Réactions sur Mont de Marsan / Agen

Kumkum47 a écrit:

Kumkum47 a écrit:

gobitcho47 a écrit:

Qui sont les joueurs (3) qui ont entraîné cette lourde défaite d'après jff ?

Je les ai cité plus haut
Lamoulie Tisley Tolot.
Deux me semble perdu.
Tisley doit avoir une ultime chance de se racheter mais de grâce à l aile.

Il le doit au SUA

Peut on incriminer un joueur en particulier dans une déroute collective ? Le rugby se joue à 22 . Quand je vous notre equipe jouer j ai du mal a  voir lequel ne tient pas sa place . Ce serait si simple un mec n est pas dans le match , on le remplace et ça repart . Mais là quand la défense est une passoire , quand les mecs ne viennent pas au soutien , quand on oublie de plaquer , c est le fiasco. 
Le rugby pro c est plus 40 joueurs , des staffs étoffés , des comités directeurs , c est un tout . Mais il est si facile de virer un manager .

hips a écrit:

B2R a écrit:

gobitcho47 a écrit:

Qui sont les joueurs (3) qui ont entraîné cette lourde défaite d'après jff ?

Derrière, Volavola est forcément dedans, Tisley, Tolot et Lamoulie ont sorti une prestation insuffisante et très décevante à ce niveau, Purdy, Sloan et Railevu n'ont guère brillé non plus...
Devant, ils ont alterné du bon et du moins bon mais sans atteindre les déficiences des arrières sur ce match.

C’est certain que la comparaison avec les trois quarts Montois fait très mal…

Quand je vois les prestations et l'impact dans le jeu, de leurs 2 ailiers, l'ex Montalbanais Sayerse, de l'ex joueur de Provence Eroni Sau, de l'arrière Simao Bento en l'absence de Laousse Aspiazu, de l'ouvreur remplacant ex Narbonnais Joris Pialot, du centre prété Girondin Gatien Massé, du centre remplacant Jules Even (un des plus doué de sa génération), que meme le "vieux" Pato Fernandez du haut de ses 29 ans prend du plaisir à encadrer les minots, la ou il n'en prenait plus en Top14, ca plante le décors. Le meme constat pourrait etre fait sur le paquet d'avants. Ca permet de mesurer à quel point M2M et son budget très modeste est capable de bons coups, de recruter malin, de nez creux, d'enthousiasme et d'assumer, "sans se prendre pour d'autres", un jeu de mouvement dont il est un des dépositaire depuis des décennies.

En face le SUA, autre dépositaire de ce meme type de jeu, englué dans sa sinistrose, son impuissance, son austérité, avec des joueurs bien trop nombreux à afficher des carrences techniques, de condition physique, de jugeotte, une incapacité à fournir les efforts nécessaires de manière constante, et une fragilité mentale preignante qui finit par précipiter l'équipe, le club et ses soutiens dans la honte sur le dernier 1/4 d'heure.
Un modèle de gaspillage budgétaire, symbolisé par une masse salariale mal utilisée. Surtout un recrutement globalement mal senti, très mal géré et donc en grande partie inexploitable.

Si l'on comparait les staffs des 2 équipes pendant ce match, on retrouverait les memes oppositions. Millet et Prosper complices, souriants, enthousiastes, cohérents dans leur compo, surs de leurs joueurs, et de ce qu'ils souhaitent faire, fiers de ce qu'ils accomplissent.
En face coté SUA ......

La première mi-temps est en trompe l'oeil, on est accroché au score, mais dans le jeu et les intentions on est déja largué "aux citrons". On donne l'impression de faire des efforts mais souvent "dans la semoule".
A la mi-temps, si DuPlessis ne manque pas l'immanquable à 3 reprises (2 pénalités faciles et un essai transformable sous les poteaux), ce n'est pas un delta de 7 points mais de 20 points, sans qu'il n'y ait rien à redire.

Au Sporting la consternation s'installe partout, avec cette équipe ce n'est plus la peine de palabrer technico/tactique, le problème est ailleurs, tout le monde le comprends bien désormais.

Ossau a écrit:

hips a écrit:

B2R a écrit:

gobitcho47 a écrit:

Qui sont les joueurs (3) qui ont entraîné cette lourde défaite d'après jff ?

Derrière, Volavola est forcément dedans, Tisley, Tolot et Lamoulie ont sorti une prestation insuffisante et très décevante à ce niveau, Purdy, Sloan et Railevu n'ont guère brillé non plus...
Devant, ils ont alterné du bon et du moins bon mais sans atteindre les déficiences des arrières sur ce match.

C’est certain que la comparaison avec les trois quarts Montois fait très mal…

Quand je vois les prestations et l'impact dans le jeu, de leurs 2 ailiers, l'ex Montalbanais Sayerse, de l'ex joueur de Provence Eroni Sau, de l'arrière Simao Bento en l'absence de Laousse Aspiazu, de l'ouvreur remplacant ex Narbonnais Joris Pialot, du centre prété Girondin Gatien Massé, du centre remplacant Jules Even (un des plus doué de sa génération), que meme le "vieux" Pato Fernandez du haut de ses 29 ans prend du plaisir à encadrer les minots, la ou il n'en prenait plus en Top14, ca plante le décors. Le meme constat pourrait etre fait sur le paquet d'avants. Ca permet de mesurer à quel point M2M et son budget très modeste est capable de bons coups, de recruter malin, de nez creux, d'enthousiasme et d'assumer, "sans se prendre pour d'autres", un jeu de mouvement dont il est un des dépositaire depuis des décennies.

En face le SUA, autre dépositaire de ce meme type de jeu, englué dans sa sinistrose, son impuissance, son austérité, avec des joueurs bien trop nombreux à afficher des carrences techniques, de condition physique, de jugeotte, une incapacité à fournir les efforts nécessaires de manière constante, et une fragilité mentale preignante qui finit par précipiter l'équipe, le club et ses soutiens dans la honte sur le dernier 1/4 d'heure.
Un modèle de gaspillage budgétaire, symbolisé par une masse salariale mal utilisée. Surtout un recrutement globalement mal senti, très mal géré et donc en grande partie inexploitable.

Si l'on comparait les staffs des 2 équipes pendant ce match, on retrouverait les memes oppositions. Millet et Prosper complices, souriants, enthousiastes, cohérents dans leur compo, surs de leurs joueurs, et de ce qu'ils souhaitent faire, fiers de ce qu'ils accomplissent.
En face coté SUA ......

