Infos Stade Français (2008-2009)

Ollie Phillips vers le SF

Un troisième Anglais va rejoindre le Stade Français. Après James Haskell et Tom Palmer, c'est au tour d'Ollie Phillips, 27 ans, de s'engager avec le club parisien. Contrairement à son club actuel, Newcaste, le Stade Français n'a pas encore confirmé la venue de l'ailier anglais.

L'Equipe

Messieurs les journalistes, il s'appelle comment ce joueur ? Ollie Phillips ou Ollie Johnson ?

Ollie Phillips
DOB 8th Sep 1982
Height 1.80 m (5' 11")
Weight 92 kg (14 st 7 lb)
Position Wing / Full Back

Qui est Ollie Johnson ?

Saubade 2 ans au Racing !
...Guazzini est fou ?

Stade français : Pichot reste

Le demi de mêlée Agustin Pichot devrait prolonger son contrat avec le Stade français d'une année supplémentaire.

A 34 ans, l'ancien capitaine des Pumas était revenu au club en février 2009 en qualité de joker médical après avoir annoncé l'arrêt de sa carrière à la fin de la saison dernière.

Le talonneur international, Benjamin Kayser, s'est engagé pour deux saisons au Stade Français.

Le talonneur du XV de France, Benjamin Kayser (1m82, 112Kg), effectuera son retour dans son club formateur et s’engagera pour deux années. Agé de 24ans, il était à Leicester depuis deux saisons.

Dominici entre dans le capital ?

Bruno Molinas mais également Christophe Dominici sont semble-t-il devenus actionnaires ces derniers mois de la SASP du Stade Français Paris Rugby, dont la valeur serait estimée à 20 millions d'euros. L'ailer fétiche du Stade Français (1997-2008) et de l'équipe de France (67 sélections), actuel coentraîneur de l'équipe professionnelle, aurait acquis 1% des parts, selon L'Equipe de vendredi. Jusqu'à lors détenteur quasi exclusif du capital, Max Guazzini n'a pas pu confirmer l'information.

L'Equipe

SF : AURADOU RACCROCHE


David Auradou a disputé le dernier match de sa carrière professionnelle sous les couleurs parisiennes, samedi lors de la défaite du Stade Français face à Perpignan en demi-finale du Top 14.

David Auradou a disputé le dernier match de sa carrière sous les couleurs du stade Français, samedi. Le deuxième ligne, qui a remporté cinq titres de champion de France avec le Stade Français, qui disputera une rencontre avec les Barbarians, termine sur un échec. « Bravo à l’USAP. Ils nous ont montrés une leçon de réalisme, a-t-il déclaré au micro de Canal+. On a joué trente minutes dans ce match et on arrive à les inquiéter. C’est dommage parce qu’on avait des munitions pour jouer. On s’était dit qu’on n’allait pas se débarrasser de la balle et on s’en est un peu trop débarrassé quand même. On peut avoir des regrets aujourd’hui même si on a fait preuve d’abnégation tout au long du match. L’USAP a fini premier de la poule régulière et ils sont en finale. C’est tout à fait logique. C’est comme ça. »


Rugby365

CISCO83 a écrit:

val a écrit:

Dominici entre dans le capital ?

Val on dit pas Dominci entre dans le capital mais Dominici retourne à Paris

val a écrit:

Stade français : Pichot reste

Le demi de mêlée Agustin Pichot devrait prolonger son contrat avec le Stade français d'une année supplémentaire.

A 34 ans, l'ancien capitaine des Pumas était revenu au club en février 2009 en qualité de joker médical après avoir annoncé l'arrêt de sa carrière à la fin de la saison dernière.

Paris : Pichot raccroche

Comme l'annonce Midi Olympique ce lundi, l'ancien demi de mêlée des Pumas Agustin Pichot ne rejouera pas la saison prochaine. Revenu à Paris comme joker médical en février alors qu'il avait pris sa retraite, il est blessé aux adducteurs et ne prolongera pas son retour.

val a écrit:

Dominici entre dans le capital ?

