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Je retiens que tous les ans les budgets sont en hausse pour certain .. le nôtre connaît une légère baisse mais reste dans le haut du panier .. le principal est de ne pas finir en négatif....

Calvet me ferait presque regretter Sonnes...

Toto47 a écrit:

Le classement des budgets de ProD2 - info Midi Olympique.

Sauvé in extremis, l'USM passe de 7 à 10M de budget...

Nega a écrit:

Calvet me ferait presque regretter Sonnes...

 ????? Laisse le poser ses valises

Nega a écrit:

Calvet me ferait presque regretter Sonnes...

Ouvre un spectacle d'humour toi

Qqun pour mettre l'intégralité de l"interview de JFF dans le PBleu à disposition ?

À quelques heures de la première rencontre de la saison, vendredi soir à Provence Rugby (21 heures), Jean-François Fonteneau a accepté de répondre longuement à nos questions.
Après une saison très délicate, marquée par la démission de Bernard Goutta et une 13e place peu reluisante, le SUA veut repartir du bon pied. En ce sens, un nouveau manager est arrivé, en la personne de Sébastien Calvet. Le président Jean-François Fonteneau se veut patient, et vise davantage à moyen terme. Durant près d’une demi-heure, il a fait le point sur cette nouvelle saison.

Jean-François, le SUA repart sur un nouveau cycle mais non sans ambition. L’objectif est d’aller chercher les phases finales ?

Alors, on va dire les choses très clairement. Je n’ai pas parlé de qualification. J’ai surtout parlé de changement d’état d’esprit, et d’une volonté de retrouver des valeurs, de l’engagement et des choses qui nous ont parfois fait défaut par le passé. Perdre ou gagner les matchs est une chose, même si on préfère les gagner, mais on veut surtout avoir le sentiment d’une équipe qui fonctionne bien collectivement, et qui s’engage totalement. Cela va être un peu dur au départ, car il y a beaucoup de changements, un système de jeu qui évolue. Tout cela est à gérer d’une manière pragmatique. Si on met tous ces ingrédients, la qualification aura peut-être du sens. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Il faut retrouver cet état d’esprit.

Le SUA va-t-il entrer dans une saison de transition ?

Peut-être. Sébastien Calvet doit prendre ses marques, et le système de jeu doit être cogité par tout le monde. Si on ne se qualifie pas, mais si on donne de l’ambition et de l’émotion avec des matchs aboutis où on sent un investissement total, ce sera une étape satisfaisante pour moi.

L’idée est clairement de recréer une dynamique positive autour du club ?

Bien sûr. La priorité est là pour moi. Puis, si on fait tout cela, on aura plus de chances de se qualifier que si on ne le fait pas.

On sent un enthousiasme autour de Sébastien Calvet. Êtes-vous d’accord avec cela ?

Il y a beaucoup d’attentes le concernant en raison de son parcours, son envie de fonctionner et d’apporter sa touche avec ce groupe et ce staff. Il est conscient qu’on a des équipements de haut niveau. Il a tout pour réussir. Après, il faut les hommes. On a de jolis potentiels. Il faut tirer la quintessence de ce groupe, et Sébastien est l’homme de la situation. Il a une approche structurée, une vision très globale. Il a aussi cette transmission pour les jeunes. Il y a beaucoup de paramètres qui sont porteurs pour les clubs.

La patience sera-t-elle le maître-mot de cette saison ?

Oui. Les choses peuvent fonctionner directement, et tant mieux si c’est le cas, mais quand tu changes ta charnière, ton axe 2-8-15, il faut que les joueurs choisis par les coachs puissent jouer ensemble, avoir des repères, et s’adaptent. C’est classique, mais changer une vingtaine de joueurs dans l’effectif n’est pas anodin. On n’est pas les seuls, mais on ne va pas se cacher derrière cela. Il faut aller vite pour avoir des résultats et aussi faire plaisir aux supporters. Ils sont frustrés depuis quelques années. Malheureusement, c’est difficile aujourd’hui. La Pro D2 est devenue un championnat compliqué.

