La 2ème journée de Top 14

A noter que malgré la concurrence rapprochée, Aguilera et Jean Dauger seront pleins...ça va faire du monde dans ce coin (B.A.B) pour aller manger après le match...

tu n'as qu'à cuire Pottomak en barbecue

vulcain a écrit:

A noter que malgré la concurrence rapprochée, Aguilera et Jean Dauger seront pleins...ça va faire du monde dans ce coin (B.A.B) pour aller manger après le match...

Ouais...je sais bien qu'il y a très peu de bayonnais à Aguilera et idem avec les biarrots à J.Dauger mais décaler le match de 24 h. m'aurait permis de voir les 2 !
Dommage !

Biarritz - Toulon : ennemis de côte...

Les autres rencontres. Choc à Aguilera.


Biarritz - Toulon, c'est chaud

Duels d'hommes dès la deuxième journée. La brise habituelle de l'Atlantique ne sera pas de trop. Le ton est monté sur la rade après la défaite (26-22) à domicile contre Bayonne. Les Toulonnais entament l'opération reconquête. Mais c'est à Biarritz. Et, le BO n'a cette fois pas manqué son entame de saison. Une deuxième défaite face à des couleurs basques n'aurait pas de graves conséquences pour Toulon. Mais après, il y a la réception du Racing Métro...

Stade français - La Rochelle: le doublé pour Paris ?

Il y a désormais trois Stade dans le Top 14. Le Stade Rochelais a déjà fait parler de lui face à Castres mais il faut maintenant exporter les qualités entrevues à domicile. Pas pareil. En face, le Stade Français a donné une première idée de sa mue face à Bourgoin. Dans l'indifférence de Charléty (seulement 7 000 spectateurs pour la venue de Bourgoin), c'est une occasion de doubler la mise, bonus offensif à la clé.

Bourgoin - Clermont: pour qui la première ?

C'est déjà important pour les deux équipes. Pour Bourgoin, balayé à Paris, notamment en conquête, c'est un avertissement. Recevoir dans la foulée le champion de France pour son premier match à domicile n'a donc rien de rassurant. Et les Clermontois ne se voient pas débuter le championnat avec deux défaites à l'extérieur...

Montpellier - Racing: déjà des frayeurs

Il manque déjà un point à Montpellier (transformation facile mais ratée de Fernandez à la dernière seconde à Biarritz). Le Racing a déjà fait le plein à mi parcours à Brive. Il continue sa route vers le sud et descend jusqu'à Montpellier avec l'intention de doubler la mise.

Devinez dès lors qui a la pression ?


La Dépêche
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Et le SUA ?

TOP 14 MHR: La surprise Fakate contre le Racing


Eric Béchu et Fabien Galthié ont choisi d'aligner d'entrée Aliki Fakate pour la réception du Racing vendredi à 19h, pour le compte de la 2e journée du Top14. Le deuxième ligne n'était pourtant pas annoncé dans le groupe des 23. A noter également la seconde titularisation du jeune Pierre Bérard, auteur d'un essai sur le terrain de Brive (30-22) le week-end dernier.

Le XV montpelliérain: Alcade - Berard, Doumayrou, Fernandez, Nagusa - (o)Trinh-Duc, (m)Tomas - Gorgodze, Matadigo, Ouedraogo (cap) - Fakate, Hancke - Thiart, Ladhuie, Chobet. Les remplaçants: Shvelidze, Jgenti, De Marco, Giraud, Paillaugue, Thiery, Mirande, Petit.

Travers: "Revenir sur terre"


Parfait dans son rôle d'outsider la saison dernière, Castres a nettement moins bien géré le costume de favori à La Rochelle, où il est tombé dès l'ouverture du Top 14. Face au promu, les Tarnais ont pris, de l'aveu même de Laurent Travers, une leçon d'humilité. Une vertu que le CO ne devrait pas avoir trop de difficultés à retrouver samedi, à Béziers, face aux Champions d'Europe toulousains.


