Infos Montauban (2010-2011)

Ce topic sera mis à jour régulièrement

Arrivées:

Départs: Battut (Racing-Métro), Shvelidze (St Français), Mach (Agen), Raynaud (retour prêt Toulouse), Bianco (Lyon), Short (Lyon), Jahouer (Grenoble) Ghezal (Racing-Metro), Sa (Racing-Metro), Audy (Bayonne), Boutaty (Bayonne), Florea, Clarkin (Bordeaux-Bègles),Belie (Brive)


Prolongations:

Montauban. 100 000 € de dons pour le MTG en 1 jour

http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/03/847268-Montauban-100-000-de-dons-pour-le-MTG-en-1-jour.html

Laharrague à Viadana

Un temps annoncé en France, Julien Laharrague va finalement rejoindre Viadana la saison prochaine. Il a signé un contrat de deux ans.

Je pense Montauban armé pour remonter, le groupe n'ayant pas trop explosé malgré la relègue administrative !
...D'ailleurs, je trouve les gars pas rancuniers après que les dirigeants les aient "enrhumé " financièrement toute l'année !!!

Pat de Mérignac a écrit:

Je pense Montauban armé pour remonter, le groupe n'ayant pas trop explosé malgré la relègue administrative !
...D'ailleurs, je trouve les gars pas rancuniers après que les dirigeants les aient "enrhumé " financièrement toute l'année !!!

Tu voulais dire remonter de fédérale1 en Pro D2 ? s'ils sont autorisés à repartir en Fed1 c'est possible ...

Stop ou encore pour le MTG-XV


Ce matin à neuf heures très précises, le tribunal de commerce de Montauban se prononcera sur l'avenir du MTG, sur l'avenir d'un club et du rugby professionnel dans le Tarn-et-Garonne. Cette première étape dans cette semaine de tous les dangers, les dirigeants du MTG l'attendent tout autant qu'ils peuvent la redouter. Depuis de longues semaines, Valentin Cavelier le directeur général et Sébastien Calvet l'entraîneur travaillent en étroite collaboration avec l'administrateur judiciaire qui avait été désigné. Pour sauver ce qui peut l'être. Pour s'inventer des lendemains qui chantent après tant de galères, tant de déceptions. Ce matin le MTG-XV peut survivre (plan de continuation) mais il peut aussi mourir (liquidation judiciaire) et repartir de zéro ou presque en structure amateur. Ces deux scenarii, même s'ils sont parfaitement plausibles, devraient pourtant ne pas être adoptés. On s'oriente donc selon toute vraisemblance vers l'instauration d'un moratoire qui reporterait la décision de l'instance judiciaire. Dans ce cas le tribunal de commerce ne se prononcerait pas avant la deuxième étape de la semaine, à savoir la réponse de la DNACG jeudi. Si le rendez-vous du tribunal de commerce ce matin n'est pas décisif, celui de jeudi devant le gendarme financier le sera assurément. Ca passe ou ça casse.

C'est la DNACG qui tranchera

Jeudi, quand ils se présenteront devant les membres de la DNACG, les dirigeants montalbanais (dont à priori ne devrait pas faire partie le président Patrick Vianco) auront une lourde responsabilité. Celle de faire vivre le rugby professionnel sur les bords du Tarn. Depuis la réunion de la semaine dernière à Sapiac, on a continué à travailler, à lancer des appels, à taper à toutes les portes. Le temps presse et il va sans doute trop vite, beaucoup trop vite. Le club des mille (lire-ci-contre) continue d'encaisser les promesses de chèque. Tant mieux. Valentin Cavelier continue de multiplier les coups de téléphone. Est-ce que les Montalbanais suivent? Sans doute mais peut être pas aussi nombreux que souhaités. Il reste encore deux jours pour trouver les solutions, pour débloquer la situation qui semble, avouons-le, assez inextricable. Jeudi, la DNACG rendra sans doute sa décision dans la journée. Après, il sera temps de préparer la saison en Pro D2 si elle est positive ou de tirer les conséquences d'un vrai gâchis, d'un énorme fiasco si elle est négative. Dans ces cas là, sûr que les langues se délieront. On dira des choses, sûrement. Mais il n'y aura plus de rugby pro en Tarn-et-Garonne. Il est donc indispensable que ceux qui le peuvent encore viennent «donner un coup de main». Il ne reste plus beaucoup de temps.

La Dépêche

Pat de Mérignac a écrit:

Je pense Montauban armé pour remonter, le groupe n'ayant pas trop explosé malgré la relègue administrative !
...D'ailleurs, je trouve les gars pas rancuniers après que les dirigeants les aient "enrhumé " financièrement toute l'année !!!

