Infos Montpellier (2010-2011)

Midi Libre: Publié à 13 h 35 - Le Montpellier Hérault Rugby a son nouvel organigramme. A l'issue d'une assemblée générale qui s'est tenue dans la sérénité, en toute fin de matinée Jean-Pierre Massines, jusqu'à présent directeur général du club, a été nommé président du directoire en remplacement de Thierry Perez. Olivier Nicollin prend pour sa part la tête du conseil de surveillance.


Le dernier club de XV géré par un Nicollin, Béziers....

ça nous laisse un espoir supplémentaire

après les bruits de scandale Derichebourg avec les dechets, voila les salades de poubelles à la sauce septimanienne
pourquoi ne prennent ils pas Bonbon Rose ( la mama qui a envouté les bleus)
comme gestionnaire
elle en connait un rayon avec la gripette
il serait interessant de se pencher sur son patrimoine et son enrichissement depuis un an, vu ses accointances avec les labos
on a connu des histoires semblables du coté de Woerth, des délires de Presse soit disant selon l'inénnarable tête à claques de Lefevre
allez, bientôt un nouveau club dans la charrette des souvenirs ovaliens !
OH DOUCE FRANCE

Nicollin le fonds de pension languedocien...

Frèche a réussi son coup.

Je souhaite à Galthier de se retirer de ce fiasco.
Le commentateur m'exaspère, l'entraineur me plaisait bien, j'adorais le joueur...

Quel que soit les résultats à venir, Montpellier a un bien beau stade pour ce qu'il affiche en dehors...

Midilibre: Publié à 18 h 45 - Le retrait de Thierry Perez de la présidence du Montpellier Hérault Rugby n'aura pas suffi à Georges Frêche. Cet après-midi, le président de l'Agglomération de Montpellier a demandé à ce que l'ancien président de ce club, aujourd'hui simple membre du directoire, « vende ses parts » et quitte définitivement le MHR.

Dans une scène surréaliste où il a demandé à voir Fabien Galtié qui assurait son premier entraînement public devant 500 personnes, au stade Yves-du-Manoir, Georges Frêche a lancé au nouvel entraîneur du MHR, médusé au bord de la pelouse : « Perez, c'est fini (...) Si dans un an, il est encore dans les pattes, je me retirerai et vous vous démerderez
comme vous voudrez », indiquant qu'il verserait la subvention au club pour cette année, mais pas la saison prochaine si son exigence n'était pas satisfaite.

Après avoir lancé son ultimatum en présence du nouveau président Jean-Pierre Massines, le président de l'agglomération de Montpellier a poursuivi, alors qu'André Vezinhet, son désormais ennemi déclaré, se trouvait à quelques mètres de lui, en tribune : « J'ai eu Perez. A terme, je vais m'occuper du beau-père. J'ai déjà viré Mandroux de l'hôpital de Montpellier. Le tour de Vezinhet viendra...» Avant de quitter le stade annexe d'Yves-du-Manoir, non sans s'être apostrophé avec des spectateurs.

Malcom X a écrit:

ça nous laisse un espoir supplémentaire

L'espoir grossit

http://www.lequipe.fr/Rugby/breves2010/20100713_005546_-j-avais-envie-de-venir.html

Trinquetaille a écrit:

Malcom X a écrit:

ça nous laisse un espoir supplémentaire

L'espoir grossit

Si les places au classement se jouait aux agitations et guerre en coulisse le CSBJ serait en Pro D2 depuis des lustres et nous n'aurions pas fais notre derniere finale.
Heureusement les sportifs sur le terrain ont leur mot à dire et c 'est eux qui detiennent les clés du camion au travers de leurs performances sportives.

Rugby - Top 14
13/07/2010 - 09:26 - Mis à jour le 13/07/2010 - 09:51
Galthié : "L'humain porte la performance"

DPPI
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Béchu : "Je ne veux pas perdre de temps"
Lundi après-midi, Fabien Galthié a tenu sa première conférence de presse sous les couleurs montpelliéraines. Entouré par Eric Béchu et Fulgence Ouedraogo, l'ancien coach du Stade français, a livré son plaisir de retrouver le terrain. Et, déjà, effectué quelques mises au point.
Vous avez découvert ce lundi matin l'effectif du MHR, avant de diriger votre premier entraînement avec Eric Béchu en fin d'après-midi. Quelles sont vos sensations ?

Fabien GALTHIE : Nous apprenons à nous connaître. C'est une nouvelle aventure qui commence. Un nouveau défi. J'ai l'impression qu'il y a beaucoup d'appétit autour de l'équipe. Je sens les regards. Il y a une forte envie, une attente. C'est agréable.

Vous aviez failli venir l'an dernier...

F.G : (Il coupe) Je m'étais engagé pour deux saisons avec l'Argentine et il fallait aller au bout, même chose pour France Télévisions. C'est pour ça que j'avais dit non à Montpellier.

Ressentiez-vous un manque par rapport à l'entraînement, un besoin ?