Lors du mercato, le SUA a réduit quantitativement son effectif. Quel bilan faites-vous de cette période estivale ?

J’avais émis quelques bons de commande dans ce domaine. Il fallait impérativement réduire l’effectif. 55 ou 56 joueurs n’étaient pas tenables pour plusieurs raisons. Certains n’étaient peut-être pas au niveau, certains étaient en fin de cycle… C’est compliqué pour les entraînements. Tout cela était une situation complexe. Il fallait une organisation. On a donc essayé de retrouver des équilibres cet été. Mais avoir 45 ou 46 joueurs, ce n’est pas rien. Cela fait un effectif assez riche.

Quelle est la nature de votre relation avec Sébastien Calvet ?

Déjà, Sébastien partage beaucoup les informations. Depuis le départ, on a des relations conjonctives. Chacun est à sa place, et c’est normal. Je pense que Sébastien apprécie les échanges sur les choses mises en œuvre et les objectifs fixés avec le staff. C’est plutôt très bien. Après, c’est sa mission. Moi, je n’interviens pas. Il fait les analyses. Pour l’instant, il ne s’est pas passé grand-chose, hormis les matchs amicaux, où il y a beaucoup de turn-over et des choses encore difficiles à mettre en place. Là, on entre dans le vif du sujet. Nous y sommes, et le test à Provence sera intéressant. On a une approche très pragmatique. Il y a une cellule sportive mise en place, et on est quelques-uns à ses côtés. J’ai souhaité qu’il soit entouré car je pense que c’est important, mais il reste le patron, ce qui est normal.

Financièrement, la masse salariale a été réduite. Le budget est fixé à plus de douze millions d’euros. Comment va le club sur ce point ?

Le SUA devait impérativement réduire la voilure. C’était une obligation. Au-delà du SUA, il y a un président, actionnaire majoritaire du club, qui doit rendre des comptes. Quand les budgets ne sont pas finalisés correctement, c’est le président qui fait le joint. C’est une situation qui ne peut pas durer éternellement. Il fallait impérativement se retrouver sur une économie réelle, pour que nos sources nous permettent d’assumer nos charges. Entre la situation de surchauffe qu’on a vécue, les mauvais résultats depuis deux ans qui ont entraîné une baisse de rentrée des ressources et nous a fragilisés, mais aussi cette situation difficile avec l’Association qui m’a coûté plus de 500 000 euros, tout cela devait être impérativement être maîtrisé.

Est-ce que les partenaires sont toujours derrière le club ?

Oui. Pourtant, il y a une situation économique qui n’est pas excellente. Il y a beaucoup d’incertitude aussi auprès des chefs d’entreprise avec le contexte politique. Cela a des répercussions à notre niveau. Je le vois bien avec mes activités professionnelles. Ces situations peuvent être anxiogènes, mais on a plutôt reçu des retours favorables jusqu’à présent. Globalement, on a un socle qui est solide. Mais, ce que je disais aussi, c’est qu’il faut impérativement donner une belle image au public. Il faut faire en sorte que les gens ne soient plus dans la frustration. Les supporters agenais et lot-et-garonnais sont très exigeants, donc il faut impérativement trouver le chemin de l’engagement et du succès. C’est important de gagner des matchs.

Êtes-vous toujours ouvert si quelqu’un veut investir dans le club à vos côtés ?

Alors, il y a deux choses. Si des gens viennent pour investir en complément de ce qui est déjà fait, cela ne peut être qu’un plus pour le club. Après, la particularité est qu’on ne peut pas faire n’importe quoi. À ce titre, il faut stabiliser et donner de la visibilité. Comme je suis engagé dans cette nouvelle organisation, j’ai souhaité rester sur le mandat de Sébastien. Le club n’est pas à vendre. Après, je verrai si des choses sont proposées, et comment elles sont proposées. Je réfléchirai. Mais, pour l’instant, on va être sur une situation beaucoup plus stable. On va éviter tout ce qu’on a connu sur cette dernière saison, car cela ne nous a pas arrangés sur le fonctionnement de l’équipe. Une équipe de sport est déjà fragile donc si, en plus, on rajoute de la fragilité et de l’incertitude, cela devient quelques fois très compliqué.