Ca m'étonnerait que le groupe n'ait pas explosé. A mon avis la tête ne va pas suivre et leur saison en ProD2 va être un calvaire.

il n'y a aucune certitude qu'ils feront leur saison en prod2 .

les problémes semblent perdurer , on peut s'attendre a tout .

Le MTG XV existe toujours


Le tribunal de commerce de Montauban a validé le plan de continuation du MTG XV avec un budget de 5,5 millions d'euros. Mais ce verdict favorable n'est qu'une étape pour les dirigeants de Montauban qui doivent maintenant présenter l'état de leurs finances à la DNACG ce jeudi à 9h30.

Le communiqué du club :

Ce jour, le Tribunal de Commerce de Montauban, après que l’Administrateur Judicaire ait donné lecture de ses observations, entendu le Mandataire Judiciaire, le Dirigeants et les Conseils du Club, ordonne, compte tenu de la situation comptable, une période d’observation dans la Procédure ouverte à l’encontre de la SASP MTG XV et de nous convoquer en Chambre du conseil le 26 octobre 2010.

Le mot du Président : "Une première étape difficile vient de se passer, vers un possible plan de construction défini, si tout va bien, en octobre. Mais la plus grande difficulté sera de convaincre, ce jeudi, la DNACG sur la solidité et la véracité même de notre budget. Condition sine qua none de notre participation au Championnat de Pro D2 Saison 2010/2011."

Cassin à Oyonnax pour deux ans.

MTG-XV. "L'appel n'est pas exclu"


Patrick Vianco, toujours président du MTG XV, a accepté de s'expliquer sur la triste réalité du club Sapiacain. Il n'écarte plus l'idée d'interjeter appel de la décision de la DNACG. Interview.

Quel est votre état d'esprit aujourd'hui ?

À vrai dire, je ressens beaucoup de haine, et la colère éponge mes larmes. En même temps, une forme de soulagement… En un an et demi, j'ai vieilli de 10 ans.

C'est quoi le plus blessant ?

C'est le mot menteur que certains m'opposent. Je suis un homme droit, honnête et engagé. Puisque je n'ai jamais cru en la mort du club, je ne vois pas pourquoi j'aurais dû l'annoncer.

Peut-on parler d'impasse ?

Non parce qu'avec un peu de volonté on pouvait concrétiser les solutions. J'ai même, sur les conseils d'un membre du conseil d'administration, pris l'initiative de contacter 2 banques du dossier des tribunes, afin qu'elles acceptent de reprendre la partie de financement liée à la Matmut. Cela avec l'amical concours de Louis Gallois, président d'EADS. C'était en bonne voie, mais ça ne réglait pas le problème de fond sur l'endettement du club. Dans ces conditions j'espère que les gens peuvent comprendre que j'ai jamais abdiqué, et que fort de penser que ces opérations allaient réussir, j'en faisais part aux joueurs.

Des joueurs qui sont très en colère !

Oui. Mais je peux comprendre dans ces conditions qu'ils aient pu douter de moi. C'est le jeu des responsabilités étant entendu que « les grands espoirs et les grandes illusions sont toujours la source des grands désespoirs et des grandes désillusions ». Je regrette que lorsque le sportif se maintient à la 12e place, ce n'est pas grâce au président ; à l'inverse quand le financier vous rétrograde, c'est sa faute… C'est le côté injuste du poste… Mais je reste fier du sportif, surtout quand je me souviens de quelques nostalgiques, dont une en particulier, qui prédisait la catastrophe avec Raynaud et Calvet.

Au final, vous vous sentez « coupable seul » ou « responsable collectivement » ?

Il n'y a pas de responsabilité collective dans la mesure où cela ressemble à un entonnoir qui récupère tout et qui déverse à son extrémité une seule responsabilité, celle du président. Je reconnais deux erreurs. Ma première… Lorsque j'ai été élu président, j'étais encore en poste à Paris dans le Groupe où je travaille depuis 25 ans. Je partageais ma vie entre Milan, Glasgow, Francfort, Milan et Madrid, avec 20 filiales en gestion. À cette époque-là, Pierre Belloc était parti et l'intérim de la direction générale était assuré par l'USM. Il fallait donc vite recruter un DG qui a tenu 6 mois… No comment. Deuxième erreur, la direction commerciale non pilotée, conséquence de la première… No comment. La rumeur annonce d'ailleurs l'actuel commercial du club à la tête du golf de Montauban. Au moins un qui aura trouvé du boulot…

Sinon ?

Sans cela, je demanderai la liquidation judiciaire de la SASP MTG XV, en accord avec l'administrateur. Cela aura pour effet le retour en Fédérale 3 avec justification de l'USM pour se présenter en Fédérale 1. Ce n'est pas mortel si on remonte de suite. Pour cela il faut que l'association se remette en question et sorte de sa vision archaïque, avec une vraie assemblée générale donc une remise en cause de sa gouvernance.