Bruno Molinas mais également Christophe Dominici sont semble-t-il devenus actionnaires ces derniers mois de la SASP du Stade Français Paris Rugby, dont la valeur serait estimée à 20 millions d'euros. L'ailer fétiche du Stade Français (1997-2008) et de l'équipe de France (67 sélections), actuel coentraîneur de l'équipe professionnelle, aurait acquis 1% des parts, selon L'Equipe de vendredi. Jusqu'à lors détenteur quasi exclusif du capital, Max Guazzini n'a pas pu confirmer l'information.

L'Equipe

Sa lui évite au moins de se faire virer

Adishatz

Mais non Babitcho..... on appelle ça .... une reconversion....de sportif dans le club....et que ne ferait pas Guazzini !!!!

Fin de règne à Paris ?


Eliminé par Perpignan en demie de Top 14 samedi (21-25) et pas qualifié pour les phases finales de H Cup, le Stade français a encore "raté sa saison" selon les joueurs eux-mêmes. Le club parisien n'est plus ce qu'il était, c'est indéniable. Pourquoi ?

"Quand on joue à Paris, c'est pour gagner des titres." Cette phrase, Sylvain Marconnet et Mathieu Bastareaud, entre autres, l'ont prononcée, les dents serrées, après la défaite en demi-finale contre Perpignan. Que l'on soit vieux guerrier ou jeune espoir, on ne se contente jamais d'une demi-finale quand on porte le maillot du Stade français. "Ça fait deux ans que nous ne jouons pas de finale. C'est long, trop long pour les compétiteurs que nous sommes. Nous sommes vexés", avouait même le pilier le plus sélectionné de l'histoire du rugby français, évoquant la "saison médiocre" d'une équipe "qui a du talent mais qui l'exprime mal." Son coéquipier Rodrigo Roncero allait plus loin : "Aujourd'hui, il y a de très bonnes individualités au Stade français mais il n'y a plus d'équipe."

Paris n'était donc plus une équipe mais une formation médiocre cette année. Ça, c'est le constat. Place maintenant aux explications. Comment le club aux cinq titres en neuf ans (1998, 2000, 2003, 2004 et 2007) est-il devenu ordinaire ? Comment l'équipe la plus glamour du championnat est-elle rentrée dans le rang des besogneux et sans paillettes ? Midi Olympique voit trois explications : la fin du "système Guazzini", l'association d'entraîneurs aux profils diamétralement opposés et des finances plus aussi florissantes ces dernières années.

Ne pas se laisser distancer

Retour sur le premier point. Le charismatique président parisien avait, depuis la remontée du club dans l'élite, eu du flair quant à son recrutement et à sa gestion. Mais ses méthodes ne fonctionnent plus désormais. Les Montanella, Tchale-Watchou et Correia, à qui des ponts d'or ont été faits, n'ont pas su s'imposer et sont aujourd'hui poussés vers la sortie. Et, illustration suprême, le recrutement de Mark Gasnier n'a pas eu les effets escomptés. Bref, il y a eu une erreur de casting. Autant que pour les entraîneurs d'ailleurs. Comme l'explique Midi Olympique, McKenzie, Landreau et Dominici n'ont jamais trouvé un réel terrain d'entente. Quand il jouait encore, Dominici avait milité pour l'éviction de Landreau et McKenzie, avec sa culture et ses "façons" différentes comme il dit, a eu du mal à s'adapter. Logiquement, leur discours n'a pas pris auprès des joueurs.

Dernier point : les finances. Aujourd'hui "équilibrées" , elles posent question. La participation des joueurs à un stage de préparation à la demi-finale (à hauteur de 300 euros) a ainsi étonné beaucoup de monde. L'ouverture du capital n'a pas été accompagnée d'une augmentation et, dans l'entourage du club, on a peur de ne plus être compétitif avec les gros clubs d'ici peu. Tous ces éléments réunis font penser qu'une époque est finie au Stade français. Reste à savoir si la prochaine sera plus brillante.