F.G : Le rugby est pour moi une passion. Pendant deux saisons j'ai continué à garder la main avec la sélection d'Argentine. Mais, avec six matchs par an, ce n'était pas très intense. Peut-être qu'il y avait un besoin par rapport à la passion. C'est un grand plaisir de replonger là-dedans.

Quels sont vos objectifs ?

F.G : Essayer de faire du mieux possible. L'exigence n'a pas de limites.

Allez-vous renforcer encore l'effectif ?

F.G : Le jeu est de faire avec ce que l'on a.

Que vous inspirent les remous qui entourent le club, avec la pression de Georges Frêche (président de la Région) à l'encontre de Thierry Pérez, qui a été contraint de démissionner de la présidence ?

F.G : Avec Eric, nous sommes là pour remplir une mission sportive, pour aider l'équipe à s'exprimer de la meilleure façon possible. J'ai signé avec Thierry Pérez, c'est lui qui m'a fait venir. Ça je ne l'oublie pas. La période est tourmentée mais il nous appartient de nous comporter comme des compétiteurs. Quand c'est difficile, il faut être encore plus fort.

Avez-vous été tenté de faire marche arrière ?

F.G : Cela ne m'a pas effleuré l'esprit. A partir du moment où je me suis engagé, il n'y avait aucune raison.

Etes-vous prêt à aller rencontrer Georges Frêche ?

F.G : Avec plaisir si cela peut être positif pour tout le monde.

Pour vous qui étiez habitué à "jongler" entre divers sites pour diriger les entraînements du Stade français, les infrastructures montpelliéraines doivent être appréciables.

F.G : C'est différent du Stade français mais il faut avoir conscience que le luxe ne fait pas tout. L'humain porte la performance.

Comment allez-vous partager les tâches avec Eric Béchu ?

F.G : C'est une belle histoire mais nous ne serons pas trop de deux. Nous travaillerons dans la collaboration. Nous sommes assez polyvalents, à l'aise ensemble.

Un mot sur le calendrier, qui vous offre cinq matchs très difficiles pour débuter. Est-ce synonyme de pression ?

F.G : Moi j'appelle ça du plaisir. On va se confronter avec ce qu'il y a de mieux. Rien n'est joué et c'est sur la durée que l'on juge la performance. On parlait tout à l'heure de nos objectifs : il y en a un de concret : le club est à installer au plus haut niveau. Ceci afin que les meilleurs joueurs formés au MHR puissent s'exprimer au plus haut niveau.

En ce sens le début de saison sera décisif, non ?

F.G : La pression ne sert à rien. Nous avons une saison à réussir, dans sa globalité.

Myano a signé

Le jeune ailier argentin Martin Bustos Moyano vient de s'engager avec Montpellier. Polyvalent, il pourra occuper l'aile, l'arrière et buter, comme il l'avait déjà fait contre la France en juin lors du test contre l'Argentine A.

L'arrière de Montpellier, Robin Solana évoluera à Carcassonne la saison prochaine. L'arrière a été prêté pour une saison au club promu en Pro D2 par Montpellier.

Je regarde de temps à autres le rugby à XIII et ce mec la je me suis toujours dit que c'été une vrai bombe et qu'à 15 il ferait un malheur.
Vraiment ce joueur est spectaculaire à XIII je leur souhaite d 'avoir fait une bonne pioche.

Publié à 11 h 05 - Depuis son engagement comme entraîneur du Montpellier Rugby Club, Fabien Galthié était à la recherche d’une maison pour s’installer avec femme et enfants. Après en avoir visité plusieurs, notamment dans l’élégant quartier de l’Aiguelongue, il aurait fait l’acquisition d’une belle demeure du côté de Lattes.

On sait que l’un des éléments qui a plaidé en faveur d’une réponse positive à un engagement à Montpellier, c’est, outre la relation qu’il a nouée avec l’ancien président Thierry Pérez, l’engouement de son épouse à venir vivre dans le sud de la France avec ses filles. A noter que, selon nos informations, son contrat prévoirait une prime d’installation (achat d’une maison) de 1 million d'euros.

J'espère pour lui qu'il n'est pas en zone innondable...

vulcain a écrit:

J'espère pour lui qu'il n'est pas en zone innondable...

Lui non...le MRC, faut voir !

Sans Galthié, je les voyais bien lutter pour le maintien !
Restent Bourgoin et la Rochelle...faut s'accrocher !

Commotion pour Mirande

Evacué sur civière avec un collier cervical après un plaquage sur Aurélien Rougerie, Sylvain Mirande souffrirait d'une commotion. Le centre montpelliérain a repris rapidement ses esprits et a pu retrouver ses coéquipiers après la rencontre (victoire de Clermont 27-10). Mirande n'aura passé que cinq minutes sur le terrain.