Laurent, quelle analyse faites-vous de ce premier faux pas à La Rochelle ?
Ma première analyse, c'est que La Rochelle a fait ce qu'il fallait pour gagner ce match, donc tout d'abord bravo à cette équipe. Après, il existe quatre facteurs, qui sont essentiels au rugby, à savoir l'aspect technique, technique et stratégique et puis l'aspect mental. Un aspect sur lequel on n'a pas du tout su répondre présent, le mental et l'agressivité. A partir de là, le fait de ne pas être en mesure de répondre dans cette dimension mentale rejaillit inévitablement sur les trois autres, qui en pâtissent. On a failli clairement dans ce secteur et ce sont des vertus qui, on le sait, sont indispensables dans le monde du rugby.

La question brûle les lèvres: l'équipe qui avait si brillamment débuté sa saison l'an passé en allant gagner à Biarritz se serait-elle selon vous incliner à La Rochelle ?
Le problème, il est là. Les joueurs ont peut-être raisonné comme les journalistes. C'est-à-dire que tout le monde nous parle de l'an dernier, mais l'an dernier, par définition, c'était l'an dernier. Aujourd'hui, nous débutons un autre championnat, une autre poule, un autre niveau ; l'équipe de l'an dernier n'est pas l'équipe de cette année et les résultats de l'an dernier ne seront peut-être pas ceux de l'an dernier. Il faut comprendre que ce n'est pas parce que le Castres Olympique a réalisé l'an dernier une bonne saison qu'automatiquement ça va se reproduire cette année.

N'est-ce pas déjà une façon d'ouvrir le parapluie en cas de mauvais résultats ?

Il faut se poser les bonnes questions: pourquoi et qu'est-ce qui a fait que la saison dernière, on a été performants ? Les joueurs doivent se poser les bonnes questions: pourquoi on a réussi ? Mais si on ne met pas les ingrédients et si on ne fait pas ce qu'il faut, alors on ne fera pas la même saison. En revanche, si on est capable de remettre ce qu'il faut et de ne pas brûler les étapes, alors peut-être fera-t-on une saison qui sera même qui sait encore meilleure. Tout le monde a tellement parlé de la réussite castraise l'an dernier que je crois que tout le monde s'est un peu endormi.

S'il fallait prévenir le CO que l'effet de surprise ne fonctionnera plus et qu'il sera attendu chaque week-end, cette défaite à La Rochelle se pose là avant le choc face à Toulouse...
Il vaut mieux que l'avertissement intervienne maintenant. En ce qui nous concerne, on ne va pas s'occuper de Toulouse, il n'y a pas besoin d'en parler, c'est ce qui se fait de mieux en Europe, donc ce qui va nous importer dès samedi, c'est surtout notre comportement et notre façon de réagir par rapport à cet aspect-là. Après, le résultat, si on va par là, il ne peut être que secondaire. Face à Toulouse, on sait très bien que vous avez plus de chances de perdre le match que de le gagner, il faut savoir regarder les choses en face (*). On ne peut pas comparer les deux clubs en termes de qualité de joueurs, d'infrastructures et de budgets, c'est un monde d'écart.

Faut-il y voir un handicap supplémentaire dans la délocalisation de ce derby au stade de la Méditerranée de Béziers à 100 Km de Castres ?

Je comprends la démarche du club. On ne peut pas se permettre de dire que l'on aimerait voir le budget plus élevé et dans le même temps, lorsque se présente l'opportunité de faire rentrer un peu plus d'argent dans les caisses, de refuser. C'est le chien qui se mord la queue. Il faut bien avoir à l'esprit que le club aussi cherche à se développer, nous le comprenons. Et il vaut peut-être mieux le faire contre Toulouse qu'un autre club. Comme je l'ai dit, que ce soit à domicile ou à Béziers, il y a plus de chances de perdre face à Toulouse que de gagner. On va tâcher de faire en sorte de se préoccuper de nous-mêmes avant de se préoccuper des autres.

