Bernard Mazzer n'est plus

Le SUA est en deuil, Bernard Mazzer ancien 2eme ligne du SUA est décédé à l'age de 50 ans.
De plus je vous annonce malheureusement le décés hier de mon oncle et parrain Gilbert Monteil, ancier pilier du SUA dans les années 70 et qui etait dirigeant au RCBB, il avait 61 ans.

Toutes mes sincères condoléances à leurs familles

Tristes nouvelles.

Etant en région parisienne, je n'ai appris la triste nouvelle pour Gilbert que hier soir grace à un coup de fil d'amis.
J'étais trés copain avec lui et nous avons fait de nombreuses sorties ensembles.
Mes très sincères condoléances à sa famille.

C'est toujours un choc et une prise conscience quand partent ceux qu'on a aimé ou admiré
Mais la vie continue, ailleurs, immortelle
un voyage vers d'autres horizons, vers d'autres dimensions
bonne route, bernard, on salue ta mémoire
"au revoir, pas adieu"
et pour toi, gobi, toutes ma sympathie pour la perte de ton oncle et surtout
parrain

J'ai bossé ce mois ci a la clinique comme brancardier, et j'ai moi même amené Bernard Mazzer faire des examens, ne connaissant pas sa maladie j'ai vu un homme tres fatigué, changé, je savais qu'il n'allait pas durer longtemps... quelle tristesse, mais pour mon oncle on ne s'y attendais pas du tout

Sincères condoléances à toutes les familles.

Sincères condoléances à ta famille Gobi, à toutes les famille et celle du SUA

Sincères condoléances aux familles endeuillées.

Condoléances sincères à toutes les familles, une pensée pour eux...
Tjs éprouvantes ces épreuves....

oui, la mort, on vit avec.

Sincères condoléances, Gobi.

la bise a tous merci et la vie continue !
demain Agen va gagner !

Inch´allah !!!!

Sincères condoléances aux familles endeuillées

J'ai bien connu aussi ses parents ainsi que son frêre Bernard dit "Picasse". Mon Gillou, on ne s'était pas vu depuis des années mais je te dis à bientôt la haut, peut-être qu'on pourra retourner à une certaine "cité d'Albret", toi et moi seuls puvons comprendre.

coucougne a écrit:

C'est toujours un choc et une prise conscience quand partent ceux qu'on a aimé ou admiré
Mais la vie continue, ailleurs, immortelle
un voyage vers d'autres horizons, vers d'autres dimensions
bonne route, bernard, on salue ta mémoire
"au revoir, pas adieu"
et pour toi, gobi, toutes ma sympathie pour la perte de ton oncle et surtout
parrain

Oui même message que Couc, je connaissais bien ces deux joueurs et suis bien triste.
Très sincères condoléances aux familles et proches de Bernard et Gilbert.

Bernard était un collegue, un "pote" cette mauvaise nouvelle fait mal... je le savais malade depuis plusieurs années, un moment j ai cru qu il allait s en sortir, ce mal ne lache jamais...
Ce soir, je pense a sa famille et ses proches... Bernard n a rien lache, comme a l epoque ou avec Pujade il formait une 2eme ligne plus que solide.
On ne t oubliera pas, tu vas me/nous manquer.

Dans ces moments là, il n'y a pas grand chose a dire!...
La seule chose qui nous reste, ce sont maintenant que des souvenirs!
Sincères condoléances aux familles.

La belle époque, celle qui m'a infecté à jamais...



RIP

" les grandes équipes" ne meurent jamais !" cher tolot

tout est cyclique même l'argent ne fait pas tout
les valeurs, les choix, les hommes, ça c'est important
et oui, cette photo, je la regarde souvent dans le beau livre bleu
sur l'histoire du rugby agenais que m'avait offert Paul Chollet
c'est pour cela qu'il faut reveiller toutes les bonnes volontés
pour qu'ils soient les gardiens du Temple et de "l'esprit"
en espérant que de "là haut" (peut être plutôt "à coté" dans une autre dimension)
nos glorieux agenais joueurs et dirigeants fondus dans le
même respect, sauront nous guider et nous aider !

Toutes mes condoléances à la famille de Bernard Mazzer.