Rugbyrama

val a écrit:

val a écrit:

Stade français : Pichot reste

Le demi de mêlée Agustin Pichot devrait prolonger son contrat avec le Stade français d'une année supplémentaire.

A 34 ans, l'ancien capitaine des Pumas était revenu au club en février 2009 en qualité de joker médical après avoir annoncé l'arrêt de sa carrière à la fin de la saison dernière.

Paris : Pichot raccroche

Comme l'annonce Midi Olympique ce lundi, l'ancien demi de mêlée des Pumas Agustin Pichot ne rejouera pas la saison prochaine. Revenu à Paris comme joker médical en février alors qu'il avait pris sa retraite, il est blessé aux adducteurs et ne prolongera pas son retour.

Incertitude autour de Pichot

Alors qu'une rumeur annonce qu'Agustin Pichot raccrocherait les crampons et ne porterait plus les couleurs du Stade Français la saison prochaine, le club a confirmé que rien n'était arrêté et que l'encadrement avait appris la nouvelle en lisant la presse. Agustin Pichot, actuellement blessé aux adducteurs, était revenu au Stade Français en cours de saison, en tant que joker médical.

L'Equipe

val a écrit:

Fin de règne à Paris ?


Eliminé par Perpignan en demie de Top 14 samedi (21-25) et pas qualifié pour les phases finales de H Cup, le Stade français a encore "raté sa saison" selon les joueurs eux-mêmes. Le club parisien n'est plus ce qu'il était, c'est indéniable. Pourquoi ?

"Quand on joue à Paris, c'est pour gagner des titres." Cette phrase, Sylvain Marconnet et Mathieu Bastareaud, entre autres, l'ont prononcée, les dents serrées, après la défaite en demi-finale contre Perpignan. Que l'on soit vieux guerrier ou jeune espoir, on ne se contente jamais d'une demi-finale quand on porte le maillot du Stade français. "Ça fait deux ans que nous ne jouons pas de finale. C'est long, trop long pour les compétiteurs que nous sommes. Nous sommes vexés", avouait même le pilier le plus sélectionné de l'histoire du rugby français, évoquant la "saison médiocre" d'une équipe "qui a du talent mais qui l'exprime mal." Son coéquipier Rodrigo Roncero allait plus loin : "Aujourd'hui, il y a de très bonnes individualités au Stade français mais il n'y a plus d'équipe."

Paris n'était donc plus une équipe mais une formation médiocre cette année. Ça, c'est le constat. Place maintenant aux explications. Comment le club aux cinq titres en neuf ans (1998, 2000, 2003, 2004 et 2007) est-il devenu ordinaire ? Comment l'équipe la plus glamour du championnat est-elle rentrée dans le rang des besogneux et sans paillettes ? Midi Olympique voit trois explications : la fin du "système Guazzini", l'association d'entraîneurs aux profils diamétralement opposés et des finances plus aussi florissantes ces dernières années.

Ne pas se laisser distancer

Retour sur le premier point. Le charismatique président parisien avait, depuis la remontée du club dans l'élite, eu du flair quant à son recrutement et à sa gestion. Mais ses méthodes ne fonctionnent plus désormais. Les Montanella, Tchale-Watchou et Correia, à qui des ponts d'or ont été faits, n'ont pas su s'imposer et sont aujourd'hui poussés vers la sortie. Et, illustration suprême, le recrutement de Mark Gasnier n'a pas eu les effets escomptés. Bref, il y a eu une erreur de casting. Autant que pour les entraîneurs d'ailleurs. Comme l'explique Midi Olympique, McKenzie, Landreau et Dominici n'ont jamais trouvé un réel terrain d'entente. Quand il jouait encore, Dominici avait milité pour l'éviction de Landreau et McKenzie, avec sa culture et ses "façons" différentes comme il dit, a eu du mal à s'adapter. Logiquement, leur discours n'a pas pris auprès des joueurs.