A la lumière de cette semaine d'entraînement, vos joueurs vous ont-ils donner des garanties sur leur capacité de réaction ?
Oui, bien sûr, parce que ce sont avant tout des compétiteurs. Nous, en tant qu'entraîneurs, on se sent aussi impliqués et c'est normal parce que nous avons-nous aussi dans cette défaite notre part de responsabilité. Peut-être dans notre préparation avons-nous été un peu plus légers... On ne sait pas. Tout le monde doit être impliqué. Quand ça ne marche pas, il ne faudrait pas remettre la faute sur le dos des autres et quand ça marche, se tirer la couverture à soi. Ce n'est pas notre façon de faire, il y a une grosse solidarité. Ce n'est pas parce qu'on a adulé les gens hier, qu'on va les tuer aujourd'hui. Il y a une prise de conscience nécessaire à avoir et revenir sur terre en reprenant les valeurs essentielles du rugby et faire en sorte que les quatre soient performantes.

La Rochelle arrive de Pro D2. Vous aviez affronté Pau et Colomiers, en préparation, deux formations de Pro D2, où le combat au sol est valorisé. Cela impose une réflexion chez vous ?
Non, mais là aussi, quand ça gagne, on va dire que c'était super, quand ça perd, on va essayer de trouver des excuses ailleurs. Avant d'aller regarder ce qui n'a pas fonctionné, l'important c'est de ne pas se cacher et de se demander pourquoi ? (ferme) La raison, c'est qu'on n'y a pas mis l'engagement nécessaire pour pouvoir gagner un match, point.

Sébastien Tillous-Borde a joué un peu moins de trente minutes à La Rochelle, ses premières depuis des mois. C'est une recrue pour le CO cette saison ?
Non, on le disait sur le ton de la boutade. Et il ne faut pas demander à Sébastien d'arriver et de traverser le terrain. Ça fait neuf mois d'arrêt, il revient à la compétition, c'est du Top 14, du très haut niveau et il est hors de question de lui demander de retrouver du jour au lendemain la forme qui était la sienne il y a neuf mois. Ce ne sera pas possible. Que ce soit les joueurs, lui-même, nous-mêmes, les journalistes, etc..., soyons patients et laissons lui le temps de revenir. Sa demi-heure de jeu à La Rochelle aurait pu être meilleure pour lui, comme pour l'équipe, mais il était important qu'il retrouve la compétition. Et qui dit compétition, dit sensations ; plus il y aura de compétition, plus il y aura de sensations et plus il retrouvera son niveau.

Sport.fr

Le BO a de la mémoire

Vainqueur de Montpellier en ouverture de ce Top 14, le Biarritz Olympique a su évacuer le spectre de son faux départ de la saison dernière. Un plein de confiance sur lequel les Basques ont l'opportunité de capitaliser vendredi, toujours devant leur public, face à des Toulonnais sous pression que le président Serge Blanco apprécierait enfoncer un peu plus.


Pour un peu, Sylvain Marconnet deviendrait le nouveau porte-bonheur du BO. Un statut que mériterait tout autant l'autre recrue biarrote de l'intersaison, le deuxième ligne norvégien Erik Lund au profil de sapeur pionner de la Légion avec sa barbe fleurie, mais dont il serait sans doute un peu prématuré d'affubler le pilier international. Et pourtant, le public biarrot a toutes les raisons d'avoir le sourire en ce début de saison. Dans toutes les têtes le week-end dernier, à l'heure de débuter ce nouveau Top 14, le revers concédé face à Castres à Aguiléra dès la première journée du précédent exercice et que Thion et ses coéquipiers ont traîné comme un boulet tout le championnat durant pour finir par échouer aux portes des phases finales.

Finaliste malheureux de la H-Cup, au moins les Basques ont-ils su sauver leur statut d'Européen pour repartir à l'assaut du trophée, mais surtout ne pas briser le plan de reconquête cher au président Blanco et destiné à replacer le BO au sommet de la hiérarchie nationale. Un Serge Blanco qui n'a ainsi pas hésité à réclamer à ses joueurs un titre en fin de saison. Un objectif qui aurait mal supporter un nouveau faux pas dès la première sortie dans un stade Aguiléra comble en cette période estivale pour assister au final au départ gagnant face à Montpellier (30-22).