Comment faire venir les supporters au stade cette saison et renouer avec une union sacrée ?

Je pense que c’est la quadrature du cercle. Les supporters ont un rôle indispensable, tout comme les partenaires, qui sont notre poumon économique le plus important. Mais ce que veulent les partenaires, c’est aussi avoir du monde au stade. Cela leur permet bien évidemment de mettre en avant leurs entreprises. Avoir un stade plein est aussi bien plus motivant à tous les niveaux, donc les supporters ont un rôle crucial et primordial. Ils ont aussi ce rôle crucial et primordial auprès de l’équipe, pour que les joueurs se sentent plus investis avec les supporters. C’est normal que ces derniers soient mécontents parfois. Il faut l’accepter, mais cela doit être une pression positive. À Agen, il faudrait devenir une forteresse imprenable. Il faut un engouement fort, comme il a existé par moments. Quand on se déplace dans certains stades, on sent le poids et la pression des supporters. Cette partie-là a un impact pour l’équipe, et l’équipe adverse. Quand on va à Nevers ou dans certains endroits, on sent une tension importante. Il faut le retrouver impérativement. Là, ce sont les supporters qui doivent s’approprier la chose et partager avec les joueurs.

Que faire pour retrouver cette énergie ?

Il faut beaucoup plus associer les joueurs aux supporters, créer des choses, apporter des événements, avoir plus d’échanges avec les supporters… On en discutera à l’occasion de notre communication de rentrée, car on va aussi impliquer les administrateurs sur tout un tas de thématiques. Celle avec les supporters est primordiale pour que notre club existe à tous les niveaux, et qu’on aille même au-delà des frontières agenaises. Il faut retrouver ce club phare de notre département, avec cette attractivité sportive et ce lieu. On n’a pas cinquante endroits en Lot-et-Garonne où on peut retrouver autant de monde et de strates sociales. Il faut en avoir conscience. Tout le monde a un rôle à jouer, que ce soit nous les dirigeants, mais aussi les supporters, les joueurs, ou les politiques… Il faut un soutien encore plus important des politiques dans ce domaine-là. Le club est un poumon. C’est notre département entre guillemets. On a l’ambition d’exister. Aujourd’hui, on sent un peu de désamour lié à ce contexte. Il faut retrouver cette dimension.

Il y a aussi la volonté de Sébastien Calvet de s’appuyer sur les anciennes générations…

Ce sera très important d’avoir ce trait d’union avec les anciens joueurs pour qu’il y ait une continuité sur l’ensemble du club. C’est important, car cette transition est indispensable pour qu’il n’y ait plus de fractures, ou moins de fractures. On ne peut pas associer tout le monde. Chacun a sa vie, et des choses ont évolué. Néanmoins, il faut maintenir ces liens générationnels qui sont indispensables.

Malcom X a écrit:

À quelques heures de la première rencontre de la saison, vendredi soir à Provence Rugby (21 heures), Jean-François Fonteneau a accepté de répondre longuement à nos questions.
Après une saison très délicate, marquée par la démission de Bernard Goutta et une 13e place peu reluisante, le SUA veut repartir du bon pied. En ce sens, un nouveau manager est arrivé, en la personne de Sébastien Calvet. Le président Jean-François Fonteneau se veut patient, et vise davantage à moyen terme. Durant près d’une demi-heure, il a fait le point sur cette nouvelle saison.

Jean-François, le SUA repart sur un nouveau cycle mais non sans ambition. L’objectif est d’aller chercher les phases finales ?

