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AGEN CHANGE DE BRAQUET ET TOURNE LA PAGE

VIRAGE> UN CAPITAINE FRDYZIYU2, DES JOUERS SACRIFIES SUR L'AUTEL DU BUDGET, LE SUA CHANGE DE CAP.

J'AI UNE MAUVAISE NOUVELLE à vous annoncer. On ne remontera pas en Top 14, la saison prochaine. C'est en ces termes que le manager général Henry Broncan s'adresse à ses joueurs, lundi matin, quelques heures après le naufrage narbonnais (29-10). La semaine commençait bien. Moins diplamate, le président Tingaud remit la deuxième couche, quelques minutes plus tard, broncardant nommément certains joueurs, dont Elhorga, leur reprochant "un niveau de fédérale". Ambiance.
Simple piqûre de rappel, petit recadrage "entre amis" pensait-on alors, sous le coup de la déception audoise. On était loin de se douter du cataclysme qui allait finalement &branler le Sporting. Il y eut d'abord, pour le fun, l'annonce jeudi matin, du changment de apitaine, les galons glissant des épaules de Lafforgue, le plus ancien du groupe, à ceelles de Monribot, vingt ans depuis le 11 octobre dernier, aucune minute de Top 14 au copteur. Un passage de témoin pas si anecdotique que àa. Mais rien à côté du tremblement de terre qui se préparait, pour l'après-midi, quelques bureaux plus loin. Quatre joueurs du groupes professionnel, Elhorga, Som, Yukes et Lafitte, libérés, sacrifiés, poussés vers la sortie.
"C'est une décisoion mûrement réfléchie qui s'inscrit dans un réajustement budg"taire (7,7 M E contre 8,13). Ces quatre joueurs sont toujours sous contrat. S'il veulent rester, ils peuvent rester, ils seront payés...", a simplement commenté le président Tingaud, samedi soir avant la rencontre. Une large victoire (62-0) devant Limoge qui a quelque peu réchauffé l'atmosphère et les cours. Pas celui des quatre <<pztizd>>. Leurs coéquipiers ont même proposé de réduire leurs émolument pour les sauver. " On veut finir la saison avec eux,. On va explorer toutes les solutions, toutes les pistes. Il faut qu'Agen retrouve sa sérénité...

[size=18]FRANCOIS GELEZ CROIT ENCORE[/à un déblocage possible. Il n'est pas le seul. Nicloas Lafitte, qui a joué tout le match samedi soir, et même marqué un essai, se considère toujurs agenais. "Je ne suis pas parti, j'attends de revoir les dirigeants. On verra bien..."
Peut-on franchement s'attendre à un revirement de situation, une volte-face des dirigeants? Difficile d'y croire. Les joueurs libérés pourront-ils survivre à ce "coup de poignard"? Rien n'est moins sûr. Montré du doigt, catalogué comme le plus gros salaire du club, l'international Pépito Elhorga, agenais depuis 1999, n'était pas à Armandie, samedi soir. Papa d'une petite Louise, la semaine dernière, Peïo Son serait déjà parti, dans sa tête. Le Canadien Colin Yukes, lui, attend de voir. Nicloas Lafitte, pour finir aurait déjà reçu des propositions. Rien n'est simple, Provale, le syndicat des joueurs, s'est sais de cet épineux dossier.
Le club phare de Lot-et-Garonne, qui fétera son centenaire en 2008, semble avoir tourné la page. Henry Broncan parle déjà de rebâtir sur du moyen terme, autour de ses jenes. " Ce sont eux l'avenir du club.
Les Monribot, Carabignac, Guitone m'ont beaucoup plu. D'autres vont arriver comme Lassale, Ostrikov et Anton, notre pilier géorgien. On va reconstruire. On Mettra peut-être plus de temps que prévu mais on y arrivera...", promet encore le sorcier gersois...