Deux souvenirs le concernant: au début des années 90, il m'avait offert à la fin d'un match contre Rumilly je crois, son short et ses chaussettes... que j'ai encore chez moi ! A l'époque, cela avait été pour moi, gamin, un souvenir extraordinaire. Quelques saisons plus tard, lors d'un match plus que houleux contre Pau à Agen, je le revois s'arracher à la dernière minute pour marquer l'essai de la gagne alors que la plupart des joueurs des deux équipes en étaient à sa tarter joyeusement, bagarre qui se prolongera jusque dans la grille qui menait aux vestiaires (à l'époque sur le côté de la tribune Basquet).

Sacré combattant, vrai joueur "de l'ombre".

Une pensée à Gobitcho également.

fiorentino a écrit:

Toutes mes condoléances à la famille de Bernard Mazzer.

Deux souvenirs le concernant: au début des années 90, il m'avait offert à la fin d'un match contre Rumilly je crois, son short et ses chaussettes... que j'ai encore chez moi ! A l'époque, cela avait été pour moi, gamin, un souvenir extraordinaire. Quelques saisons plus tard, lors d'un match plus que houleux contre Pau à Agen, je le revois s'arracher à la dernière minute pour marquer l'essai de la gagne alors que la plupart des joueurs des deux équipes en étaient à sa tarter joyeusement, bagarre qui se prolongera jusque dans la grille qui menait aux vestiaires (à l'époque sur le côté de la tribune Basquet).

Sacré combattant, vrai joueur "de l'ombre".

Une pensée à Gobitcho également.

Merci Fiorentino de me rappeler ce moment magique.

Désolé, dans l'émotion j'ai oublié de rendre hommage à Mr Gilbert Monteil. Sincères condoléances a sa famille.

OBSEQUES DE BERNARD MAZZER

15h cathedrale saint Caprais puis Colayrac

Bernard Mazzer a perdu son dernier match


Publié le 30/11/2013 à 07:17 - La Dépêche

nécrologie

On le savait malade, mais on espérait que la robustesse qui avait fait merveille sur les terrains de rugby lui permettrait de faire un dernier pied de nez à la mort. Il n’en est rien et Bernard Mazzer a quitté, jeudi 28 novembre, sa famille et ses copains. Il avait 50 ans. Formé à l’école de rugby de Colayrac, il avait bénéficié d’une dérogation de deux ans pour pouvoir jouer en cadets avec son frère Patrick, futur agenais lui aussi. A son arrivée au SUA, il remporte le titre de champion de France avec les cadets. Par la suite, équipier modèle, seconde ligne de devoir, il disputa trois finales en 1986, 1988 et 1990, dont une seule gagnée en 1988 et ramena le challenge Yves-du-Manoir en 1992, toujours seconde ligne aux côtés de Patrick Pujade, Dominique Erbani ou Abdel Benazzi.

Il fut également champion de France en 1991 avec ses copains de Nationale B, ces copains qu’il retrouvait le premier jeudi du mois à la pétanque du Pont de la Garde.

Parmi ses amis, Philippe Sella se souvient : «Je l’ai découvert alors que nous étions cadets, lui à Colayrac, moi à Clairac et j’ai tout de suite compris qu’il valait mieux l’avoir avec soi que contre. Il s’est vite révélé un équipier modèle. Discret en dehors du terrain, il créait du lien autour de lui. Sur le terrain, il jouait pour les autres, se battant pour gagner un ballon avec lequel les autres pouvaient s’amuser. Le match qu’il a livré ces dernières années était trop difficile, même pour un garçon courageux comme lui. A La Rochelle ce soir, en son honneur, on jouera avec un brassard noir.»

Daniel Dubroca quant à lui ne veut se souvenir que de son courage : «C’était un grand bonhomme. Ses copains ont essayé de l’entourer jusqu’au bout, on se retrouvait tous les mois pour l’aider à supporter l’insupportable. Ces quatre dernières années, il jouait une finale tous les jours, et puis il a perdu…»

Michel Murat, son compagnon des «Charlots» ne veut pas croire à sa mort : «Comment accepter que ce putain de crabe puisse avoir le dessus sur cette carcasse, ce robuste au cœur si généreux ? L’abnégation était sa vertu, la loyauté son rempart contre la médiocrité, soyons heureux de l’avoir côtoyé.»

Toute l’équipe du journal adresse ses sincères condoléances à son épouse Valérie et ses enfants Salomé et Samuel, à son frère Patrick et à l’ensemble des proches et amis de Bernard Mazzer.

René Laffore