Alors, on va dire les choses très clairement. Je n’ai pas parlé de qualification. J’ai surtout parlé de changement d’état d’esprit, et d’une volonté de retrouver des valeurs, de l’engagement et des choses qui nous ont parfois fait défaut par le passé. Perdre ou gagner les matchs est une chose, même si on préfère les gagner, mais on veut surtout avoir le sentiment d’une équipe qui fonctionne bien collectivement, et qui s’engage totalement. Cela va être un peu dur au départ, car il y a beaucoup de changements, un système de jeu qui évolue. Tout cela est à gérer d’une manière pragmatique. Si on met tous ces ingrédients, la qualification aura peut-être du sens. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. Il faut retrouver cet état d’esprit.

Le SUA va-t-il entrer dans une saison de transition ?

Peut-être. Sébastien Calvet doit prendre ses marques, et le système de jeu doit être cogité par tout le monde. Si on ne se qualifie pas, mais si on donne de l’ambition et de l’émotion avec des matchs aboutis où on sent un investissement total, ce sera une étape satisfaisante pour moi.

L’idée est clairement de recréer une dynamique positive autour du club ?

Bien sûr. La priorité est là pour moi. Puis, si on fait tout cela, on aura plus de chances de se qualifier que si on ne le fait pas.

On sent un enthousiasme autour de Sébastien Calvet. Êtes-vous d’accord avec cela ?

Il y a beaucoup d’attentes le concernant en raison de son parcours, son envie de fonctionner et d’apporter sa touche avec ce groupe et ce staff. Il est conscient qu’on a des équipements de haut niveau. Il a tout pour réussir. Après, il faut les hommes. On a de jolis potentiels. Il faut tirer la quintessence de ce groupe, et Sébastien est l’homme de la situation. Il a une approche structurée, une vision très globale. Il a aussi cette transmission pour les jeunes. Il y a beaucoup de paramètres qui sont porteurs pour les clubs.

La patience sera-t-elle le maître-mot de cette saison ?

Oui. Les choses peuvent fonctionner directement, et tant mieux si c’est le cas, mais quand tu changes ta charnière, ton axe 2-8-15, il faut que les joueurs choisis par les coachs puissent jouer ensemble, avoir des repères, et s’adaptent. C’est classique, mais changer une vingtaine de joueurs dans l’effectif n’est pas anodin. On n’est pas les seuls, mais on ne va pas se cacher derrière cela. Il faut aller vite pour avoir des résultats et aussi faire plaisir aux supporters. Ils sont frustrés depuis quelques années. Malheureusement, c’est difficile aujourd’hui. La Pro D2 est devenue un championnat compliqué.

Lors du mercato, le SUA a réduit quantitativement son effectif. Quel bilan faites-vous de cette période estivale ?

J’avais émis quelques bons de commande dans ce domaine. Il fallait impérativement réduire l’effectif. 55 ou 56 joueurs n’étaient pas tenables pour plusieurs raisons. Certains n’étaient peut-être pas au niveau, certains étaient en fin de cycle… C’est compliqué pour les entraînements. Tout cela était une situation complexe. Il fallait une organisation. On a donc essayé de retrouver des équilibres cet été. Mais avoir 45 ou 46 joueurs, ce n’est pas rien. Cela fait un effectif assez riche.

Quelle est la nature de votre relation avec Sébastien Calvet ?

Déjà, Sébastien partage beaucoup les informations. Depuis le départ, on a des relations conjonctives. Chacun est à sa place, et c’est normal. Je pense que Sébastien apprécie les échanges sur les choses mises en œuvre et les objectifs fixés avec le staff. C’est plutôt très bien. Après, c’est sa mission. Moi, je n’interviens pas. Il fait les analyses. Pour l’instant, il ne s’est pas passé grand-chose, hormis les matchs amicaux, où il y a beaucoup de turn-over et des choses encore difficiles à mettre en place. Là, on entre dans le vif du sujet. Nous y sommes, et le test à Provence sera intéressant. On a une approche très pragmatique. Il y a une cellule sportive mise en place, et on est quelques-uns à ses côtés. J’ai souhaité qu’il soit entouré car je pense que c’est important, mais il reste le patron, ce qui est normal.

