Pepito Elhorga (La Depeche)

PEPITO ELHORGA ET LE SUA SE DÉPLACENT À BIARRITZ VENDREDI SOIR. DÉPLACEMENT PÉRILLEUX POUR LE SPORTING.
Elhorga: « Rebondir vite»

Vendredi soir, le SUA s'en va défier le champion de France biarrot sur ses terres avec l'unique objectif de relever la tête après la désillusion narbonnaise. L'enfant de Sare, qui, à l'occasion, retrouvera son ancien club, espère que cette «claque» subie le week-end dernier sera salvatrice pour la fin de saison.

Pepito Elhorga, comment va le groupe après cette défaite face à Narbonne ?

Le groupe vit bien. Cependant on a beaucoup de regrets , on a du mal à digérer cette défaite. On en parle constamment entre nous. Il nous faut garder ce match en mémoire, s'en servir afin de rebondir au plus vite.

Le président Daniel Dubroca a eu des mots durs...

Des mots durs mais des mots justes. Des mots qui blessent. Maintenant il a fait cela dans le but de nous faire réagir. A nous de ne plus le décevoir.

Ce matin (hier) vous avez eu droit à un petit entraînement matinal...

Oui, le président nous a donné rendez-vous à 6h30. Au programme : footing, gainage, étirements puis vidéo. On a terminé à 11h30. Ce fut long et difficile mais étant donné la situation actuelle, il n' y a rien à redire.

Vendredi, vous rendez visite au champion de France biarrot qui lui aussi traverse une petite crise, comment abordez-vous cette rencontre ?

On sait de toute façon que ce sera très très dur. Il faut à tout prix se remobiliser, repartir sur des choses assez simples sans pour autant se mettre plus de pression que d'habitude. Il faudra cependant montrer autre chose que ces derniers temps. On sait sinon ce que l'on risque...

Justement, la descente en Pro D2, vous y pensez ?

On est conscient du risque étant donné la situation au classement (Bayonne, premier relégable, étant à six points derrière ). Maintenant, on ne s'y voit vraiment pas. En début de saison on avait un objectif qui était la Heineken Cup, on reste également à six points de la sixième place alors on préfère regarder de l'avant. Ce sera difficile mais on a rien à perdre. Alexandre Paillou



L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt…
Voilà une méthode qui n'aurait pas déplu à Jacques Fouroux, le capitaine de l'épopée de 1977. Après son coup de gueule de samedi soir dans le vestiaire agenais, le président Daniel Dubroca a décidé de secouer les puces des joueurs mais aussi leurs matelas. Hier matin, ils avaient rendez-vous à 6 h 30 au club afin de s'entraîner. Il en sera de même aujourd'hui. On ne sait par contre pas s'ils ont eu une pomme pour la collation… Imanol Harinordoquy, le troisième ligne et international Biarrot, lui, pourra rester au lit cette semaine. Touché au genou (les examens n'ont pas révélé une rupture des ligaments), il sera absent des terrains pour trois semaines.

C'est fou quand même que ce soit dubroca qui soit obligé de gueuler, je me demande si Faugeron et VDL ont été capable de mettre les pendules à l'heure au moins une fois dans la saison

Regarde combien on est au classement et t'aura la réponse conti

pour ma part, je lis vos posts etje sais plus quoi penser!! c'est dur de se retrouver à regarder l'éventuelle descente alors qu'effectivement on jouait dans les 6 premiers!!

Et si Faugeron était limogé ou bien si l'idée lui venait de partir à la fin de la saison, ça laisserait la place à un éventuel retour de CD......