La première mi-temps est en trompe l'oeil, on est accroché au score, mais dans le jeu et les intentions on est déja largué "aux citrons". On donne l'impression de faire des efforts mais souvent "dans la semoule".
A la mi-temps, si DuPlessis ne manque pas l'immanquable à 3 reprises (2 pénalités faciles et un essai transformable sous les poteaux), ce n'est pas un delta de 7 points mais de 20 points, sans qu'il n'y ait rien à redire.

Au Sporting la consternation s'installe partout, avec cette équipe ce n'est plus la peine de palabrer technico/tactique, le problème est ailleurs, tout le monde le comprends bien désormais.

C'est exactement ça!
Plus la peine de palabrer technico-tactique comme fait sur ce forum depuis des annees.
Le mal est ailleurs;
Et comme je ne sais plus quoi dire depuis pas mal de temps je me contente de vous lire.

Aspaizu qui rate 2 coups de pied dans ses cordes et un essai vendangé, pour moi ça peut aussi vouloir dire qu'ils étaient un peu fébriles en 1ère mi temps, face à un SUA qui les avait battu la saison dernière.
Je vois bien le coup qu'à la mi temps ils se soient fait recadrer pour se libérer un peu plus, ce qui a été effectif dans les dernières minutes.
Mais je peux me tromper.
Bien le bonjour et bonne année Amblard.

jipé a écrit:

Aspaizu qui rate 2 coups de pied dans ses cordes et un essai vendangé, pour .

Non, c'est Du Plessis. Laousse-Aspiazu, croisés, saison terminée.

Bonjour Mr . Amblards .

La sobriété des mots est mieux que le silence  .......Car le silence est l'esseulement . ( de Gigi47 le 14/01/2024 ) .  

A + . Et belle année 2024 avec ce qu'il faille de bien à toi et tes chers .

 

gigi47 a écrit:

Bonjour Mr .    Amblards .

La sobriété des mots est mieux que le silence  .......Car le silence est l'esseulement . ( de Gigi47 le 14/01/2024 ) .  

A + . Et belle année 2024 avec ce qu'il faille de bien à toi et tes chers .

 

Merçi pour vos voeux Jipe.
Gigi et pareil pour vous et les autres.

Buspard a écrit:

Quelqu'un pourrait-il mettre en ligne l'article S.O de D.Rayan?

Et celui (P-B) de Duputs ?

Buspard a écrit:

Quelqu'un pourrait-il mettre en ligne l'article S.O de D.Rayan?

Sud Ouest
Par Frédéric Cormary
Publié le 11/01/2024

Le soldat Ryan devenu général

Un an et demi après avoir raccroché les crampons, l’ancien pilier droit Dave Ryan se retrouve propulsé à la tête du SU Agen après le départ de Bernard Goutta. Ces responsabilités, avant le derby de ce vendredi (21 heures) à Mont-de-Marsan, n’effraient pas l’Irlandais qui a toujours été un leader dans l’âme

Son réveil sonne toujours à la même heure. Mais ses journées sont un peu plus chargées depuis que Bernard Goutta a décidé de se mettre « en retrait » de son poste de manager. Encore pilier droit du SUA il y a un an et demi à peine, le tout jeune entraîneur des avants Dave Ryan (37 ans) a été propulsé entraîneur principal. En quelques mois, le soldat Ryan est ainsi devenu général. Une ascension fulgurante qui ne l’effraie pas : « Je prends les choses comme elles viennent. Avant ma dernière année de joueur, je pensais faire encore une dernière saison. Mais mon dos a dit « non » et Bernard (Goutta) m’a proposé de passer entraîneur. Et j’ai dit OK ! Beaucoup de choses se sont passées durant cette année et demie comme entraîneur. J’ai beaucoup appris de suite… »

Une formation accélérée en quelque sorte pour l’Irlandais qui se voyait plutôt rejoindre à Cork son frère Tim à l’issue de sa carrière. La vie en a décidé autrement. Lorsqu’il jouait encore, Christophe Laussucq, Régis Sonnes et donc Bernard Goutta avaient déjà tous vu en lui un entraîneur en puissance en lui confiant des exercices sur la mêlée ou les ballons portés en fin de séance. Cette fois, staff et dirigeants l’ont plébiscité pour qu’il endosse le costume de manager. « Je n’avais pas prévu que ça arrive si tôt dans ma carrière. C’est bien que ça vienne d’eux. Quelques joueurs m’ont aussi envoyé un message. C’est un signe de confiance. Je n’ai pas de problème à prendre des responsabilités. Quand tu veux le meilleur pour l’équipe et que tu donnes tout, tu n’as pas à avoir peur. »

Un leader dans l’âme

La « promotion » de Dave Ryan, s’est ainsi faite naturellement, avec l’approbation des joueurs. « Il prenait déjà le lead aux entraînements quand Bernard (Goutta) n’était pas là », précise l’ouvreur Thomas Vincent. En tant qu’ancien pilier emblématique du SUA (156 matchs entre 2015 et 2022), le plus Agenais des Irlandais a aussi une forme de légitimité qui plaide en sa faveur. « C’est vrai que je suis celui qui a le plus d’expérience au club dans le staff et j’ai aussi le caractère pour ce poste. Je ne me force pas ! Je suis un capitaine depuis que je suis jeune. J’ai été le capitaine des U18, U19 et U20 de l’Irlande, mais aussi de mon club formateur à Cork quand j’avais 19 ans. Je n’ai pas de problème avec ce rôle de leader et les joueurs avaient besoin d’un interlocuteur avec qui parler. »

Suite au départ précipité de Bernard Goutta, Barry Maddocks, et « ses vingt ans d’expérience d’entraîneur », avait déjà soufflé à Dave Ryan l’idée de prendre « le lead » dans le trio complété par Adel Fellah. Le président Jean-François Fonteneau l’a validée. « C’est important que ce soit eux qui m’aient demandé d’être le chef. Mais on travaille à trois et Barry m’est d’une aide précieuse. Depuis que je suis jeune, on m’a toujours dit que je ferai un bon entraîneur. Quand j’étais joueur, que ce soit sur le terrain ou en séance vidéo, je n’ai jamais eu peur de parler lorsque je voyais un point à améliorer ou si un mec n’était pas dans ses standards. J’avais la même exigence qu’aujourd’hui. Les mecs qui me connaissent bien savent que je n’ai pas de problème pour dire ce que je pense. »

