers adverses. Tour à tour Magnus Lund puis Carrizza ont volé de précieuses touches, confirmant l'impressionnante statistique du BO, qui récupère sept lancers adverses sur dix depuis le début de la saison.
Enfin, Biarritz a pu s'appuyer sur son buteur prodige, Dimitri Yachvili, entré en jeu en seconde mi-temps et qui a passé des pénalités importantes, permettant à son camp de faire le break et de mettre la pression sur les Rochelais. Egalement à l'origine de l'essai de Ngwenya sur un coup de pied millimétré qui renverse le jeu de gauche à droite, Yachvili remporte haut la main le duel des buteurs de cette rencontre. Il faut dire qu'en face, suite au carton rouge dont a écopé Dambielle la semaine dernière, le staff avait décidé de titulariser le jeune Maxime Le Bourhis, très bon à la récupération mais pas encore précis au pied. Il a notamment raté deux pénalités et une transformation, soit huit points... de quoi offrir la victoire à son camp. Rugbyrama - Diane BARON

heureusement que Bourgoin et La Rochelle n'ont pas beaucoup marqué... Cette lutte à 3 va durer une bonne partie de la saison je pense...

Pour moi c'est la rochelle qui va se sauver.

Kawa a écrit:

Pour moi c'est la rochelle que vas se sauver.

Ben je commence a le penser aussi, ils ont un petit + par apport a BOURGOIN et surtout par apport a nous, c'est qu'ils ont 2 ou 3 joueurs capable de passer la ligne d'avantage que nous n'avons pas ou plus

et de plus avec un effectif + PRO D2 que TOP 14 ils sont + guerriers que nous devant grosse difference a ce niveau, et encore leur infirmerie est pleine

Adishatz

babitcho a écrit:

Kawa a écrit:

Pour moi c'est la rochelle que vas se sauver.

Ben je commence a le penser aussi, ils ont un petit + par apport a BOURGOIN et surtout par apport a nous, c'est qu'ils ont 2 ou 3 joueurs capable de passer la ligne d'avantage que nous n'avons pas ou plus

et de plus avec un effectif + PRO D2 que TOP 14 ils sont + guerriers que nous devant grosse difference a ce niveau, et encore leur infirmerie est pleine

Adishatz

La notre aussi et pas des moindres.

Tous nos joueurs capable de resserer les défense adverses sont out

Le truc cette année que nous avions pas anticipé est le bouleversement de la hiérarchie au plus haut niveau. On pensait que l'on allait batailler avec la rochelle et bourgoin bien sûr, mais également avec Brive, Bayonne ou... Montpellier

Maintenant, l'écart se creuse chaque journée et le bas de tableau, pour l'instant, se joue entre 3 équipes.

Mais bon, on n'en est qu'à la 7ème journée, le chemin va être long et compliqué mais ça on le savait déjà, maintenant on en est sûr !

Il faut impérativement faire un bon match samedi prochain devant le Stade Français, histoire de prendre un peu de points et surtout de se rassurer un petit peu car en suivant on prend les volcans d'auvergne

Rugby - Top 14 - 19/09/2010 - 12:04 - Mis à jour le 19/09/2010 - 18:03

La 7e journée en bref

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LES CHIFFRES-CLE




Meilleure attaque : Racing-Metro (225 points)
Meilleure défense : Montpellier (121 points)
Meilleur réalisateur : Jonathan Wisniewski (Racing, 104 pts)
Meilleur marqueur : Maxime Médard (Toulouse, 5 essais)






Castres qui s'impose devant un concurrent direct, les désillusions d'Agen largement battu par Montpellier, la grande perfromance de Wilkinson, le numéro de funambule de Porical ou le Racing qui s'installe à la première place...Retrouvez ce qui a marqué la 7e journée de Top 14 disputée ce week-end.