Pourquoi ?

L'association a 15 % du capital et donc une co responsabilité dans la gestion du MTG XV. Par 2 fois six mois, l'asso m'a prêté main-forte au niveau de la direction générale. Donc Serge Gros a toujours tout su mes difficultés. Ils doivent de suite reconstituer un tour de table pour une nouvelle SASP. Donc un conseil d'administration tout neuf qui désignera un nouveau président… Cette SASP doit aussi prévoir d'ores-et-déjà sa structure et garder des gens de valeurs que sont Valentin Cavelier, Yannick Aluni Bravi le comptable, les deux assistantes Anne et Pénélope. C'est le seul moyen de préserver le fond de commerce départemental actuel (1,3 m€) en dehors des gros sponsors. Là j'aurai mon mot à dire. Enfin, il faut reconstruire le sportif sur un trio de valeurs Calvet-Kergoulay-Delahay. Quitte à leur demander un effort sur les salaires. Sans cela…

Vous y croyez encore ?

Oui. C'est pour cela qu'il faut encore se dire qu'un appel est possible aux conditions que j'ai émises. Il y a un potentiel économique pour la Pro D2, j'en suis moins convaincu pour le Top 14. Et comme disait Nietzsche « Tout ce qui ne nous tue pas nous renforce ».


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Les langues se délient...

Alors que du côté de l'USM on se prépare à reprendre le flambeau (lire notre édition d'hier), les principaux acteurs de ces dernières semaines, Patrick Vianco, Daniel Havis et Jean-Michel Baylet ont accepté de se livrer. Seule Brigitte Barèges n'a pas donné suite aux questions posées hier.


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«Tout cela est pitoyable»

Jean-Michel Baylet, président du conseil général, a beaucoup agi et peu parler jusqu'à présent…

Vous aviez choisi de vous taire jusqu'à présent. Pourquoi ?

Il y a des moments où il faut avoir conscience que la priorité est à l'action… dans la discrétion. Le dossier était compliqué à la base pour beaucoup de raisons. Il fallait surtout œuvrer à fédérer, à activer les réseaux, à distiller de la sérénité, de l'enthousiasme et de la confiance. J'ai regretté en silence que tout le monde n'ai pas eu la même vision des choses. Aussi le résultat est là…

Vous semblez habité par beaucoup d'amertume ?

Oui. Car au-delà du drame que représente le départ du MTG XV du rugby professionnel, ce qui vient de se passer est tout simplement pitoyable.

Comment l'expliquez-vous ?

Il y a d'abord la mauvaise gestion du club dont je ne sais à qui incombent les responsabilités. Le budget a été fait en dépit de bon sens, et la surestimation des recettes, du sponsoring et la masse salariale ne pouvaient générer que des difficultés. Et quand vous ajoutez à tout ça une ambiance délétère autour du club, il est impossible de régler les problèmes.

Vous pensez à quoi en disant cela ?

Beaucoup de gens ont été outrés et lassés des polémiques permanentes entretenues par Brigitte Barèges. Polémiques avec le président qui lui a pourtant fait confiance, avec les joueurs à propos de leurs salaires, et pire encore avec le principal actionnaire et partenaire qui a pourtant injecté plus d'une dizaine de millions d'euros ces dernières années. Et avec moi, afin de politiser le dossier comme on allume un écran de fumée. Et comment ne pas s'étonner des promesses en millions d'euros faites à plusieurs reprises concernant des investisseurs, tels que Véolia ou l'IDEC. Tout cela n'est-il pas pitoyable aussi ?

Êtes-vous de ceux qui pensent que le mal est venu de la tribune Bardot ?

C'est le montage financier « bricolo » de la tribune qui a plongé le club dans l'abysse. Une fois encore on a agi à la va-vite. Et Brigitte Barèges a refusé d'assumer ses responsabilités en récupérant dans les actifs municipaux cette partie de Sapiac, avec les conséquences que l'on sait. Un véritable assassinat gratuit puisque cette solution aurait permis le maintien du club en Top 14. Aussi les Montalbanais vont-ils mesurer prochainement ce qu'il en est puisque la liquidation judiciaire du club amènera finalement la mairie à devenir propriétaire de la fameuse tribune. Avec les conséquences financières qui en découleront…

Avant la liquidation judiciaire, que pensez-vous d'un éventuel appel ?

Je suis partisan de faire appel même si les chances sont minimes. Car dans la vie, il faut mener les combats jusqu'au bout.


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«La ville n'a pas la volonté»

Daniel Havis, premier actionnaire et partenaire, ne mâche pas ses mots…

On vous a senti sur le recul ces dernières semaines. Pourquoi ?