« Droit et honnête »

Plutôt introverti au premier abord, Dave Ryan se sent comme un poisson dans l’eau en chef de meute. D’autant plus avec un groupe qu’il connaît par cœur : « Je côtoie ces mecs depuis qu’ils sont Espoirs, ou même Crabos pour certains, et je jouais encore avec les autres il y a un an et demi. Ce n’est pas un problème pour moi. Maintenant que j’ai pris le lead, je dois parler plus, je dois trancher pour choisir l’équipe, et l’annoncer aux mecs qui ne jouent pas. Si tu restes droit et honnête, que tu donnes les bonnes raisons et les bonnes explications, bien sûr que les gars vont être déçus, mais ils ne peuvent pas être perturbés. C’est le plus important. » Dave Ryan a puisé dans sa propre expérience de joueur ses méthodes de management. Et le message semble passer.

Sa méthode sera-t-elle différente de son prédécesseur ? « On reste dans la continuité, assure-t-il. On veut monter l’intensité à l’entraînement et mettre aussi un peu plus de responsabilités sur les mecs dans la semaine afin qu’ils s’approprient le projet de jeu. Bien sûr qu’on va changer quelques petites choses, mais pas grand-chose. » Chacun a d’ailleurs gardé sa place au premier étage du centre de performance sous la tribune Basquet. « On utilise le bureau de Bernard (Goutta) juste pour les entretiens individuels avec les joueurs. » Il va les multiplier pour préparer la saison prochaine avec le recul d’un manager qui doit avoir une vision plus globale que le simple jeu d’avants. « Je sais quelles petites améliorations on peut apporter pour créer une bonne atmosphère. »

Devenu général, le soldat Ryan est en mission : « C’est beaucoup de travail, mais j’adore mon boulot et je suis passionné par le rugby. Le SUA est dans mon cœur et va y rester toute ma vie. C’est pour ça que je veux le meilleur pour ce club. »

Clin d’œil

Sa femme, son « rocher ». Dave Ryan ne va donc pas rejoindre son frère Tim pour entraîner à Cork, comme il l’envisageait avant de raccrocher les crampons. D’abord parce que le frangin, qui a fait monter de quatre divisions son club formateur du Highfield RFC, s’est marié avec une Galloise qu’il a rejointe à Cardiff et qu’il entraîne désormais le petit club de Neath (près de Swansea). Mais surtout parce que Dave Ryan est encore sous contrat avec le SUA au moins jusqu’en juin 2025. « Avec ma famille, nous sommes très contents d’être à Agen. Mon premier enfant est à l’école, le petit pas encore, tout va bien. Ma femme est un peu toute seule avec eux. Sans elle, je ne pourrais pas faire tout ça. Elle est mon rocher derrière moi. Quand on m’a proposé le rôle d’entraîneur principal, on en a parlé ensemble. Je lui ai dit que j’allais être encore moins là. Mais j’aime bien l’idée qu’on soit un club familial. Donc parfois les enfants viennent avec moi au stade et ils jouent à côté quand je travaille. »

pierragen a écrit:

Kumkum47 a écrit:

Kumkum47 a écrit:

gobitcho47 a écrit:

Qui sont les joueurs (3) qui ont entraîné cette lourde défaite d'après jff ?

Je les ai cité plus haut
Lamoulie Tisley Tolot.
Deux me semble perdu.
Tisley doit avoir une ultime chance de se racheter mais de grâce à l aile.

Il le doit au SUA

Peut on incriminer un joueur en particulier dans une déroute collective ? Le rugby se joue à 22 . Quand je vous notre equipe jouer j ai du mal a  voir lequel ne tient pas sa place . Ce serait si simple un mec n est pas dans le match , on le remplace et ça repart . Mais là quand la défense est une passoire , quand les mecs ne viennent pas au soutien , quand on oublie de plaquer , c est le fiasco. 
Le rugby pro c est plus 40 joueurs , des staffs étoffés , des comités directeurs , c est un tout . Mais il est si facile de virer un manager .

Un oui mais 3....

De de mal en pis vu j le niveau du SUA et de beaucoup de mecs ici je préfère voyager et m abstenir de venir sur le forum
Mais volavola,tsyley, les anglais, erbani bottin etc...n ont plus rien à faire dans le rugby pro
Bon je vais piquer une tête tempe 29° la mer 26°
Bye

ovale47 a écrit:

Buspard a écrit:

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Sud Ouest
Par Frédéric Cormary
Publié le 11/01/2024

Le soldat Ryan devenu général

Un an et demi après avoir raccroché les crampons, l’ancien pilier droit Dave Ryan se retrouve propulsé à la tête du SU Agen après le départ de Bernard Goutta. Ces responsabilités, avant le derby de ce vendredi (21 heures) à Mont-de-Marsan, n’effraient pas l’Irlandais qui a toujours été un leader dans l’âme

Son réveil sonne toujours à la même heure. Mais ses journées sont un peu plus chargées depuis que Bernard Goutta a décidé de se mettre « en retrait » de son poste de manager. Encore pilier droit du SUA il y a un an et demi à peine, le tout jeune entraîneur des avants Dave Ryan (37 ans) a été propulsé entraîneur principal. En quelques mois, le soldat Ryan est ainsi devenu général. Une ascension fulgurante qui ne l’effraie pas : « Je prends les choses comme elles viennent. Avant ma dernière année de joueur, je pensais faire encore une dernière saison. Mais mon dos a dit « non » et Bernard (Goutta) m’a proposé de passer entraîneur. Et j’ai dit OK ! Beaucoup de choses se sont passées durant cette année et demie comme entraîneur. J’ai beaucoup appris de suite… »

Une formation accélérée en quelque sorte pour l’Irlandais qui se voyait plutôt rejoindre à Cork son frère Tim à l’issue de sa carrière. La vie en a décidé autrement. Lorsqu’il jouait encore, Christophe Laussucq, Régis Sonnes et donc Bernard Goutta avaient déjà tous vu en lui un entraîneur en puissance en lui confiant des exercices sur la mêlée ou les ballons portés en fin de séance. Cette fois, staff et dirigeants l’ont plébiscité pour qu’il endosse le costume de manager. « Je n’avais pas prévu que ça arrive si tôt dans ma carrière. C’est bien que ça vienne d’eux. Quelques joueurs m’ont aussi envoyé un message. C’est un signe de confiance. Je n’ai pas de problème à prendre des responsabilités. Quand tu veux le meilleur pour l’équipe et que tu donnes tout, tu n’as pas à avoir peur. »