Dernier point : les finances. Aujourd'hui "équilibrées" , elles posent question. La participation des joueurs à un stage de préparation à la demi-finale (à hauteur de 300 euros) a ainsi étonné beaucoup de monde. L'ouverture du capital n'a pas été accompagnée d'une augmentation et, dans l'entourage du club, on a peur de ne plus être compétitif avec les gros clubs d'ici peu. Tous ces éléments réunis font penser qu'une époque est finie au Stade français. Reste à savoir si la prochaine sera plus brillante.

Retrouvez un dossier complet sur ce sujet dans le Midi Olympique paru lundi.

Rugbyrama

Et ils ont oublié la montée en puissance du METRO RACING 92.

Conclusion les paillettes ne durent pas, tot ou tard le ressort casse, il ne faudrait pas que dans 2 ans le SUA et le SF se croisent !!!!! L'un qui monte l'autre qui descend.

Adishatz

val a écrit:

SF : AURADOU RACCROCHE


David Auradou a disputé le dernier match de sa carrière professionnelle sous les couleurs parisiennes, samedi lors de la défaite du Stade Français face à Perpignan en demi-finale du Top 14.

David Auradou a disputé le dernier match de sa carrière sous les couleurs du stade Français, samedi. Le deuxième ligne, qui a remporté cinq titres de champion de France avec le Stade Français, qui disputera une rencontre avec les Barbarians, termine sur un échec. « Bravo à l’USAP. Ils nous ont montrés une leçon de réalisme, a-t-il déclaré au micro de Canal+. On a joué trente minutes dans ce match et on arrive à les inquiéter. C’est dommage parce qu’on avait des munitions pour jouer. On s’était dit qu’on n’allait pas se débarrasser de la balle et on s’en est un peu trop débarrassé quand même. On peut avoir des regrets aujourd’hui même si on a fait preuve d’abnégation tout au long du match. L’USAP a fini premier de la poule régulière et ils sont en finale. C’est tout à fait logique. C’est comme ça. »


Rugby365

"C'est dur"

David Auradou a fait ses adieux au Top 14 samedi lors de l’élimination du Stade Français en demi-finale. Le deuxième ligne parisien, qui a remporté cinq championnats de France, regrette que le potentiel du groupe ne se soit pas vraiment exprimé.

David Auradou, commencez-vous à digérer la défaite en demi-finale du Top 14 face à Perpignan, samedi ?
C’est encore un peu frais pour être digéré. C’est un match qui était particulier parce qu’en ce qui me concerne, il s’agissait de mon dernier. Je pense très honnêtement qu’il y avait la place sur ce match même si ça n’enlève rien au mérite des Catalans. Pour avoir vu et revu le match, on pouvait faire mieux avec les joueurs sur le terrain et le potentiel qu’on a. On a le droit de tomber contre plus fort que soi, ce qui a été le cas sur le match, mais on n’a pas donné 100% de notre potentiel, c’est une certitude. C’est un peu à l’image de la saison qu’on a faite.

Avez-vous l’impression de ne pas avoir réussi à surpasser vos lacunes affichées tout au long de la saison ?
On a été faibles dans certains secteurs, notamment en conquête, toute la saison. Un week-end, c’était la mêlée, l’autre c’était la touche. On en gommait un, ça allait nettement mieux au détriment de l’autre. On avait mis l’accent dessus depuis le match contre Biarritz en faisant des progrès sur la conquête. Mais on a pêché sur la discipline et la gestion du match. Je n’ai pas envie de taper sur les joueurs. On est tous dans la même galère et responsable à 100%. C’est frustrant.

Dans quel domaine avez-vous péché face à Perpignan ?
On a rendu le ballon systématiquement. On a tapé énormément de chandelles, on s’est débarrassé du ballon. Ça, plus les pénalités, ça a fait un match très haché. Les Catalans ont bien géré la pression sur les ballons hauts et sur une erreur défensive, on a pris le premier essai.

« Jamais rassasié par les titres »

Ressentez-vous un goût d’inachevé par rapport au potentiel inexploité du groupe ?
Ça a un goût d’inachevé parce que quand on donne 100% de ses moyens et qu’on perd contre meilleur que soit, on dit respect pour l’adversaire. Mais quand on déjoue, c’est frustrant. On est tous conscients qu’on n’a pas montré le meilleur visage de nous-mêmes même si les joueurs se sont investis à 100%. Personne n’a triché. On a le devoir et les possibilités de faire beaucoup mieux.