"On avait tous hâte de débuter, pouvait commenter sur le site du club après sa première demi-heure de jeu biarrote un Sylvain Marconnet tout sourire. On a bien abordé le match, on avait des intentions, il y a une victoire, je crois que l'an dernier, le groupe avait été marqué par « la mauvaise entame », ça servi de leçon. Ça démarre bien, mais il faut rester les pieds sur terre. Il y a eu, malgré quelques approximations, beaucoup de positif et en tout cas, c'est une bonne base de travail pour préparer Toulon." A la demande de son président, Biarritz accueille ses deux premiers matches de la saison (*) et Aguiléra sera donc encore plein jusqu'à la gueule pour la réception des stars toulonnaises. Des Varois, victimes à Mayol du même faux départ biarrot il y a un an face à Bayonne, qui vont tenter de se refaire dès ce déplacement sur la Côte basque. Le piège est à nouveau tendu en grand pour un BO, qui face aux Montpelliérains après avoir mené (21-3) à la pause, a concédé trois essais à l'équipe de Fabien Galthié.

"On réalise une belle première mi-temps, très encourageante", souligne Philippe Bidabé, dit Bidouille, toujours sur le site du BOPB. Auteur face au MHR de son 40e essai en championnat - il en compte 14 en H-Cup -, le trois-quarts centre mesure la marge de progression de son équipe. "Il va falloir qu'on travaille la communication en défense, on s'est mis un peu le doute alors qu'on avait dix-huit points d'avance. On les a laissés espérer avant de remettre le bleu de chauffe." Celui-là même que Thion et ses coéquipiers seront bien inspirés de renfiler vendredi face à des Toulonnais morts de faim. "Je ne sais pas s'il va y avoir du spectacle, mais en tout cas, il va falloir gagner contre une équipe de Toulon forcément revancharde après sa défaite à domicile", confirme Dimitri Yachvili, déjà auteur de 20 points au pied le week-end dernier.

Biarritz, fort de ce calendrier favorable, veut confirmer pour assoir son projet. Celui fondé sur une préparation estivale, elle-même basée sur un lourd travail foncier - un seul match amical disputé face à La Rochelle (21-7) - et l'intégration dès cette période des jeunes espoirs, priorité du président. Une démarche que le groupe s'est appropriée avec, outre l'instauration d'un repas mensuel commun, la tenue d'une soirée... d'intégration pour les nouveaux bizuths, dont la comédie musicale pas tendre pour les cadres de l'effectif a valu aux intéressés un soin capillaire gratuit, comme l'appelle Cap'tain Thion...

Ce groupe vit bien de toute évidence et le montre sur le terrain par des intentions de jeu incontestables. A confirmer bien évidemment face à la machine de guerre enrayée du RCT pour respecter le plan de marche d'un Laurent Rodriguez, qui tient les comptes et table sur trois victoires lors des quatre premiers matches, dont celui contre Toulon, avant une possible impasse à Perpignan, lors d'un match programmé en semaine. Un RCT face auquel on devine que le président Blanco goûterait particulièrement de prolonger le malaise initié par les voisins bayonnais. "Notre potentiel est intact et va nous permettre d'évoluer à un niveau supérieur. Ils vont vouloir prendre des points, il va falloir hausser le ton. Toulon fait partie des deux grands favoris de ce championnat puisque j'ai lu partout que c'étaient les nouveaux champions de France... Vous savez, des accidents arrivent..." Biarritz en sait quelque chose...

(*) Ce calendrier favorable aura son revers de médaille avec deux premiers matches retour en déplacement à Montpellier et à Toulon, les 29 décembre et 2 janvier.

Sport.fr

CSBJ: Sans Iapteff, Jooste, ni Nadolo contre l'ASM

Eric Catinot et Xavier Péméja, les deux entraîneurs de Bourgoin ont communiqué jeudi la liste des 23 joueurs, qui accueilleront Clermont vendredi (en direct sur notre site dès 18h45) pour le compte de la 2e journée du Top 14. Pour la première de la saison à Pierre-Rajon, les Berjalliens tenteront de redresser la barre après la défaite inaugurale face au Stade Français (43-12). A noter que Jooste (mollet) et Nadolo (béquille), mais aussi Iapteff et T. Genevois sont forfaits pour la réception du champion de France, tout comme les blessés longue durée que sont Tian (cheville), Milloud (genou), M. Forest (disjonction acromio-claviculaire) et Moinot (cuisse).