Un leader dans l’âme

La « promotion » de Dave Ryan, s’est ainsi faite naturellement, avec l’approbation des joueurs. « Il prenait déjà le lead aux entraînements quand Bernard (Goutta) n’était pas là », précise l’ouvreur Thomas Vincent. En tant qu’ancien pilier emblématique du SUA (156 matchs entre 2015 et 2022), le plus Agenais des Irlandais a aussi une forme de légitimité qui plaide en sa faveur. « C’est vrai que je suis celui qui a le plus d’expérience au club dans le staff et j’ai aussi le caractère pour ce poste. Je ne me force pas ! Je suis un capitaine depuis que je suis jeune. J’ai été le capitaine des U18, U19 et U20 de l’Irlande, mais aussi de mon club formateur à Cork quand j’avais 19 ans. Je n’ai pas de problème avec ce rôle de leader et les joueurs avaient besoin d’un interlocuteur avec qui parler. »

Suite au départ précipité de Bernard Goutta, Barry Maddocks, et « ses vingt ans d’expérience d’entraîneur », avait déjà soufflé à Dave Ryan l’idée de prendre « le lead » dans le trio complété par Adel Fellah. Le président Jean-François Fonteneau l’a validée. « C’est important que ce soit eux qui m’aient demandé d’être le chef. Mais on travaille à trois et Barry m’est d’une aide précieuse. Depuis que je suis jeune, on m’a toujours dit que je ferai un bon entraîneur. Quand j’étais joueur, que ce soit sur le terrain ou en séance vidéo, je n’ai jamais eu peur de parler lorsque je voyais un point à améliorer ou si un mec n’était pas dans ses standards. J’avais la même exigence qu’aujourd’hui. Les mecs qui me connaissent bien savent que je n’ai pas de problème pour dire ce que je pense. »

« Droit et honnête »

Plutôt introverti au premier abord, Dave Ryan se sent comme un poisson dans l’eau en chef de meute. D’autant plus avec un groupe qu’il connaît par cœur : « Je côtoie ces mecs depuis qu’ils sont Espoirs, ou même Crabos pour certains, et je jouais encore avec les autres il y a un an et demi. Ce n’est pas un problème pour moi. Maintenant que j’ai pris le lead, je dois parler plus, je dois trancher pour choisir l’équipe, et l’annoncer aux mecs qui ne jouent pas. Si tu restes droit et honnête, que tu donnes les bonnes raisons et les bonnes explications, bien sûr que les gars vont être déçus, mais ils ne peuvent pas être perturbés. C’est le plus important. » Dave Ryan a puisé dans sa propre expérience de joueur ses méthodes de management. Et le message semble passer.

Sa méthode sera-t-elle différente de son prédécesseur ? « On reste dans la continuité, assure-t-il. On veut monter l’intensité à l’entraînement et mettre aussi un peu plus de responsabilités sur les mecs dans la semaine afin qu’ils s’approprient le projet de jeu. Bien sûr qu’on va changer quelques petites choses, mais pas grand-chose. » Chacun a d’ailleurs gardé sa place au premier étage du centre de performance sous la tribune Basquet. « On utilise le bureau de Bernard (Goutta) juste pour les entretiens individuels avec les joueurs. » Il va les multiplier pour préparer la saison prochaine avec le recul d’un manager qui doit avoir une vision plus globale que le simple jeu d’avants. « Je sais quelles petites améliorations on peut apporter pour créer une bonne atmosphère. »

Devenu général, le soldat Ryan est en mission : « C’est beaucoup de travail, mais j’adore mon boulot et je suis passionné par le rugby. Le SUA est dans mon cœur et va y rester toute ma vie. C’est pour ça que je veux le meilleur pour ce club. »

Clin d’œil

Sa femme, son « rocher ». Dave Ryan ne va donc pas rejoindre son frère Tim pour entraîner à Cork, comme il l’envisageait avant de raccrocher les crampons. D’abord parce que le frangin, qui a fait monter de quatre divisions son club formateur du Highfield RFC, s’est marié avec une Galloise qu’il a rejointe à Cardiff et qu’il entraîne désormais le petit club de Neath (près de Swansea). Mais surtout parce que Dave Ryan est encore sous contrat avec le SUA au moins jusqu’en juin 2025. « Avec ma famille, nous sommes très contents d’être à Agen. Mon premier enfant est à l’école, le petit pas encore, tout va bien. Ma femme est un peu toute seule avec eux. Sans elle, je ne pourrais pas faire tout ça. Elle est mon rocher derrière moi. Quand on m’a proposé le rôle d’entraîneur principal, on en a parlé ensemble. Je lui ai dit que j’allais être encore moins là. Mais j’aime bien l’idée qu’on soit un club familial. Donc parfois les enfants viennent avec moi au stade et ils jouent à côté quand je travaille. »

Merci.

Buspard a écrit:

ovale47 a écrit:

Buspard a écrit:

Quelqu'un pourrait-il mettre en ligne l'article S.O de D.Rayan?