Financièrement, la masse salariale a été réduite. Le budget est fixé à plus de douze millions d’euros. Comment va le club sur ce point ?

Le SUA devait impérativement réduire la voilure. C’était une obligation. Au-delà du SUA, il y a un président, actionnaire majoritaire du club, qui doit rendre des comptes. Quand les budgets ne sont pas finalisés correctement, c’est le président qui fait le joint. C’est une situation qui ne peut pas durer éternellement. Il fallait impérativement se retrouver sur une économie réelle, pour que nos sources nous permettent d’assumer nos charges. Entre la situation de surchauffe qu’on a vécue, les mauvais résultats depuis deux ans qui ont entraîné une baisse de rentrée des ressources et nous a fragilisés, mais aussi cette situation difficile avec l’Association qui m’a coûté plus de 500 000 euros, tout cela devait être impérativement être maîtrisé.

Est-ce que les partenaires sont toujours derrière le club ?

Oui. Pourtant, il y a une situation économique qui n’est pas excellente. Il y a beaucoup d’incertitude aussi auprès des chefs d’entreprise avec le contexte politique. Cela a des répercussions à notre niveau. Je le vois bien avec mes activités professionnelles. Ces situations peuvent être anxiogènes, mais on a plutôt reçu des retours favorables jusqu’à présent. Globalement, on a un socle qui est solide. Mais, ce que je disais aussi, c’est qu’il faut impérativement donner une belle image au public. Il faut faire en sorte que les gens ne soient plus dans la frustration. Les supporters agenais et lot-et-garonnais sont très exigeants, donc il faut impérativement trouver le chemin de l’engagement et du succès. C’est important de gagner des matchs.

Êtes-vous toujours ouvert si quelqu’un veut investir dans le club à vos côtés ?

Alors, il y a deux choses. Si des gens viennent pour investir en complément de ce qui est déjà fait, cela ne peut être qu’un plus pour le club. Après, la particularité est qu’on ne peut pas faire n’importe quoi. À ce titre, il faut stabiliser et donner de la visibilité. Comme je suis engagé dans cette nouvelle organisation, j’ai souhaité rester sur le mandat de Sébastien. Le club n’est pas à vendre. Après, je verrai si des choses sont proposées, et comment elles sont proposées. Je réfléchirai. Mais, pour l’instant, on va être sur une situation beaucoup plus stable. On va éviter tout ce qu’on a connu sur cette dernière saison, car cela ne nous a pas arrangés sur le fonctionnement de l’équipe. Une équipe de sport est déjà fragile donc si, en plus, on rajoute de la fragilité et de l’incertitude, cela devient quelques fois très compliqué.

Comment faire venir les supporters au stade cette saison et renouer avec une union sacrée ?

Je pense que c’est la quadrature du cercle. Les supporters ont un rôle indispensable, tout comme les partenaires, qui sont notre poumon économique le plus important. Mais ce que veulent les partenaires, c’est aussi avoir du monde au stade. Cela leur permet bien évidemment de mettre en avant leurs entreprises. Avoir un stade plein est aussi bien plus motivant à tous les niveaux, donc les supporters ont un rôle crucial et primordial. Ils ont aussi ce rôle crucial et primordial auprès de l’équipe, pour que les joueurs se sentent plus investis avec les supporters. C’est normal que ces derniers soient mécontents parfois. Il faut l’accepter, mais cela doit être une pression positive. À Agen, il faudrait devenir une forteresse imprenable. Il faut un engouement fort, comme il a existé par moments. Quand on se déplace dans certains stades, on sent le poids et la pression des supporters. Cette partie-là a un impact pour l’équipe, et l’équipe adverse. Quand on va à Nevers ou dans certains endroits, on sent une tension importante. Il faut le retrouver impérativement. Là, ce sont les supporters qui doivent s’approprier la chose et partager avec les joueurs.

Que faire pour retrouver cette énergie ?