Le groupe berjallien
Avants: Tchougong, Pelo, Charlet, Du Preez, Kopelani, Vigneaux, Janaudy, Basson, Levast, Louchard, Frier, Guillot, Labrit, Tulou, Leonte.
Arrières: Campeggia, Viazzo, Di Bernardo, Dumoulin, Vaaulu, Coux, Van Zyl, Janin, Coetzee, A. Forest .


Sport.fr

Ribes: "Nous sommes revanchards"

Défaits à domicile la semaine passée contre le Racing-Metro, les Brivistes sont déjà sous pression, au vu du calendrier qui attend le club corrézien. Le talonneur Guillaume Ribes en est conscient avant de recevoir Perpignan ce vendredi (19h) mais il reste confiant sur le potentiel du CABCL.


http://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2010-2011/ribes-revanchards_sto2435717/story.shtml

« Revoir la finition »


Auteur de deux essais en deux matches, en amical puis lors de l'ouverture du Top 14, Julien Peyrelongue semble à l'aise en ce début de saison.


Deux essais en deux matches, La Rochelle et Montpellier, heureux de votre départ ?

(Il sourit). Oui, surtout que ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé ! Alors je profite du moment.

Avez-vous de bonnes sensations en ce début de saison ?
Oui, très bonnes. Tout le monde s'inquiétait que l'on ne dispute qu'un match amical, mais finalement je pense qu'il nous a fait du bien parce que l'on a pu voir nos lacunes face à La Rochelle, et on a ensuite un peu plus progressé lors du match de Montpellier. On a montré beaucoup d'intentions de jeu, on a eu de nombreuses occasions d'essais en première mi-temps. Tout n'a pas été parfait parce qu'en 2e mi-temps on a quand même mis les choses un peu à l'envers et on s'est remis le doute, mais sur l'ensemble des 2 premiers matches, c'est plutôt positif.

On dirait que vos concurrents au poste vont devoir se lever tôt pour prendre votre place…
C'est toujours pareil, la concurrence, elle existe à tous les postes. Aujourd'hui, je sais très bien qu'autant Damien (Traille, NDLR) que moi, on ne pourra pas faire la saison complète, il y a 30 matches. Par exemple, au Stade Toulousain, ils ont du monde, avec Skrela, Michalak… Et il n'y a pas de problèmes. Je vois ça comme une chose positive, qui permet d'avancer. Autant Damien que moi, on ne laissera pas nos places facilement ! Il faut travailler et se remettre en question le week-end, et montrer de belles choses à l'entraînement. Ca reste sain, Damien, c'est un ami, et nous aurons besoin l'un de l'autre.

Qu'attendez-vous du rendez-vous de Toulon ?
Toulon, ça va être dur parce qu'ils ont perdu leur premier match contre Bayonne alors qu'ils sont donnés favoris pour le titre de champion de France. Ils ont dû avoir une semaine difficile. Je le sais par expérience, parce que nous quand on perd à domicile c'est difficile… C'est la même chose pour eux. On sait dans quel état d'esprit ils vont arriver. Ca va être un gros combat. Mais si on met la même envie et la même volonté que contre Montpellier, -j'espère en finissant mieux les coups-, il y a moyen que l'on se régale sur le terrain et surtout qu'on les respecte, que l'on fasse un bon match de rugby pour mettre les choses bien dans l'ordre.

Que faut-il améliorer par rapport à la semaine dernière ?
Techniquement on a mal débuté la 2e mi-temps. On prend un essai et on retourne dans le doute. On a des problèmes de concentration à régler. Il faut aussi finir les coups en surnombre, parce qu'on en a mal négocié. Mais ce qui est positif, c'est qu'on a pu s'en créer, c'est intéressant. On doit travailler la finition et ne pas connaître de relâchement pendant 1 h 30.