Sud Ouest
Par Frédéric Cormary
Publié le 11/01/2024

Le soldat Ryan devenu général

Un an et demi après avoir raccroché les crampons, l’ancien pilier droit Dave Ryan se retrouve propulsé à la tête du SU Agen après le départ de Bernard Goutta. Ces responsabilités, avant le derby de ce vendredi (21 heures) à Mont-de-Marsan, n’effraient pas l’Irlandais qui a toujours été un leader dans l’âme

Son réveil sonne toujours à la même heure. Mais ses journées sont un peu plus chargées depuis que Bernard Goutta a décidé de se mettre « en retrait » de son poste de manager. Encore pilier droit du SUA il y a un an et demi à peine, le tout jeune entraîneur des avants Dave Ryan (37 ans) a été propulsé entraîneur principal. En quelques mois, le soldat Ryan est ainsi devenu général. Une ascension fulgurante qui ne l’effraie pas : « Je prends les choses comme elles viennent. Avant ma dernière année de joueur, je pensais faire encore une dernière saison. Mais mon dos a dit « non » et Bernard (Goutta) m’a proposé de passer entraîneur. Et j’ai dit OK ! Beaucoup de choses se sont passées durant cette année et demie comme entraîneur. J’ai beaucoup appris de suite… »

Une formation accélérée en quelque sorte pour l’Irlandais qui se voyait plutôt rejoindre à Cork son frère Tim à l’issue de sa carrière. La vie en a décidé autrement. Lorsqu’il jouait encore, Christophe Laussucq, Régis Sonnes et donc Bernard Goutta avaient déjà tous vu en lui un entraîneur en puissance en lui confiant des exercices sur la mêlée ou les ballons portés en fin de séance. Cette fois, staff et dirigeants l’ont plébiscité pour qu’il endosse le costume de manager. « Je n’avais pas prévu que ça arrive si tôt dans ma carrière. C’est bien que ça vienne d’eux. Quelques joueurs m’ont aussi envoyé un message. C’est un signe de confiance. Je n’ai pas de problème à prendre des responsabilités. Quand tu veux le meilleur pour l’équipe et que tu donnes tout, tu n’as pas à avoir peur. »

Un leader dans l’âme

La « promotion » de Dave Ryan, s’est ainsi faite naturellement, avec l’approbation des joueurs. « Il prenait déjà le lead aux entraînements quand Bernard (Goutta) n’était pas là », précise l’ouvreur Thomas Vincent. En tant qu’ancien pilier emblématique du SUA (156 matchs entre 2015 et 2022), le plus Agenais des Irlandais a aussi une forme de légitimité qui plaide en sa faveur. « C’est vrai que je suis celui qui a le plus d’expérience au club dans le staff et j’ai aussi le caractère pour ce poste. Je ne me force pas ! Je suis un capitaine depuis que je suis jeune. J’ai été le capitaine des U18, U19 et U20 de l’Irlande, mais aussi de mon club formateur à Cork quand j’avais 19 ans. Je n’ai pas de problème avec ce rôle de leader et les joueurs avaient besoin d’un interlocuteur avec qui parler. »

Suite au départ précipité de Bernard Goutta, Barry Maddocks, et « ses vingt ans d’expérience d’entraîneur », avait déjà soufflé à Dave Ryan l’idée de prendre « le lead » dans le trio complété par Adel Fellah. Le président Jean-François Fonteneau l’a validée. « C’est important que ce soit eux qui m’aient demandé d’être le chef. Mais on travaille à trois et Barry m’est d’une aide précieuse. Depuis que je suis jeune, on m’a toujours dit que je ferai un bon entraîneur. Quand j’étais joueur, que ce soit sur le terrain ou en séance vidéo, je n’ai jamais eu peur de parler lorsque je voyais un point à améliorer ou si un mec n’était pas dans ses standards. J’avais la même exigence qu’aujourd’hui. Les mecs qui me connaissent bien savent que je n’ai pas de problème pour dire ce que je pense. »

« Droit et honnête »

Plutôt introverti au premier abord, Dave Ryan se sent comme un poisson dans l’eau en chef de meute. D’autant plus avec un groupe qu’il connaît par cœur : « Je côtoie ces mecs depuis qu’ils sont Espoirs, ou même Crabos pour certains, et je jouais encore avec les autres il y a un an et demi. Ce n’est pas un problème pour moi. Maintenant que j’ai pris le lead, je dois parler plus, je dois trancher pour choisir l’équipe, et l’annoncer aux mecs qui ne jouent pas. Si tu restes droit et honnête, que tu donnes les bonnes raisons et les bonnes explications, bien sûr que les gars vont être déçus, mais ils ne peuvent pas être perturbés. C’est le plus important. » Dave Ryan a puisé dans sa propre expérience de joueur ses méthodes de management. Et le message semble passer.

Sa méthode sera-t-elle différente de son prédécesseur ? « On reste dans la continuité, assure-t-il. On veut monter l’intensité à l’entraînement et mettre aussi un peu plus de responsabilités sur les mecs dans la semaine afin qu’ils s’approprient le projet de jeu. Bien sûr qu’on va changer quelques petites choses, mais pas grand-chose. » Chacun a d’ailleurs gardé sa place au premier étage du centre de performance sous la tribune Basquet. « On utilise le bureau de Bernard (Goutta) juste pour les entretiens individuels avec les joueurs. » Il va les multiplier pour préparer la saison prochaine avec le recul d’un manager qui doit avoir une vision plus globale que le simple jeu d’avants. « Je sais quelles petites améliorations on peut apporter pour créer une bonne atmosphère. »

Devenu général, le soldat Ryan est en mission : « C’est beaucoup de travail, mais j’adore mon boulot et je suis passionné par le rugby. Le SUA est dans mon cœur et va y rester toute ma vie. C’est pour ça que je veux le meilleur pour ce club. »

Clin d’œil

Sa femme, son « rocher ». Dave Ryan ne va donc pas rejoindre son frère Tim pour entraîner à Cork, comme il l’envisageait avant de raccrocher les crampons. D’abord parce que le frangin, qui a fait monter de quatre divisions son club formateur du Highfield RFC, s’est marié avec une Galloise qu’il a rejointe à Cardiff et qu’il entraîne désormais le petit club de Neath (près de Swansea). Mais surtout parce que Dave Ryan est encore sous contrat avec le SUA au moins jusqu’en juin 2025. « Avec ma famille, nous sommes très contents d’être à Agen. Mon premier enfant est à l’école, le petit pas encore, tout va bien. Ma femme est un peu toute seule avec eux. Sans elle, je ne pourrais pas faire tout ça. Elle est mon rocher derrière moi. Quand on m’a proposé le rôle d’entraîneur principal, on en a parlé ensemble. Je lui ai dit que j’allais être encore moins là. Mais j’aime bien l’idée qu’on soit un club familial. Donc parfois les enfants viennent avec moi au stade et ils jouent à côté quand je travaille. »

Merci.

Ça  c'était avant le naufrage montois...il s'est exprimé après !

Buspard a écrit:

ovale47 a écrit:

Buspard a écrit:

Quelqu'un pourrait-il mettre en ligne l'article S.O de D.Rayan?