Il faut beaucoup plus associer les joueurs aux supporters, créer des choses, apporter des événements, avoir plus d’échanges avec les supporters… On en discutera à l’occasion de notre communication de rentrée, car on va aussi impliquer les administrateurs sur tout un tas de thématiques. Celle avec les supporters est primordiale pour que notre club existe à tous les niveaux, et qu’on aille même au-delà des frontières agenaises. Il faut retrouver ce club phare de notre département, avec cette attractivité sportive et ce lieu. On n’a pas cinquante endroits en Lot-et-Garonne où on peut retrouver autant de monde et de strates sociales. Il faut en avoir conscience. Tout le monde a un rôle à jouer, que ce soit nous les dirigeants, mais aussi les supporters, les joueurs, ou les politiques… Il faut un soutien encore plus important des politiques dans ce domaine-là. Le club est un poumon. C’est notre département entre guillemets. On a l’ambition d’exister. Aujourd’hui, on sent un peu de désamour lié à ce contexte. Il faut retrouver cette dimension.

Il y a aussi la volonté de Sébastien Calvet de s’appuyer sur les anciennes générations…

Ce sera très important d’avoir ce trait d’union avec les anciens joueurs pour qu’il y ait une continuité sur l’ensemble du club. C’est important, car cette transition est indispensable pour qu’il n’y ait plus de fractures, ou moins de fractures. On ne peut pas associer tout le monde. Chacun a sa vie, et des choses ont évolué. Néanmoins, il faut maintenir ces liens générationnels qui sont indispensables.

En terme de rencontres avec les supporters, l'arrivée de JFF a cassé la dynamique,plusieurs annuelles et repas conviviviaux; il y avait aussi un club des sociétaires (c'est des personnes qui ont un certain nombre d'actions au SUA) là aussi JFF a tout cassé (exit, je suis le patron , vous ne servez à rien)sauf qu'il y avait des rencontres avec les joueurs, les sociétaires invitaient de nouveaux spectateurs.....bref ça créait une dynamique!

IL se rend compte aujourd'hui que seul , on n'est rien!!!

On ressent tout de même qu'il a peut être compris de ses erreurs passées avec les grandes annonces. Je préfère ce discours à celui que j'ai pu voir il y a un an ou deux lorsqu'il annonçait la qualif d'entrée alors que le club sortait d'une saison chaotique.
Là, on reste sur les bases, créer un groupe, un vrai collectif avec une philosophie nouvelle et tant pis si il s'agit d'une saison de transition et qu'il n'y a rien au bout. Mais que l'on reprenne du plaisir à les regarder jouer ! Si ils perdent, on râlera, mais on ne leur en voudra pas si l'état d'esprit est là.

Un objectif : Armandie doit être un bastion imprenable. L'humilité de son discours que je salue plaide pour le doute, mais avec Calvet, avec qui il a trouvé une "nouvelle jeunesse", il parle comme quelqu'un qui commence à avoir du métier et je lui souhaite bien sûr la réussite que lui et le club mérite.

jipé a écrit:

Un objectif : Armandie doit être un bastion imprenable. L'humilité de son discours que je salue plaide pour le doute, mais avec Calvet, avec qui il a trouvé une "nouvelle jeunesse", il parle comme quelqu'un qui commence à avoir du métier et je lui souhaite bien sûr la réussite que lui et le club mérite.

c'est les résultats et la constance des résultats positifs qui feront revenir la confiance et l'adhésion des partenaires, du public!