Personnellement, j'y ai trop cru et trop longtemps, le ressort s'est cassé. Si vous voulez savoir, il y a un an Patrick Vianco venait m'expliquer que si je lui donnais le plus gros budget de sponsoring du Top 14 (2,7 millions d'euros !) il me garantissait, compte tenu des signatures qu'il avait avec lui, d'être dans le carré final……deux mois après il fallait réécrire le contrat pour pouvoir passer les contrôles de la DNACG…. Vous connaissez la suite.

Quelle analyse avez-vous de la situation ?

Les présidents successifs, les nostalgiques de 1967, les représentants de l'association… tous les mêmes : du verbe et pas d'action à l'exception de quelques-unes mais qui ne suffisent pas à créer une dynamique nécessaire. La Ville elle-même scande « Sapiac, Sapiac »….sans y aller le jour où le Champion de France en titre ou un leader du rugby européen vient jouer, démontrant au passage l'inutilité de la tribune « Bardot ». Pensaient-ils qu'avoir un tel niveau de jeu chez eux, à leur porte, est un dû ? Pensaient-ils que cela serait éternel ? Pour ma part je ne le pensais pas et les faits me donnent raison.

Il y avait pourtant une réelle dynamique ?

Oui, le mouvement autour de Sapiac est sympathique, mais est-il réaliste ? Je ne le crois pas : un club, c'est chaque année qu'il faut lui faire un budget. Pas une fois dans un élan de générosité ou une autre par attachement au maillot.

Votre prudence vaut-elle aussi pour la Pro D2 ?

Bien sûr ! Où trouver les 6 millions d'euros indispensables à un budget réduit mais convenable ? Avec quelle pérennité aurions-nous eu des ressources ? On m'a trop fait : « Pars devant, et les autres suivront. Et je me suis retrouvé seul à faire face. Quand j'ai voulu clarifier la situation et connaître le mal pour pouvoir le traiter, on m'a renvoyé illico chez moi, soupçonnant sans doute quelque mauvaise intention. Dont acte, le budget est resté et l'actionnaire aussi.

Où se situaient les solutions selon vous ?

Quand il y a un an j'ai parlé au président du club de rechercher une alliance avec d'autres clubs auxquels nous aurions pu apporter le Graal du Top 14, on m'a poliment écouté puis..basta ! De même, il n'y a pas si longtemps quand mes représentants ont évoqué cette piste en conseil d'administration a-t-on jugé qu'il y avait là un crime de lèse-Sapiac ! Il faut pourtant se rendre à l'évidence : la ville Montauban n'a pas la taille économique, ni même la volonté d'un club de haut niveau : il faut en prendre acte et que les passionnés d'un vrai rugby professionnel s'unissent et s'organisent en conséquence.

La Dépêche

Montauban : Pas d'appel

Comme pressenti, le président de Montauban Patrick Vianco a fait savoir, via un communiqué, qu'il n'allait pas faire appel de la rétrogradation du club en Fédérale prononcée par la DNACG. La FFR n'a pas encore déterminé la division dans laquelle évoluera le club la saison prochaine.

Le communiqué de Patrick Vianco.-

"La décision du Conseil Supérieur de la D.N.A.C.G, en séance du 10 juin 2010, confirme le refus d’engagement de la S.A.S.P MTG XV en championnat Pro D2 pour la saison 2010/2011.

Cinq éléments majeurs sont à l’origine de cette décision :
1 - les engagements garantis sont à ce jour, de 1,3 M€, au titre du sponsoring pour un budget à 2,9 M€, soit un manque de 1,6 M€
2 - des achats de places non confirmés par les Collectivités Territoriales (lesquels couvrent en partie le remboursement annuel de l’emprunt lié à la construction de la tribune)
3 - le budget ne dégage aucun moyen financier permettant un apurement du passif, passif qui, à hauteur 5,2M€, est imputable au financement de la tribune
4 - le non respect des budgets lors des précédentes échéances
5 - la situation juridique et financière n’apporte aucun élément probant sur la pérennité du Club et sa capacité à assumer l’intégralité de la saison 2010/2011

La possibilité de faire appel auprès de la F.F.R était conditionnée par trois éléments :
1 - ramener le budget de 5,7 M€ à 5 M€
2 - obtenir que les trois principaux actionnaires recapitalisent la sociét
3 - obtenir que l’endettement des tribunes (porté par le MTG XV pour le compte de la collectivité) ne figure plus au bilan du MTG XV

Etant dans l’impossibilité de réunir ces trois conditions, j’ai donc pris la décision de ne pas faire appel.