Sud Ouest
Par Frédéric Cormary
Publié le 11/01/2024

Le soldat Ryan devenu général

Un an et demi après avoir raccroché les crampons, l’ancien pilier droit Dave Ryan se retrouve propulsé à la tête du SU Agen après le départ de Bernard Goutta. Ces responsabilités, avant le derby de ce vendredi (21 heures) à Mont-de-Marsan, n’effraient pas l’Irlandais qui a toujours été un leader dans l’âme

Son réveil sonne toujours à la même heure. Mais ses journées sont un peu plus chargées depuis que Bernard Goutta a décidé de se mettre « en retrait » de son poste de manager. Encore pilier droit du SUA il y a un an et demi à peine, le tout jeune entraîneur des avants Dave Ryan (37 ans) a été propulsé entraîneur principal. En quelques mois, le soldat Ryan est ainsi devenu général. Une ascension fulgurante qui ne l’effraie pas : « Je prends les choses comme elles viennent. Avant ma dernière année de joueur, je pensais faire encore une dernière saison. Mais mon dos a dit « non » et Bernard (Goutta) m’a proposé de passer entraîneur. Et j’ai dit OK ! Beaucoup de choses se sont passées durant cette année et demie comme entraîneur. J’ai beaucoup appris de suite… »

Une formation accélérée en quelque sorte pour l’Irlandais qui se voyait plutôt rejoindre à Cork son frère Tim à l’issue de sa carrière. La vie en a décidé autrement. Lorsqu’il jouait encore, Christophe Laussucq, Régis Sonnes et donc Bernard Goutta avaient déjà tous vu en lui un entraîneur en puissance en lui confiant des exercices sur la mêlée ou les ballons portés en fin de séance. Cette fois, staff et dirigeants l’ont plébiscité pour qu’il endosse le costume de manager. « Je n’avais pas prévu que ça arrive si tôt dans ma carrière. C’est bien que ça vienne d’eux. Quelques joueurs m’ont aussi envoyé un message. C’est un signe de confiance. Je n’ai pas de problème à prendre des responsabilités. Quand tu veux le meilleur pour l’équipe et que tu donnes tout, tu n’as pas à avoir peur. »

Un leader dans l’âme

La « promotion » de Dave Ryan, s’est ainsi faite naturellement, avec l’approbation des joueurs. « Il prenait déjà le lead aux entraînements quand Bernard (Goutta) n’était pas là », précise l’ouvreur Thomas Vincent. En tant qu’ancien pilier emblématique du SUA (156 matchs entre 2015 et 2022), le plus Agenais des Irlandais a aussi une forme de légitimité qui plaide en sa faveur. « C’est vrai que je suis celui qui a le plus d’expérience au club dans le staff et j’ai aussi le caractère pour ce poste. Je ne me force pas ! Je suis un capitaine depuis que je suis jeune. J’ai été le capitaine des U18, U19 et U20 de l’Irlande, mais aussi de mon club formateur à Cork quand j’avais 19 ans. Je n’ai pas de problème avec ce rôle de leader et les joueurs avaient besoin d’un interlocuteur avec qui parler. »

Suite au départ précipité de Bernard Goutta, Barry Maddocks, et « ses vingt ans d’expérience d’entraîneur », avait déjà soufflé à Dave Ryan l’idée de prendre « le lead » dans le trio complété par Adel Fellah. Le président Jean-François Fonteneau l’a validée. « C’est important que ce soit eux qui m’aient demandé d’être le chef. Mais on travaille à trois et Barry m’est d’une aide précieuse. Depuis que je suis jeune, on m’a toujours dit que je ferai un bon entraîneur. Quand j’étais joueur, que ce soit sur le terrain ou en séance vidéo, je n’ai jamais eu peur de parler lorsque je voyais un point à améliorer ou si un mec n’était pas dans ses standards. J’avais la même exigence qu’aujourd’hui. Les mecs qui me connaissent bien savent que je n’ai pas de problème pour dire ce que je pense. »

« Droit et honnête »

Plutôt introverti au premier abord, Dave Ryan se sent comme un poisson dans l’eau en chef de meute. D’autant plus avec un groupe qu’il connaît par cœur : « Je côtoie ces mecs depuis qu’ils sont Espoirs, ou même Crabos pour certains, et je jouais encore avec les autres il y a un an et demi. Ce n’est pas un problème pour moi. Maintenant que j’ai pris le lead, je dois parler plus, je dois trancher pour choisir l’équipe, et l’annoncer aux mecs qui ne jouent pas. Si tu restes droit et honnête, que tu donnes les bonnes raisons et les bonnes explications, bien sûr que les gars vont être déçus, mais ils ne peuvent pas être perturbés. C’est le plus important. » Dave Ryan a puisé dans sa propre expérience de joueur ses méthodes de management. Et le message semble passer.

Sa méthode sera-t-elle différente de son prédécesseur ? « On reste dans la continuité, assure-t-il. On veut monter l’intensité à l’entraînement et mettre aussi un peu plus de responsabilités sur les mecs dans la semaine afin qu’ils s’approprient le projet de jeu. Bien sûr qu’on va changer quelques petites choses, mais pas grand-chose. » Chacun a d’ailleurs gardé sa place au premier étage du centre de performance sous la tribune Basquet. « On utilise le bureau de Bernard (Goutta) juste pour les entretiens individuels avec les joueurs. » Il va les multiplier pour préparer la saison prochaine avec le recul d’un manager qui doit avoir une vision plus globale que le simple jeu d’avants. « Je sais quelles petites améliorations on peut apporter pour créer une bonne atmosphère. »

Devenu général, le soldat Ryan est en mission : « C’est beaucoup de travail, mais j’adore mon boulot et je suis passionné par le rugby. Le SUA est dans mon cœur et va y rester toute ma vie. C’est pour ça que je veux le meilleur pour ce club. »

Clin d’œil

Sa femme, son « rocher ». Dave Ryan ne va donc pas rejoindre son frère Tim pour entraîner à Cork, comme il l’envisageait avant de raccrocher les crampons. D’abord parce que le frangin, qui a fait monter de quatre divisions son club formateur du Highfield RFC, s’est marié avec une Galloise qu’il a rejointe à Cardiff et qu’il entraîne désormais le petit club de Neath (près de Swansea). Mais surtout parce que Dave Ryan est encore sous contrat avec le SUA au moins jusqu’en juin 2025. « Avec ma famille, nous sommes très contents d’être à Agen. Mon premier enfant est à l’école, le petit pas encore, tout va bien. Ma femme est un peu toute seule avec eux. Sans elle, je ne pourrais pas faire tout ça. Elle est mon rocher derrière moi. Quand on m’a proposé le rôle d’entraîneur principal, on en a parlé ensemble. Je lui ai dit que j’allais être encore moins là. Mais j’aime bien l’idée qu’on soit un club familial. Donc parfois les enfants viennent avec moi au stade et ils jouent à côté quand je travaille. »

Merci.