Sud Ouest

Samedi soir, je serai à la Méditerranée pour assister au choc de Midi-Pyrénées Castres-Toulouse.

vulcain a écrit:

Samedi soir, je serai à la Méditerranée pour assister au choc de Midi-Pyrénées Castres-Toulouse.

je pense que tu vas te régaler.....certainement un gros match avec beaucoup d'engagement !

Seconde journée de gala pour le Top 14


LEMONDE.FR | 20.08.10 | 15h11 • Mis à jour le 20.08.10 | 15h57




AFP/GERARD JULIEN
Le retour de la star anglaise de Toulon, Jonny Wilkinson, marquera cette seconde journée du Top 14.


Si l'ouverture du championnat de France de rugby a offert de charmants coups de théâtre tel le premier succès du promu La Rochelle, la seconde journée du Top 14 s'annonce vendredi 20 août tout autant capiteuse. En drainant son lot d'affiches hebdomadaires, l'élite du ballon ovale confirme son attractivité. Entre soucis de prolonger une belle entame et volonté de conjurer l'engluement, les aspirations des écuries du Top 14 sont diverses en ce début de saison.


Battu au stade Mayol par Bayonne (22-26) lors de la première journée, le Rugby Club Toulonnais s'attend à un déplacement risqué à Biarritz. Tandis que les revanchards provençaux retrouvent leurs cadres Wilkinson et Mignoni, le BO enregistre le retour de l'international français Harinordoquy et de sa flèche Ngwenya. Un casting doré qui disputera ce vendredi l'énième remake de la finale du championnat 1992.

Délocalisée à Béziers, la rencontre Castres-Toulouse pourrait aussi s'avérer spectaculaire. Surpris par La Rochelle il y a une semaine, les Castrais ne partent clairement pas favoris contre les champions d'Europe. Du côté des Rouge et Noir, l'armada du XV de France sera de sortie avec les retours du capitaine Thierry Dusautoir et de Vincent Clerc.

CONFIRMER, SE RELANCER ?

Sur le chemin de la rédemption, le Stade Français de Max Guazzini reçoit dans son antre provisoire de Charléty les étonnants maritimes de La Rochelle. Actuels leaders du Top 14, les Parisiens miseront sur la percussion de son trois-quarts centre Brian Liebenberg. Longtemps blessé, l'international français a retrouvé son mordant cette saison. Si les promus affichent le même enthousiasme que lors de leur victoire inaugurale, le club de la capitale devra rester vigilant.

Refroidi d'entrée par le Racing Métro 92 (18-23), Brive tentera d'éviter une dépression nerveuse en recevant Perpignan. Dans son antre, l'équipe corrézienne n'a pas d'autre alternative qu'un net succès. Face aux champions de France 2009, Brive lutte déjà pour sa survie morale.

Roi de Pro D2 l'an dernier, Agen fera son second déplacement parmi l'élite. Un voyage qui s'annonce délicat pour le promu. Face à des Bayonnais survoltés en cette reprise, Agen s'attend à une difficile confrontation dans l'écrin de Jean-Dauger.

A Montpellier, les Franciliens du Racing Métro 92 espèrent confirmer leur bonne rentrée. Surtout, cette rencontre sonne tel un troublant face-à-face entre managers. Demis de mêlée historiques du XV de France, Pierre Berbizier (Racing) et Fabien Galthié (Montpellier) se croiseront pour la première fois sur la pelouse du Top 14. Sous l'égide du sélectionneur national Berbizier (1992-1995), Galthié brillait tel un jeune premier sous le maillot tricolore. L'an dernier, les joueurs du Racing avait patiné en début de saison. Or, les temps ont changé. Pour les Ciel et Blanc, ce déplacement héraultais sera déterminant.

Enfin, Bourguoin tentera de passer outre son infirmerie grouillante en recevant le tenant du titre Clermont. Avec le retour de leurs internationaux, les détenteurs du bouclier de Brennus souhaiteront eux effacer leur revers de la semaine dernière.[/b]