Dès lors, il ne fait plus de doute que le MTG XV ira, dans les plus brefs délais, vers la liquidation judiciaire, laissant le soin à l’Association U.S.M de continuer à faire vivre Sapiac en Fédérale 1. Etant dans l’impossibilité de réunir ces trois conditions, j’ai donc pris la décision de ne pas faire appel.

J’avais tout imaginé sauf cette issue fatale, lorsque le 11 décembre 2008, j’ai accepté la Présidence avec des ambitions et des espérances. Aujourd’hui devant l’échec, c’est une immense tristesse qui m’habite. Je garde l’espoir, néanmoins, et formule tous mes vœux pour que l’Association USM puisse continuer, dans la sérénité, à porter haut les couleurs de Montauban et de son club."

Rugbyrama

...un passif à hauteur de 5 millions d'€ !!

Pour ceux qui veulent comparrer avec Bourgoin , le CSBJ n'en est pas là quand même !

scaliger a écrit:

...un passif à hauteur de 5 millions d'€ !!

Pour ceux qui veulent comparrer avec Bourgoin , le CSBJ n'en est pas là quand même !

Quand Maulin est arrivé le passif était quand même de 4 millions...C'est lui qui l'a dit.

vulcain a écrit:

scaliger a écrit:

...un passif à hauteur de 5 millions d'€ !!

Pour ceux qui veulent comparrer avec Bourgoin , le CSBJ n'en est pas là quand même !

Quand Maulin est arrivé le passif était quand même de 4 millions...C'est lui qui l'a dit.

Il y à un an c'était à peu pret cette somme à quelques centaine de milliers d'euros pret.

Sa devait être entre approximativement 3.5 millions et 4 millions.
La region y est allé de preque 800 000 euros, la mairie aux alentours de 1 million par le biais d'avances de subvention , ensuite MAULLIN à fait participer toute ces entreprises (une dizaine) parmis lesquelles la station des sybelles.

D'autres sponsors locaux sont venus sauvé le club.

Mais aussi nombre d'ancien joueurs (une trentaine environ) parmis lesquels CHABAL, FRITZ, NALLET, GLAS, PAPE et d'autres ont fait des dont aux alentours de 15 000 euros.

Une fois le trou reboucher "plus au moins" il a fait un cheque de 1 million d'euro sur ces deniés personnel et à fond perdu sans aucun retour sur investissement possible.

Il aurait selon les rumeurs remis un million d'euro en caution, mais la c'est que de la rumeur et comme le grand pere et l'oncle de mon épouse n'ont pas accés au carnet de cheque personnel de MAULLIN sa n'à pu etre verifier l'intéréssé ne dément pas non plus.....

...ce que n'est pas arrivé à faire Montauban

Montauban avait recruté clinquant et voyant ..... construit une grande et belle tribune .... ses supporters étaient flattés, et heureux de soutenir un si grand club qualifié en HCup .....

Seul problème ... tout cela était, au sommet du club, bidon et malhonnête ....

Souhaitons plus de sens des responsabilités chez nos principaux dirigeants et qu'ils se contentent de faire avec l'argent que l'on a réellement ....

BarDeLaPref a écrit:

Montauban avait recruté clinquant et voyant ..... construit une grande et belle tribune .... ses supporters étaient flattés, et heureux de soutenir un si grand club qualifié en HCup .....

Seul problème ... tout cela était, au sommet du club, bidon et malhonnête ....

Souhaitons plus de sens des responsabilités chez nos principaux dirigeants et qu'ils se contentent de faire avec l'argent que l'on a réellement ....

Voilà ce que c'est que de copier sur ses petits camarades... avec Bourgoin, Montauban pensait tenir un modèle pérène.

Montauban. Le MTG est mort, mais quel USM ?


Le MTG est mort. Ainsi donc l'Union Sportive Montalbanaise Rugby reprend ses droits sur Sapiac pour tenir les rênes du club en Fédérale. La Fédération Française tranchera officiellement lors de son congrès s'il s'agit de la 1 ou de la 3, mais tout concourt à penser que la Fédérale 1 sera le terrain d'atterrissage.

Reste à savoir maintenant avec quels dirigeants, quels entraîneurs, quels joueurs et quels partenaires… Car visiblement, ça bouge du côté de l'USM ! En effet si l'appel pour le MTG est enterré, deux appels lui succèdent. Le premier pour une assemblée générale extraordinaire élective, qui est convoquée demain vendredi 18 juin à 20 h 30 à l'Espace Maurice-Audouy à Sapiac. « Le mandat du conseil d'administration actuel de l'USM rugby expire le 30 juin mais compte tenu de la situation sportive actuelle du club vert et noir, le conseil d'administration a décidé de cette AG élective conformément aux statuts. » indiquait hier soir le communiqué de convocation.