Bon courage à lui mais es-ce que ça suffira!

Encore une fois un bel article sur un journal local, le SUA est certainement le club le plus prolifique en déclarations de dirigeants,joueurs,journalistes d'avant et après-matchs.

Et il faut lire les déclarations précédent les rencontres ,on y croie ignorant les lacunes trainées depuis des années.

Finalement on parle trop,on se voie beaux ,on nie les réalités,le, mal principal est peu-ètre la .

Si ce n'est pas de l'orgueil, c'est du déni . Çà peut être aussi de la mauvaise foi . Ou pas ! ..(?) .

Je pense et j'espère me tromper , le prochain contre Aurillac , s'ils ne veulent pas que la sanction pour le maintient tombe et rende la vie dure . .....
Gagner d'un pion la moitié des matchs restants , je prend !!!!....
Même si çà fait durer le gagner MOCHE .
Après , attendons voir .

 

allezagen47 a écrit:

jipé a écrit:

Aspaizu qui rate 2 coups de pied dans ses cordes et un essai vendangé, pour .

Non, c'est Du Plessis. Laousse-Aspiazu, croisés, saison terminée.

Pour ceux qui veulent savoir, ce que fait Danré Gerber, il joue à St SEVER dans les Landes

Kumkum47 a écrit:

gobitcho47 a écrit:

Qui sont les joueurs (3) qui ont entraîné cette lourde défaite d'après jff ?

Je les ai cité plus haut
Lamoulie Tisley Tolot.
Deux me semble perdu.
Tisley doit avoir une ultime chance de se racheter mais de grâce à l aile.

Tu as oublié le meilleur !!!! ou bien, ce n'est pas 3 mais 4 joueurs !!!!

amblards a écrit:

Buspard a écrit:

ovale47 a écrit:

Buspard a écrit:

Quelqu'un pourrait-il mettre en ligne l'article S.O de D.Rayan?

Sud Ouest
Par Frédéric Cormary
Publié le 11/01/2024

Le soldat Ryan devenu général

Un an et demi après avoir raccroché les crampons, l’ancien pilier droit Dave Ryan se retrouve propulsé à la tête du SU Agen après le départ de Bernard Goutta. Ces responsabilités, avant le derby de ce vendredi (21 heures) à Mont-de-Marsan, n’effraient pas l’Irlandais qui a toujours été un leader dans l’âme

Son réveil sonne toujours à la même heure. Mais ses journées sont un peu plus chargées depuis que Bernard Goutta a décidé de se mettre « en retrait » de son poste de manager. Encore pilier droit du SUA il y a un an et demi à peine, le tout jeune entraîneur des avants Dave Ryan (37 ans) a été propulsé entraîneur principal. En quelques mois, le soldat Ryan est ainsi devenu général. Une ascension fulgurante qui ne l’effraie pas : « Je prends les choses comme elles viennent. Avant ma dernière année de joueur, je pensais faire encore une dernière saison. Mais mon dos a dit « non » et Bernard (Goutta) m’a proposé de passer entraîneur. Et j’ai dit OK ! Beaucoup de choses se sont passées durant cette année et demie comme entraîneur. J’ai beaucoup appris de suite… »

Une formation accélérée en quelque sorte pour l’Irlandais qui se voyait plutôt rejoindre à Cork son frère Tim à l’issue de sa carrière. La vie en a décidé autrement. Lorsqu’il jouait encore, Christophe Laussucq, Régis Sonnes et donc Bernard Goutta avaient déjà tous vu en lui un entraîneur en puissance en lui confiant des exercices sur la mêlée ou les ballons portés en fin de séance. Cette fois, staff et dirigeants l’ont plébiscité pour qu’il endosse le costume de manager. « Je n’avais pas prévu que ça arrive si tôt dans ma carrière. C’est bien que ça vienne d’eux. Quelques joueurs m’ont aussi envoyé un message. C’est un signe de confiance. Je n’ai pas de problème à prendre des responsabilités. Quand tu veux le meilleur pour l’équipe et que tu donnes tout, tu n’as pas à avoir peur. »

Un leader dans l’âme

La « promotion » de Dave Ryan, s’est ainsi faite naturellement, avec l’approbation des joueurs. « Il prenait déjà le lead aux entraînements quand Bernard (Goutta) n’était pas là », précise l’ouvreur Thomas Vincent. En tant qu’ancien pilier emblématique du SUA (156 matchs entre 2015 et 2022), le plus Agenais des Irlandais a aussi une forme de légitimité qui plaide en sa faveur. « C’est vrai que je suis celui qui a le plus d’expérience au club dans le staff et j’ai aussi le caractère pour ce poste. Je ne me force pas ! Je suis un capitaine depuis que je suis jeune. J’ai été le capitaine des U18, U19 et U20 de l’Irlande, mais aussi de mon club formateur à Cork quand j’avais 19 ans. Je n’ai pas de problème avec ce rôle de leader et les joueurs avaient besoin d’un interlocuteur avec qui parler. »

Suite au départ précipité de Bernard Goutta, Barry Maddocks, et « ses vingt ans d’expérience d’entraîneur », avait déjà soufflé à Dave Ryan l’idée de prendre « le lead » dans le trio complété par Adel Fellah. Le président Jean-François Fonteneau l’a validée. « C’est important que ce soit eux qui m’aient demandé d’être le chef. Mais on travaille à trois et Barry m’est d’une aide précieuse. Depuis que je suis jeune, on m’a toujours dit que je ferai un bon entraîneur. Quand j’étais joueur, que ce soit sur le terrain ou en séance vidéo, je n’ai jamais eu peur de parler lorsque je voyais un point à améliorer ou si un mec n’était pas dans ses standards. J’avais la même exigence qu’aujourd’hui. Les mecs qui me connaissent bien savent que je n’ai pas de problème pour dire ce que je pense. »

« Droit et honnête »

Plutôt introverti au premier abord, Dave Ryan se sent comme un poisson dans l’eau en chef de meute. D’autant plus avec un groupe qu’il connaît par cœur : « Je côtoie ces mecs depuis qu’ils sont Espoirs, ou même Crabos pour certains, et je jouais encore avec les autres il y a un an et demi. Ce n’est pas un problème pour moi. Maintenant que j’ai pris le lead, je dois parler plus, je dois trancher pour choisir l’équipe, et l’annoncer aux mecs qui ne jouent pas. Si tu restes droit et honnête, que tu donnes les bonnes raisons et les bonnes explications, bien sûr que les gars vont être déçus, mais ils ne peuvent pas être perturbés. C’est le plus important. » Dave Ryan a puisé dans sa propre expérience de joueur ses méthodes de management. Et le message semble passer.