EN HAUSSE : :

Castres
Défait la semaine dernière à Montpellier et ramenant aucun point de bonus dans ses valises, Castres se devait de réagir pour s’accrocher aux places qualificatives. Face à un concurrent direct, Brive, en état de grâce après deux victoire devant Toulon et le Stade français, les Tarnais ont bien gérer leur affaire. Et comme d’habitude, c’est la botte de Romain Teulet qui a fait la différence. L’arrière du CO s’est encore montré irrésistible, affichant un très bon taux de réussite (7/ pour un total de 20 unités. Au-delà de cette performance, Castres s’est montré solide en conquête, prenant le pas sur le pack de Brive qui est quelque peu passé à côté de son match. Sans être exceptionnels, les Tarnais continuent à conserver leur invincibilité à domicile et pointent au sixième rang.


EN BAISSE : :

Agen
Apathique et maladroit, Agen a enregistré une sévère déculottée dans son antre d’Armandie devant Montpellier (6-35). Absents des débats, naïfs en défense, les Lot-et-Garonnais ont souffert comme d’habitude en première période pour encaisser la bagatelle de 24 unités. Rédhibitoire pour espérer s’imposer dans un match important pour le SUALG qui avait une opportunité de se sortir de la zone rouge. Au contraire, Agen s’enfonce dans le doute et devra batailler dans un mini-championnat à trois avec La Rochelle et Bourgoin pour sauver sa peau. La venue du Stade français la semaine prochaine s’annonce déjà décisive pour les Agenais.


LE JOUEUR : :

Jonny Wilkinson (Toulon)
On ne soulignera jamais assez l’importance de Jonny Wilkinson dans les rangs de Toulon. Souvent médiocre dans le jeu, le RCT a pu se reposer depuis le début de la saison sur la botte de son ouvreur international pour faire la différence, comme ce fut le cas à La Rochelle ou contre Agen. Face à Clermont, dans un Vélodrome en ébullition, Wilkinson a de nouveau remis le couvert pour sortir une prestation haut de gamme. En véritable chef d’orchestre, il a animé brillamment le jeu de son équipe mais surtout enquillé les points au pied pour battre le champion de France en titre. Avec vingt-trois points, il est le meilleur réalisateur de cette septième journée et fut le principal artisan du succès de Toulon qui retrouve des couleurs.


L’ESSAI : :

Jérôme Porical (Perpignan)
Bien mal embarqué à domicile contre le Stade français, Perpignan a su renverser la situation grâce à son arrière Jérôme Porical. Alors qu’il avait déjà marqué quatre pénalités, il fut à la conclusion d’un magnifique exploit personnel peu avant l’heure de jeu. Sur une attaque placée de Perpignan dans les 22m de Paris, il fut servi en bout de ligne. Porical tapa alors un magnifique coup de pied par-dessus le jeune ailier Valençon, récupéra le ballon en jonglant au nez et à la barbe de son vis-à-vis et aplatit dans l’en-but. Avec la transformation, l’arrière catalan rapprocha son équipe au score avant d’offrir la victoire sur pénalité. Avec 22 points, Jérôme Porical marqua l’intégralité des points de l’Usap (22-21).


LA STAT : :

1
Grâce à son succès bonifié devant Bourgoin (51-20), le Racing-Metro a pris les commandes du Top 14. Et depuis son retour dans l’élite en 2009, c’est la première fois que les Franciliens occupent cette position. Une juste récompense pour cette formation séduisante dans le jeu et qui s’est montrée opportuniste à l’extérieur en décrochant deux succès contre Brive et Toulon. Lors de la réception de Biarritz samedi prochain, la bande à Berbizier étrennera son tout nouveau costume de leader.


