Article sur le SUA dans le Midol

Passetabechigue a écrit:

jpsua a écrit:

Rolanddess a écrit:

Dans Midi-Olympique de cette semaine, deux pages sur Agen, intéressantes.
Mais je râle quand même quand je lis que Bernard Goutta (en qui j'ai grande confiance) dit "il va falloir qu'à Agen on arrête de se faire piller", et que le Midol dit "promesse tenue"... Quand je vois que cette saison on a fait ou laissé partir Maravat, Jegerlhenner, Gailleton (présenté par ailleurs comme un, ou le, futur très grand joueur du rugby français),, sans parler du tout jeune Narjissi, ça me gonfle tout de même un peu. Et puis, quand je vois la qualité de notre formation mais que du coup malgré tout on est obligé tous les ans d'aller chercher des fidjiens, tongiens, ou autres, pour compenser, que de toute façon, s'ils sont bons, on ne  gardera pas longtemps, je me dis que vraiment ce championnat (Top14 ou ProD2) de rugby n'a plus d'intérêt quand on est supporter, ..., à moins d'être soutenus par un gros sponsor qui permette de conserver tous les joueurs qu'on veut sur la durée. Soit 7 ou 8 clubs au maximum.

Désolé, je vais faire le vieux con, mais dans la période faste des années 1960 à 2000, quand le SUA attirait un bon joueur (Mothe, Berbizier, Benazzi, Benetton, ...), il le conservait autant qu'il le voulait. Quand il formait un Sella, un Dubroca, un Nieucel, un Béguerie, un Tolot, un Lavigne, il ne risquait pas de se le faire chiper. Et on s’enthousiasmait d’autant plus pour son équipe qu'outre un jeu exceptionnel elle nous donnait à admirer des joueurs dont on avait suivi toute l'évolution. Et c'était pareil dans les autres clubs, du moins ceux de première division. Tragédie du professionnalisme...

Du coup, je me prends maintenant vraiment à rêver de l'arrivée d'un gentil mécène plein de sous façon Labo Fabre ou Michelin qui assure au SUA les moyens financiers de choisir et conserver son effectif. (je sais, on peut toujours rêver...)

En attendant, le système et la situation actuels me font me désintéresser de plus en plus de mon club de toujours. A quoi bon en effet? Les plans sur la comète sont devenus impossibles. Et comme la qualité du jeu n'est plus ce qu'elle était, mais comment leur en vouloir?...

Oui mais , dans la période faste , déjà il y avait des freins de la FFR ,pour les mutations ! Pour changer de club il fallait trouver un critére tel que mutation professionnelle , ou suivre son épouse ; par exemple je me souviens d'un centre international ,nommé Badin ,qui jouait à Chalon-sur-Saône , et dont l'épouse avait trouvé un poste à la Bibliothéque municipale de ( comme par hasard!)  Brive...d'où la mutation légale de Badin au CAB !

Ensuite pour faire venir des "cadors" à Agen , Ferrasse et Basquet ,leur disait : viens à Agen , tu seras en Equipe de France . Ceux qui refusaient voyaient leur carriére internationale compromise ; ce fût le cas du talentueux toulonnais Gallion; du coup Berbizier lui fût préféré .

je ne me souviens pas que Gallion avait été approché pour jouer à Agen. Il me semble que ton anecdote touche plutot le cas de Dintrans, avant que Dubroca alors pilier droit ne se reonvertisse au talon

ensuite à poste égal et meme si nos agenais ne déméritaient pas, il y a eu des préférences locale

gratton/maset
janik ou Cigagna /erbani
Diaz /Tolot
Lafond / Berot (car buteur)
Noves / Lavigne

rien ne dit que si ces joueurs avaient porté le maillot suavistes, ils auraient été préféré. Seul Fouroux et Ferrasse le savnt

il y avait aussi le début de l'hégémonie du ST avec son président Fabre, futur candidat et  successeur de Ferrasse mais dynamité par ce dernier au dernier moment pour au final élire un ... agenais, Lapasset

Donc probable que le duo ferrasse-basquet ne voulaient pas autant de toulousains en EDF
meme s ils se sont extaposés car certains en fin de carriere, il y avait dans un premier temps skrela gabernet rives rancoule noves puis charvet bonneval rouge thomas etc ... sachant que Portolan et d'autres ont fait des piges, puis cadieu miorin ...

il n est pas impossible que Ferrasse pour les éléections, voulait un international dans chaque comité
on ne reste pas quasiment 30 ans à la présidence FFR sans quelques vices

Pour ce qui est de Tolot, J'ai vu clairement dit dans Midol et par Ondarts, ainsi que dans d'autres articles, que pour la cdm 1987, ce sont les deux piliers titulaires (Garuet et Ondarts) qui ont "sélectionné" Tolot, qu'ils estimaient être le meilleur avec eux en France.

Quant à Berbizier, moi aussi je préférais Gallion, mais d'une part il faut reconnaître que Berbize a su monter le niveau très haut en 1986-1987, et ensuite, même Jérôme Gallion n'a jamais prétendu que la préférence donnée à Berbizier était due à un favoritisme de Ferrasse. Je l'ai lu dans une interview récente du toulonnais, et aussi entendu, par lui-même, dans une vidéo, où il encensait Berbizier. Remarquable Gallion, qui avait vraiment un esprit sportif!
Oui mais , dans la période faste , déjà il y avait des freins de la FFR ,pour les mutations ! Pour changer de club il fallait trouver un critére tel que mutation professionnelle , ou suivre son épouse ; par exemple je me souviens d'un centre international ,nommé Badin ,qui jouait à Chalon-sur-Saône , et dont l'épouse avait trouvé un poste à la Bibliothéque municipale de ( comme par hasard!) Brive...d'où la mutation légale de Badin au CAB !