Par Guillaume PALACIOS ,le 8 septembre 2010

Eric Béchu, l’autre sorcier du MHR


Malgré un calendrier plus que délicat, Montpellier fait mieux que se défendre dans ce TOP 14 Orange. Avec des victoires contre Toulouse, le Racing et à Perpignan, le MHR se positionne comme un trouble-fête sérieux du championnat. Et si l’on parle beaucoup de l’apport de Fabien Galthié dans cette réussite, la part d’Eric Béchu, co-entraineur du MHR, n’en est pas moindre. Pour LNR.FR, il revient sur le début de saison, son arrivée dans le Languedoc et sur ses onze années passées à Albi.


Etes-vous surpris du début de saison du MHR ?

Surpris…Oui, quelque part. On avait un calendrier très difficile, puisque lors des six premiers matchs, nous avons affronté le vice-champion d’Europe, ainsi que 4 des 6 barragistes de la saison passée ! Et nous en recevons un autre, Castres, ce samedi. Mais il faut dire que l’équipe avait gagné 13 matchs l’an passé, et il lui a surtout manqué des points de bonus, défensifs comme offensifs, pour jouer la qualification en barrages. Ce groupe a déjà un vécu.

Comment se passe la cohabitation avec Fabien Galthié ? Comment vous répartissez-vous les tâches ?

Je faisais le café, il débarrassait la table (rires) ! Enfin, plus maintenant, il vole de ses propres ailes depuis qu’il a trouvé un appartement. Plus sérieusement, tout se passe bien, il n’y a eu aucun accroc entre nous jusque-là. Lui a tendance de s’occuper un peu plus des trois-quarts, et moi des avants.

Il vous a décrit en interview comme étant son « mentor ». Flatté ?

Pas du tout. Je n’ai été que son éducateur en cadets, depuis il a mené sa carrière sans moi. Ce qu’il a accompli dans sa carrière, en tant que joueur et en tant qu’entraineur, Fabien ne le doit à personne.

Rempiler ailleurs de suite après Albi, c’était une volonté de votre part ou le fruit du hasard ?

Pour tout vous dire, c’était plus le fruit du hasard. J’ai quitté Albi parce que je le désirais. J’avais envie de couper un peu. Un mois après avoir quitté le SCA, les premiers contacts se sont noués avec Montpellier. Le projet m’a plu, donc j’ai dit oui. Mais à la base, je voulais prendre une année sabbatique.

Est-ce qu’Albi vous manque ?

Il y a toujours un pincement, bien sûr. J’ai passé onze ans à Albi, alors forcément, ça a été difficile de partir. Mais je pense sincèrement qu’il était temps de voir autre chose. Je n’ai pas trop envie de revenir sur les conditions de mon départ, mais ce qui est sûr, c’est que j’ai connu beaucoup de joies et de succès à Albi. Nous sommes passés de la Fédérale 1 au TOP 14 Orange, avant de redescendre administrativement et de remonter dans la foulée. La saison passée a finalement été mon premier échec avec Albi. Autrement, je n’y ai connu que des bonheurs sportifs.

Avez-vous changé, à la fois humainement et en tant qu’entraineur, en changeant de club ?

Forcément un peu au niveau de mes méthodes de travail ; je suis dans un autre club, avec d’autres joueurs, un autre staff. On partage nos connaissances, et c’est très enrichissant. Rester des années dans un même club comme je l’ai fait à Albi, ça incite inconsciemment à rester sur ses certitudes. Après, humainement parlant, je pense que le départ d’Albi m’a fait gagner en lucidité, je dirais.

Le MHR a-t-il changé d’ambitions après 5 premières journées réussies ?

Non, on reste toujours sur les mêmes objectifs : essayer de faire mieux que ce que l’on devrait normalement faire. Beaucoup de gens voient Montpellier dans le ventre mou du classement, l’objectif est donc de faire mieux. C’est ce même principe que j’ai appliqué à Albi, et je n’en change pas puisqu’il a plutôt bien marché…

Quand est ce que l'on fait sa nous?

https://www.dailymotion.com/video/xewwnh_ovalie-hebdo-du-mercredi-22-septemb_sport

Puisqu'on en est réduit à supporter les équipes qui jouent contre La Rochelle et Bourgoin alors : ALLEZ MONTPELLIER !

DA VINCI CODE a écrit:

Puisqu'on en est réduit à supporter les équipes qui jouent contre La Rochelle et Bourgoin alors : ALLEZ MONTPELLIER !

Non de diou contre qui joue Bourgoin et La rochelle pendant qu'on ira se faire baisser le short à Clermont

ripsua a écrit:

DA VINCI CODE a écrit:

Puisqu'on en est réduit à supporter les équipes qui jouent contre La Rochelle et Bourgoin alors : ALLEZ MONTPELLIER !

Non de diou contre qui joue Bourgoin et La rochelle pendant qu'on ira se faire baisser le short à Clermont

02/10/2010 14:30 Perpignan La Rochelle
Bourgoin Brive Stade Pierre-Rajon

23/10/2010 Montpellier Bourgoin
La Rochelle Brive