Manœuvres municipales

Une AG qui a deux conséquences immédiates… D'un côté la main basse sur le club par la mairie, Brigitte Barèges et ses plus proches collaborateurs ayant lourdement pesé sur la constitution de la liste conduite par le trio Gros-Gomez-Ferral. « Notre objectif est de remonter en Pro D2 rapidement » campe Serge Gros.

D'un autre côté, l'expression d'une contestation portée par d'anciens joueurs et partenaires, qui souhaitent un club apolitique et renouvelé. « On ne peut pas reconstruire avec ceux qui contribué à la situation catastrophique de Sapiac. Des femmes et des hommes nouveaux doivent proposer une alternative... » clame Éric Céciliot, porte-parole des « opposants ». C'est le second appel pour le 18 juin

Continuité ? Changement ? Y aura-t-il deux listes au moment du vote ? La réponse tombera demain. Mais il y a fort à parier que d'ici là, les manœuvres, contacts, consultations vont aller bon train. Une chose est sûre, le MTG est mort, mais l'USM vit…


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Le chiffre : 5,2

millions d'Euros> De passif. C'est le montant du passif du MTG XV, «imputable au financement de la tribune» que n'a pas souhaité libérer la municipalité a-t-on appris hier.


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Info ou intox ? Le nom de... Péméja circule

Dans la perspective de demain soir, la liste conduite par le tandem Gomez-Gros pourrait annoncer le contact qu'elle entretient avec Xavier Péméja pour re-entraîner l'USM. Ce dernier, engagé à Bourgoin, a déjà démenti l'info dans ces colonnes mais hier soir son nom circulait encore... avec insistance.

La Dépêche

Robert Gomes élu à la tête de l'USM


Il y avait du monde à l'assemblée exceptionnelle de l'USM. Photos DDM, Jacques Decatoire La mêlée élective que l'on attendait hier au soir à l'occasion de l'assemblée générale extraordinaire de l'USM qui avait pris place salle Maurice-Audhouy, n'a pas eu lieu au final. Le face à face entre les listes respectivement conduites par Robert Gomes et Éric Céciliot est resté aux vestiaires. Plaqué par un règlement strict et des statuts qui interdisaient à toute personne non licenciée au club de participer à ce vote et, bien entendu, de figurer sur une liste soumise à l'approbation des électeurs « réguliers ».

Un phénomène qui a engendré quelques vociférations et autres commentaires acides dans le fond de la salle ou plusieurs dizaines de personnes ont fait savoir leur mécontentement à plusieurs reprises sur la façon dont les choses s'agençaient. Mais pour ne pas se dérouter de la voie légale et ajouter encore du tourment à un club qui n'a pas besoin de cela, tout le monde a bien convenu qu'il fallait rester dans les règles édictées jusqu'au prochain changement de statuts (retour au vote des sociétaires). Quelques instants avant cette AG extraordinaire, un « lever de rideau » avait eu lieu, à 19 h 45, sous la forme d'un conseil d'administration. Conseil qui s'était soldé par une démission générale dont celle du président en titre de l'USM Serge Gros afin disait-il de « permettre d'élire une équipe dirigeante formatée pour les joutes d e la Fédérale 1 ». Une Fédérale 1 qui ne tend pas encore les bras au club vert et noir. Serge Gros le rappelant ainsi : « Le compte à rebours est parti, nous n'avons plus de temps à perdre ». Le 1er juillet la FFR décidera du niveau d'engagement du club montalbanais et le spectre de la Fédérale 3 plane toujours au-dessus de Sapiac.

Vaines négociations

Si l'entente entre les deux listes n'a pas pu se réaliser au cours des heures qui ont précédé cette assemblée générale extraordinaire, ce n'est pas faute d'avoir essayé. Plusieurs combinaisons possibles entre les deux listes avaient été avancées, on en était même arrivé à « tricoter » un score de parité : quinze d'un côté et quinze de l'autre. Mais la fusion ne se fit pas, le nom de Robert Gomes en tant que « chef » de liste ne permettant pas de toucher au consensus. La suite, on la connaît. Hier soir, après avoir remercié les licenciés d'avoir fait confiance à ce nouveau conseil d'administration, le néo- président a proclamé « une ouverture à toutes les bonnes volontés ». éric Céciliot, lui, a affirmé « qu'il y avait quelque chose de bien à faire avec les gens des deux listes. Si on aime ce club, on doit œuvrer pour l'apaisement car il y a maintenant une semaine très difficile qui arrive ».