Lydon n'apparait pas désiré à dax; vu nos difficultés au poste d'arrière (buttin vieillissant et darchen encore juste), le faire venir serait peut être une bonne option sachant qu'il est non JIFF et à dax (surement pas un gros salaire) devrait nous permettre de le signer pour "pas chère"

victorsua a écrit:

Lydon n'apparait pas désiré à dax; vu nos difficultés au poste d'arrière (buttin vieillissant et darchen encore juste), le faire venir serait peut être une bonne option sachant qu'il est non JIFF et à dax (surement pas un gros salaire) devrait nous permettre de le signer pour "pas chère"

A l'arrière on a Tolot/ Darchen et Buttin. Si effectivement d'un point de vue qualitatif ca casse pas trois pattes et un canard il faut avouer que certains postes ne sont pas aussi bien lotis. La priorité n'est clairement pas à ce poste. Il faut ouvrir les yeux et admettre que le SUA n'est plus un cador de la division.
D'ailleurs en parlant de régression je suis preneur si quelqu'un possède l'interview complète de notre clown de président qui commence de manière assez lunaire par je suis bon prince et j'ai pris la décision d’accompagner Calvet. Si le journaliste qui a osé retranscrire cet interview avez la moindre étique de travail il n'aurait jamais rien publier. Franchement rien que le titre on voit que fonteneau nous prend pour des cons.

brice a écrit:

victorsua a écrit:

Lydon n'apparait pas désiré à dax; vu nos difficultés au poste d'arrière (buttin vieillissant et darchen encore juste), le faire venir serait peut être une bonne option sachant qu'il est non JIFF et à dax (surement pas un gros salaire) devrait nous permettre de le signer pour "pas chère"

A l'arrière on a Tolot/ Darchen et Buttin. Si effectivement d'un point de vue qualitatif ca casse pas trois pattes et un canard il faut avouer que certains postes ne sont pas aussi bien lotis. La priorité n'est clairement pas à ce poste. Il faut ouvrir les yeux et admettre que le SUA n'est plus un cador de la division.
D'ailleurs en parlant de régression je suis preneur si quelqu'un possède l'interview complète de notre clown de président qui commence de manière assez lunaire par je suis bon prince et j'ai pris la décision d’accompagner Calvet. Si le  journaliste qui a osé retranscrire cet interview avez la moindre étique de travail il n'aurait jamais rien publier. Franchement rien que le titre on voit que fonteneau nous prend pour des cons.  

J'aimerais bien que Mazzoleni s'impose à l'arrière...

allezagen47 a écrit:

brice a écrit:

victorsua a écrit:

Lydon n'apparait pas désiré à dax; vu nos difficultés au poste d'arrière (buttin vieillissant et darchen encore juste), le faire venir serait peut être une bonne option sachant qu'il est non JIFF et à dax (surement pas un gros salaire) devrait nous permettre de le signer pour "pas chère"

A l'arrière on a Tolot/ Darchen et Buttin. Si effectivement d'un point de vue qualitatif ca casse pas trois pattes et un canard il faut avouer que certains postes ne sont pas aussi bien lotis. La priorité n'est clairement pas à ce poste. Il faut ouvrir les yeux et admettre que le SUA n'est plus un cador de la division.
D'ailleurs en parlant de régression je suis preneur si quelqu'un possède l'interview complète de notre clown de président qui commence de manière assez lunaire par je suis bon prince et j'ai pris la décision d’accompagner Calvet. Si le  journaliste qui a osé retranscrire cet interview avez la moindre étique de travail il n'aurait jamais rien publier. Franchement rien que le titre on voit que fonteneau nous prend pour des cons.  

J'aimerais bien que Mazzoleni s'impose à l'arrière...

Il n 'a jamais joué en pro à 15. Quel est on véritable poste ? ailier / arrière/ ouvreur. C'est un véritable pari qui peut certes s'avérer payant vu son envie de mouiller le maillot mais qui ne nous permet pas d'avoir la moindre certitude en début de saison.

on_the_top a écrit:

On ressent tout de même qu'il a peut être compris de ses erreurs passées avec les grandes annonces. Je préfère ce discours à celui que j'ai pu voir il y a un an ou deux lorsqu'il annonçait la qualif d'entrée alors que le club sortait d'une saison chaotique.
Là, on reste sur les bases, créer un groupe, un vrai collectif avec une philosophie nouvelle et tant pis si il s'agit d'une saison de transition et qu'il n'y a rien au bout. Mais que l'on reprenne du plaisir à les regarder jouer ! Si ils perdent, on râlera, mais on ne leur en voudra pas si l'état d'esprit est là.