LA DECLA : :

Guy Novès (Entraîneur de Toulouse)
Malgré la victoire, le Stade toulousain a souffert pour prendre la mesure de Bayonne. Le manager Guy Novès ne le réfute pas mais s’avère satisfait d’avoir pris quatre points en raison des nombreux blessés dans l’effectif haut-garonnais : «Il faut se contenter de cette victoire et le fait de les avoir privés du point de bonus défensif est une bonne chose. Il nous manque encore trop de joueurs pour être plus conquérant en fin de match quand il faut faire du coaching. Malgré tous ces pépins, nous sommes encore là. La saison dernière, nous avions gagné 21-16 et le fait de les priver du point de bonus défensif est une petite victoire". Rugbyrama - Clément MAZELLA

Rugby, Top 14, 7e j - Sports24 - 19/09/2010

La 7e journée décryptée


Le Racing-Métro leader pour la première fois, Montpellier en démonstration à Agen, les difficultés de Clermont… Tout ce qu’il faut retenir de la 7^e journée du Top 14.

La perf’ : Montpellier

Longtemps forteresse imprenable par le passé, Armandie s’est laissé piétiner par l’envahisseur montpelliérain samedi soir (6-35). Tout. Relances, conquête, jeu en mouvement, Montpellier a tout fait à Agen, sous l’impulsion d’une charnière Tomas-Trinh-Duc en dynamite. A la clé, quatre essais, dont deux pour Fulgence Ouedraogo, en forme internationale. Un vrai régal qui n’est pas inédit en ce début de saison. Alliant spectacle et efficacité, jusqu’où peuvent aller les hommes de Fabien Galthié, désormais 2es du Top 14 ?


Le flop : Clermont

4 défaites en 7 matches, Clermont est loin du rythme de champion qu’il est. Devant à la pause (9-13), l’ASM a ensuite subi la furia toulonnaise au Vélodrome (28-16). «Notre deuxième période a été insuffisante, médiocre, choisissez le mot, vous trouverez le bon», peste Aurélien Rougerie dans L’Equipe. Son jeu loin d’être au point, le club auvergnat paie cash ses erreurs individuelles. Un relâchement dû à un nouveau statut difficile à assumer ? «On est tous coupables», lâche le capitaine jaunard. 10^e après sept journées, Clermont est plus proche des relégables que de la tête.


Le geste : Jérôme Porical

Un coup de pied par-dessus la défense, une récupération acrobatique au-dessus de la tête de Rodriguez, un essai en bout de ligne, voilà comment Jérôme Porical a relancé Perpignan contre le Stade Français. L’USAP était alors menée de neuf points quand l’arrière catalan réussit ce petit one-man-show, validé par la transformation. Sa cinquième pénalité dans la foulée permettait aux locaux de prendre l’avantage pour la première fois (22-21). Suffisant pour gagner. Auteur des 22 points de son équipe, Jérôme Porical est un récidiviste face au Stade Français (5 essais lors des 4 dernières confrontations).


L’homme en forme : Jonny Wilkinson

Les Anglais nous l’envient, mais Jonny Wilkinson fait le bonheur de Toulon et reste le cauchemar numéro un de ses adversaires. Décisif dans le succès du RCT face à Clermont samedi (28-16) avec vingt-trois points au compteur (4 pénalités, 2 drops, 1 transformation), l’ouvreur varois a reçu les louanges de toute son équipe après la rencontre, son président en tête. «L’un des plus grands dix de l’histoire du rugby, lance Mourad Boudjellal. On a retrouvé un Jonny millésimé 2003.»


La décla : Arnaud Méla

«On a fait des fautes stupides, je suis dégoûté, fulmine Arnaud Méla. Il faudra revenir à des choses plus sérieuses contre Toulouse.» Battu par Castres (28-6), le Briviste ne pouvait cacher sa frustration au coup de sifflet final. Ugo Mola craignait une décompression du CAB avant la réception de Toulouse dans une semaine, les propos de son joueur valident sa thèse…


La stat : 1

Vainqueur de Bourgoin avec le bonus offensif (51-20), le Racing-Métro est le nouveau leader du Top 14. C’est une première pour le club francilien depuis son retour parmi l’élite. Il n’avait même jamais été premier depuis que la poule unique a été instaurée.