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Le chiffre : 116

votants> 106 oui. Pour l'équipe suivante: Robert Gomes (président); Thierry Sousbanc (secrétaire); Thierry Eychenne (trésorier); Membres: Grégory alaux; Alain Alloi; Thierry Bargues; Rémi Belrepayre; Laurent Bistour; Didier Bord; Christian Capelle; Jean-Claude Clare; Nathaly Conrad; Gérard David; René Durand; Bernard Farre; Pierre Fontaine; Jean-Jacques Galouye; Serge Gorry; Maryline Jassereaud; Michel Laborie; Michel Laffitte; Marc Laurentie; José Marco; Christian Martin; Fabienne Pagès; Louis Paris; Bernard Pujo; Christian Stierlé; Patrick Tardy.


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Des réactions mitigées

Robert Gomes > Nouveau président. «Je pense que l'on vient d'élire un bon comité directeur avec certaines personnes qui ne sont-là que provisoirement. J'ai appelé à l'ouverture. J'espère que d'autres personnes surtout du côté des anciens joueurs pourront nous rejoindre. Ce soir, il y avait un problème de statuts. On va rapidement pouvoir les modifier et coopter dans un premier temps et ils seront élus lors des prochaines assemblées générales»

Eric Céciliot> Tête de liste non admise au vote. «Statutairement, nous n'avons pas pu présenter une équipe parce que nous n'avions pas une année d'ancienneté. Le gros point positif de ces derniers jours est que l'on a senti qu'il y avait une grosse volonté des Montalbanais de faire avancer les choses avec un désir de renouveau. C'est notre objectif avec le bien du club. Ce soir, même si l'on a de l'amertume, on ne peut qu'encourager le club à s'unir. Ensuite, un autre temps viendra.»

Serge Gros > Président sortant. «Je n'ai fait que mon devoir de président à la tête d'un club ayant 107 ans d'histoire, avec des hauts et des bas. J'étais formaté pour m'occuper des jeunes et du centre de formation dans le cadre d'une association support. Je crois que sur mes quatre ou cinq années de présidence la mission a été remplie avec de très bons résultats chez les jeunes. Je crois que la nouvelle équipe dirigeante fera remonter le club dans le secteur professionnel. L'ouverture n'a pu se faire, ce soir, pour des raisons statutaires et que nous n'avions pas le temps pour se positionner pour la Fédérale 1.»

Guy Lexpert> Ancien président). « Qu'il y ait des contestations, je le conçois. On descend en fédérale. Il est inutile de chercher les responsables.»

Sébastien Calvet> Entraîneur. «La colère s'est exprimée. Des gens se sont déclarés. Tout le monde prône l'ouverture. Nous étions à deux doigts d'être les spectateurs d'un consensus. Cela ne bloque que sur de petits éléments. Dans l'intérêt général du club, il est nécessaire d'aller vers ce consensus pour sauver Montauban et faire en sorte de n'aller pas plus bas.»

Jean-Philippe Viard> Joueur. «J'ai l'impression que le grand cirque continue. On a perdu du temps. Il faut éviter les méandres de la Fédérale 3 et gagner la Fédérale 1 pour éviter des méandres dont on n'a pas idée.»


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Et maintenant ?

Le temps presse toujours autant... Le club est dans l'obligation d'obtenir officiellement et définitivement son ancrage en Fédérale 1. N'oublions pas que les textes sont clairs. En cas de dépôt de bilan , pire, de liquidation judiciaire, la relégation s'opère automatiquement vers la Fédérale 3. Bien-sûr, le centre de formation, autorisé pour un an seulement, peut constituer un atout pour repartir en Fédérale 1. Mais pour cela, il faut un budget qui le permette. Budget qui doit être déposé avant la fin de la semaine prochaine devant la commission fédérale de contrôle des finances. Et sur la foi de son analyse, le comité directeur de la FFR tranchera le 1er juillet.

La Dépêche

Peut-être que AIX n'etait pas obligé d'accepter d'être maintenu ce qui je penses leur aurait éviter une deuxieme saison en galére et peut être préparé une remonté sur des bases plus solide en faisant un an en fédérale.

Maintenant il semble y avoir des bon joueur qui ont largement le niveau Pro D2 qui peuvent largement amélioré la qualité du groupe d'aix qui à tout de même quelques joueurs intéréssant.

Je pense que le PARC va être mieux armé la saison qui vient que la derniére .Déjà les 3 grenoblois qui devraient les rejoindre ( Ollivier,Rochette,De Beer ) sont de bons joueurs ProD2 , et le recrutement est pas terminés .

De plus Laïrle et Catinot sont à même de bien préparer cette équipe .

Ceux qui ont du soucis à se faire c'est Colomiers et Auch . Quant à Saint-Etienne il se pourrait qu'il fasse une "Lannemezan" .

Reste Carcassonne qui à l'air de mettre le paquet question recrutement . On parle de Rosalen et Viard ??