Qu'a t'il compris ce des erreurs? le seul truc qu'il a compris c'est que sa gestion fait que le SUA ne vaut plus grand chose ( en tout cas pas ce qu'il en demande). Comment avoir la moindre crédibilité quand tu annonces que le club n'est pas à vendre mais que tu écoutes les offres.

brice a écrit:

victorsua a écrit:

Lydon n'apparait pas désiré à dax; vu nos difficultés au poste d'arrière (buttin vieillissant et darchen encore juste), le faire venir serait peut être une bonne option sachant qu'il est non JIFF et à dax (surement pas un gros salaire) devrait nous permettre de le signer pour "pas chère"

A l'arrière on a Tolot/ Darchen et Buttin. Si effectivement d'un point de vue qualitatif ca casse pas trois pattes et un canard il faut avouer que certains postes ne sont pas aussi bien lotis. La priorité n'est clairement pas à ce poste. Il faut ouvrir les yeux et admettre que le SUA n'est plus un cador de la division.
D'ailleurs en parlant de régression je suis preneur si quelqu'un possède l'interview complète de notre clown de président qui commence de manière assez lunaire par je suis bon prince et j'ai pris la décision d’accompagner Calvet. Si le  journaliste qui a osé retranscrire cet interview avez la moindre étique de travail il n'aurait jamais rien publier. Franchement rien que le titre on voit que fonteneau nous prend pour des cons.  

Moi, ce que je trouve lunaire, c'est qu'il pense - et à juste raison- qu'il manque 1 ou 2 joueurs capables d'amener du danger, mais statu quo, on ne bouge pas. Incompréhensible !

On va voir d'ici quelques matchs,si la mayo prend ou non.
Un gros morceau en entrée,je leur souhaite bon appétit.

Attendez un peu les amis !!!.. Il a eu à répondre à un IW , c'est fait . Avec une autre façon de s'exprimer , pleine d'espérance et un tantinet d'inquiétude . On ne peut pas le lui reprocher .
Ce soir , nous verrons le début de l'histoire et attendons que la crème prenne . Après , nous causerons .

En attendant , je ne sais pas pourquoi , je subodore en S. Calvet , le régénérateur du club avec sa patte personnelle et son professionnalisme de haut niveaux .

ALLEZ

M.ERDE POUR CE SOIR !!!!!....

Je viens de voir le maillot de l'EDF de rugby
J'aimerais bien qu'Adidas redevienne aussi l'equipementier du Sua.

jipé a écrit:

Un objectif : Armandie doit être un bastion imprenable. L'humilité de son discours que je salue plaide pour le doute, mais avec Calvet, avec qui il a trouvé une "nouvelle jeunesse", il parle comme quelqu'un qui commence à avoir du métier et je lui souhaite bien sûr la réussite que lui et le club mérite.

Non mais rester invaincu à domicile , c'est l'objectif de tous les clubs en début de saison .
En tous les cas c'est déjà raté pour Nice,Nevers,Aurillac et Mont de Marsan !

Vîncent FARRÉ de retour à aire sur Adour . Effet immédiat ou en fin de saison ?
Si c est effet immédiat après deux match y a un problème non ? Les commotions ?

biperak a écrit:

Vîncent FARRÉ de retour à aire sur Adour . Effet immédiat ou en fin de saison ?
Si c est effet immédiat après deux match y a un problème non ? Les commotions ?

A la fin de la saison selon l'article de la Dépêche
Si c'est avant alors on a un gros souci

Fin de saison. Mais il est blessé pour M2M à l’épaule, donc incertain. Vu l’état de son corps, et l’état de cet effectif, ne serait-on bien inspiré de contacter Labarthe pour renforcer ce groupe ? D’abord en joker et si tout va bien la saison prochaine en prêt ….
Qu’en est il de Devergie, De Giovani ?