Sa méthode sera-t-elle différente de son prédécesseur ? « On reste dans la continuité, assure-t-il. On veut monter l’intensité à l’entraînement et mettre aussi un peu plus de responsabilités sur les mecs dans la semaine afin qu’ils s’approprient le projet de jeu. Bien sûr qu’on va changer quelques petites choses, mais pas grand-chose. » Chacun a d’ailleurs gardé sa place au premier étage du centre de performance sous la tribune Basquet. « On utilise le bureau de Bernard (Goutta) juste pour les entretiens individuels avec les joueurs. » Il va les multiplier pour préparer la saison prochaine avec le recul d’un manager qui doit avoir une vision plus globale que le simple jeu d’avants. « Je sais quelles petites améliorations on peut apporter pour créer une bonne atmosphère. »

Devenu général, le soldat Ryan est en mission : « C’est beaucoup de travail, mais j’adore mon boulot et je suis passionné par le rugby. Le SUA est dans mon cœur et va y rester toute ma vie. C’est pour ça que je veux le meilleur pour ce club. »

Clin d’œil

Sa femme, son « rocher ». Dave Ryan ne va donc pas rejoindre son frère Tim pour entraîner à Cork, comme il l’envisageait avant de raccrocher les crampons. D’abord parce que le frangin, qui a fait monter de quatre divisions son club formateur du Highfield RFC, s’est marié avec une Galloise qu’il a rejointe à Cardiff et qu’il entraîne désormais le petit club de Neath (près de Swansea). Mais surtout parce que Dave Ryan est encore sous contrat avec le SUA au moins jusqu’en juin 2025. « Avec ma famille, nous sommes très contents d’être à Agen. Mon premier enfant est à l’école, le petit pas encore, tout va bien. Ma femme est un peu toute seule avec eux. Sans elle, je ne pourrais pas faire tout ça. Elle est mon rocher derrière moi. Quand on m’a proposé le rôle d’entraîneur principal, on en a parlé ensemble. Je lui ai dit que j’allais être encore moins là. Mais j’aime bien l’idée qu’on soit un club familial. Donc parfois les enfants viennent avec moi au stade et ils jouent à côté quand je travaille. »

Merci. :bj:

Bon courage à lui  mais es-ce que ça suffira!

Encore une fois un bel article sur un journal local, le SUA est certainement le club le plus prolifique en déclarations de dirigeants,joueurs,journalistes d'avant et après-matchs.

Et il faut lire les déclarations précédent les rencontres ,on y croie ignorant les lacunes trainées depuis des années.

Finalement on parle trop,on se voie beaux ,on nie les réalités,le, mal principal est peu-ètre la .

Je trouve ton analyse d'autant plus "perspicace" dirais-je, que tu habites à 5OO bornes d'Agen !!! (rires)

A 500 bornes depuis six ans,,à 5000 mètres environ d'Armandie avant.

La différence ?

Je ne reconnais plus le SUA de ma jeunesse.

Expatrié,pendant des dizaine d'années ,je pouvais me targuer d'ètre agenais.

Maintenant ,en tribune à la Rabine, j'essaie d'ètre breton.

amblards a écrit:

A 500 bornes depuis six ans,,à 5000 mètres environ d'Armandie avant.

La différence ?

Je ne reconnais plus le SUA de ma jeunesse.

Expatrié,pendant des dizaine d'années ,je pouvais me targuer d'ètre agenais.

Maintenant ,en tribune à la Rabine, j'essaie d'ètre breton.

Tu es comme les pastèques vert dehors et rouge dedans ...je voulais dire Breton dehors et ... bleu et blanc dedans !!!!

B2R a écrit:

Midi Olympique

Quand dans la presse régionale on comprend que sont désignés entre autre  par le président mister Georges et Volavola le ballon en l air ... 
Mais si je ne m abuse notre cher JFF n à t il pas pesé de son poids pour recruter ces 2 joueurs ... 
Relisons les articles élogieux lors de ses signatures ...

pierragen a écrit:

B2R a écrit:

Midi Olympique

Quand dans la presse régionale on comprend que sont désignés entre autre  par le président mister Georges et Volavola le ballon en l air ... 
Mais si je ne m abuse notre cher JFF n à t il pas pesé de son poids pour recruter ces 2 joueurs ... 
Relisons les articles élogieux lors de ses signatures ...

J'étais au match et je l'ai revu à la télé. Certes Volavola, après avoir marqué un bel essai, a fait 2 énormes conneries. Tilsley, à part 2 en avants dont 1 suite à une passe dans ses pieds, a fait son match. On est beaucoup plus indulgents avec nos 2 locaux de derrière qui sont finis de chez finis, cuits au bout d'une course, qui n'apportent rien et qu'on a gracieusement prolongé longue durée...

Et le président, certes dans son rôle, qui taille les joueurs, il aurait pu et dû le faire depuis longtemps parce que c'est pas la 1ère fois qu'on passe complètement à côté.
Et lui, qui annonce une 4ème tribune, d'abord avec un hôtel, puis après une brasserie, des commerces, espaces médicaux etc... Plus un stade fermé par les virages, à l'anglaise. Et surtout, les perpétuelles promesses d'arrivée de partenaires, qui comme beaucoup de joueurs se battent pour rejoindre le Sua... Les échecs et renvois de tous les managers qu'il a nommés ? Quelqu'un va lui poser la question un jour ? Est-il exempt de rendre des comptes ?