ROSALEN et viard à CARCASSONNE , malgré le respect que j'ai pour cette équipe se serait du grand n'importe quoi.

Montauban. L'USM suscite un important courrier


L'avenir de l'USM rugby, depuis l'assemblée générale de vendredi dernier, qui maintient la gestion du club dans la mouvance sortante, avec Robert Gomes comme président, a suscité de nombreuses réactions. Il est vrai que l'initiative des anciens joueurs (Éric Céciliot, Éric Blanc, Daniel Bory, Jean-Charles Galan, Jean-Claude Soriano, Marc Momméja…) de proposer un nouveau projet, avait généré beaucoup d'adhésion. Un revers statutaire les a empêchés d'être élus mais cette dynamique a été fortement encouragée au point que le courrier des lecteurs, depuis, st fort abondant. Premiers extraits…

- Bernard Videilhé, Montauban : «…Je ne crois pas que les choses ont fondamentalement changé à Sapiac. Que faudra-t-il qu'il arrive pour comprendre que du changement, du vrai, s'impose ?….»

- Philippe Bécade, chirurgien Montalbanais et conseiller municipal : « La disparition du MTG XV ne pouvait que déboucher sur l'heure fatidique des comptes, des règlements, et hélas aussi des règlements de comptes, le tout amplifié par les rumeurs souvent malsaines qui prospèrent au détriment de l'intérêt général. Comme le pressentaient les plus clairvoyants, rien n'est définitivement réglé et la menace de relégation en fédérale III n'est pas écartée, synonyme de perte du centre de formation ce qui serait véritablement catastrophique tant sur le plan sportif que social et humain. Une équipe dirigeante (seule statutairement en course) a été élue. Elle hérite d'une situation difficile. Le défi est immense : retrouver la confiance des joueurs, de l'encadrement sportif, des bénévoles, des partenaires et du peuple du rugby pour qui « Sapiac » est un mot magique imprégné de légende.

Elle n'y parviendra qu'à condition de s'ouvrir, de fédérer bonnes volontés et compétences au-delà des différences d'approche, des rancœurs qu'il faut laisser aux vestiaires au fond du sac à côté des passes loupées et des placages manqués, et des clivages traditionnels. Autrement dit, il faut impérativement retrouver les vertus qui font l'âme du rugby…. L'heure est au rassemblement autour d'un objectif clair : sauver ce qui peut encore l'être pour retrouver l'élite au plus tôt et que « Sapiac » nous fasse à nouveau rêver. »

- Pierre Martinez, Corbarieu : « Les dés sont jetés mais la partie n'est pas jouée. Je ne connais pas Robert Gomes ni son équipe mais il y a tout intérêt à ce que le projet proposé soit un vrai projet de remontée en Pro D2. »

- Jean-Rémi Castaing, Montauban : « J'ai compris que Xavier Pémeja est sollicité pour revenir entraîner. J'y suis très favorable car non seulement il est capable d'entraîner seul, mais en plus, il est aussi capable de ne pas répéter les erreurs du passé. Et c'est un Sapiacain. »


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Le président Gomes multiplie les rencontres


Lors de l'assemblée générale extraordinaire, vendredi soir, à Sapiac, le nouveau président de l'USM Robert Gomes avait annoncé qu'il indiquerait dès hier soir, quels seraient ses entraîneurs pour la saison prochaine. Il va finalement, lui falloir 24 heures de plus pour arriver à tout finaliser et indiquer les noms de ceux qui auront à conduire aux destinées sportives de l'équipe fanion la saison prochaine en Fédérale 1, si la FFR en décide ainsi, lors de sa prochaine assemblée générale d'Aix-les-Bains les 1, 2 et 3 juillet. Hier, Sébastien Calvet le dernier entraîneur du MTG XV était injoignable, certainement trop pris, pour indiquer s'il pourrait être celui qui continuerait d'œuvrer, cette fois, sous les couleurs de l'Union Sportive Montalbanaise. Pour ce qui est du budget, la nouvelle équipe dirigeante, multiplie, là aussi, les contacts, et devrait être en mesure d'arrêter un budget prévisionnel, rapidement. Pour ce qui est de la reprise des entraînements, la date est conditionnée au choix des entraîneurs. On sait que le championnat de Fédérale 1 reprendra, au tout début de mois de septembre. Pour ce qui du bureau de l'USM, il est aujourd'hui composé du président Robert Gomes, du trésorier Thierry Eychenne et du secrétaire général Thierry Sousbanc. Pour ce qui est des commissions, elles ne seront formées qu'à l'issue d'un prochain conseil d'administration. Tout devrait avancer, aujourd'hui, dans la journée. Hier soir, les rencontres se poursuivaient. ..

La Dépêche