Personnellement, comment avez-vous vécu cette élimination pour votre dernier match de rugbyman professionnel sous les couleurs du Stade Français ?
C’est dur. Je suis sorti à la 50eme minute, c’était un coaching qui était prévu. A partir de ce moment là, j’ai vu les minutes s’égrainer, j’y ai cru dans le dernier quart d’heure et jusqu’à la dernière touche. On est à quatre points des Catalans, on se précipite un peu en faisant un mauvais choix. Ils nous la contrent. On savait que c’était fini. On n’ira pas en finale cette année. C’est dur déjà pour les mecs qui ont fait onze mois d’entraînement, de prépa. C’est compliqué d’arriver jusqu’en demi-finale et de venir mourir à 80 minutes de la finale et du Brennus. Quand tu es au début de ta carrière, la saison d’après tu dis « on sera champion ». Là je sais très bien que c’est définitivement fini.

Après Fabien Pelous éliminé avec Toulouse et vous avec le Stade Français, le rugby ne vous a pas fait de cadeau pour vos adieux…
Il ne faut pas s’attendre aux cadeaux. C’est normal, ce sont des matchs éliminatoires. Si on se place du côté clermontois, il y a beaucoup de mecs qui méritent d’être en finale et de soulever le Brennus. Il leur reste 80 minutes à faire et ce ne sera pas chose aisée. Du côté de Perpignan, c’est amplement mérité. Ils ont été premiers de poule une bonne partie du championnat en ne lâchant jamais leur place. Ils ont réalisé des performances importantes et malgré çà, ils n’ont pas une énorme côte médiatique. Si c’était une question de mérite, ils méritent largement autant que nous. En ce qui me concerne, j’ai eu la chance de le soulever cinq fois et je dois m'en contenter. Mais c’est le genre de truc dont on n’est jamais rassasié.

« On ne m’a fait aucune proposition »

Avez-vous pris du plaisir depuis votre retour à la compétition en janvier ?
J’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver le groupe, mon club avec toute la chaleur qu’il y a en interne et aussi le fait d’évoluer à Jean-Bouin pour la dernière saison. L’acte de démolition est arrivé le mois dernier. A partir de février, il n’y aura plus de Jean-Bouin. On ne choisit pas sa sortie, c’est comme ça.

Avez-vous le sentiment qu’une page se tourne au Stade Français ?
Le Stade Français est un grand club et le restera. Il y a bien sûr des soucis à gérer en interne. Deux années d’affilée où on ne s’est pas qualifié en finale du championnat de France, ni en (quarts de finale) Coupe d’Europe, on peut dire que ce sont des échecs. Sur un plan comptable et sportif, on ne peut pas se contenter de ça. Il n’y a pas d’énormes maux comme on peut lire dans certains canards qui cherchent à tout prix les petites bêtes là il où il n’y en a pas. Comme dans tous clubs, il y a des tensions quand il y a des défaites et quand le jeu n’est pas à la hauteur du truc attendu. Le Stade Français va redresser la tête et jouera encore les premiers rôles l’an prochain. Je leur souhaite d’aller décrocher le titre qu’on attend tous : c’est à dire la Coupe d’Europe.

Pourriez-vous participer à l’aventure du Stade Français en tant que membre du staff ?
On ne m’a pas fait de propositions à ce sujet là (rires) pour être tout à fait honnête.

Seriez-vous prêt à vous investir dans le club ? A prendre la place laissée vacante par Fabrice Landreau ?
Vu que je n’en n’ai pas discuté avec le président, je n’ai pas envie de m’étaler là-dessus. Vu qu’il n’y a eu aucune proposition et que la saison est terminée, je ne pense pas. On verra par la suite. Ce n’est pas un projet à court terme.

Rugby365

Auradou, Pichot ... j'ai l'impression qu'ils arrêtent tous les ans ces deux là...