Equipe de france 2008

Qu'elle sera l'equipe d'apres -vous reagissez?

voici le programme :

http://www.rugbyhebdo.fr/base/RES_6NAT.html

et le Xv d'apres rugbyrama:

http://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2008/sport_sto1452478.shtml

Du Broncan dans le texte pour le trio Lièvremont-N'Tamack-Retière qui marque résolument son territoire avec les sélections de Parra,Malzieu, Faure, Mela, Trinh-Duc,Ouedraogo et autre Brugnaut !
...Alléchant (comme notre SUA 2010 !)en souhaitant que cela marche rapidement !

Que ça marche rapidement ou pas, pourvu que ça marche...
Ils ont bien 2-3 ans avant qu'on puisse exiger des résultats...

En tous cas, le fait de renouveler le groupe, de donner leur chance au jeunes et d'ouvrir l'edf à tous les clubs et non pas seulement aux plus riches; tout cela me plait, et tout cela me semble être profitable au rugby français contrairement à l'ancienne méthode où on mettait la pression aux joueurs pour qu'ils rejoignent Paris ou Toulouse s'ils voulaient évoluer en edf

Le groupe France



Voici le groupe du XV de France qui préparera le premier match du Tournoi des 6 Nations sous l'ère Lièvremont. Nallet sera bien capitaine.

Avants : Julien Brugnaut (Dax), Lionel Faure (Sale), Jean-Baptiste Poux (Stade toulousain), William Servat (Stade toulousain), Dimitri Szarzewski (Stade français), Loïc Jacquet (Clermont), Lionel Nallet (Castres, cap), Arnaud Méla (Albi), Julien Bonnaire (Clermont), Thierry Dusautoir (Stade toulousain), Fulgence Ouedraogo (Montpellier), Elvis Vermeulen (Clermont)
Arrières : Jean-Baptiste Elissalde (Toulouse), Morgan Parra (Bourgoin), David Skrela (Stade français), François Trinh-Duc (Montpellier), Florian Fritz (Stade toulousain), Damien Traille (Biarritz), Vincent Clerc (Stade toulousain), Cedric Heymans (Stade toulousain), Julien Malzieu (Clermont), Aurélien Rougerie (Clermont)

tugudu a écrit:

Que ça marche rapidement ou pas, pourvu que ça marche...
Ils ont bien 2-3 ans avant qu'on puisse exiger des résultats...

En tous cas, le fait de renouveler le groupe, de donner leur chance au jeunes et d'ouvrir l'edf à tous les clubs et non pas seulement aux plus riches; tout cela me plait, et tout cela me semble être profitable au rugby français contrairement à l'ancienne méthode où on mettait la pression aux joueurs pour qu'ils rejoignent Paris ou Toulouse s'ils voulaient évoluer en edf

+1
voilà qui pourrait inciter nos Cabarry et autre Mignardi à se défoncer et... à rester !

Les recalés de la liste

Plusieurs figures marquantes des saisons passées sont absentes du groupe annoncé par Marc Lièvremont et ses adjoints mardi. Parmi eux, Chabal, Mignoni, Poitrenaud, Thion et quelques autres...

Les grands absents
Le premier oublié de cette liste est Sébastien Chabal. La mascotte des Bleus depuis la dernière Coupe du Monde demeure le grand absent de ce premier match face à l’Ecosse. Le joueur de Sale, évoluant en deuxième ligne lors du Mondial, n’a pas convaincu le nouveau staff tricolore, Marc Liévremont lui préférant Elvis Vermeulen et Julien Bonnaire.

L’autre grande surprise vient de la non-sélection de Pierre Mignoni. Le demi de mêlée clermontois, titulaire lors du dernier Tournoi et présent à la Coupe du monde, doit de nouveau quitter l’équipe de France. Marc Lièvremont et ses adjoints ont préféré lancer le jeune Berjallien Morgan Parra, âgé seulement de 19 ans. Autre recalé : Jérôme Thion. Le Biarrot fait, quant à lui, les frais de son mauvais début de saison. Titulaire indiscutable sous l’ère Bernard Laporte, Thion laisse sa place à Loïc Jacquet (2 sélections), bien revenu sur le plan physique et très en forme cette saison.

D’autres « Mondialistes » sont absents. Le troisième ligne biarrot Imanol Harinordoquy (46 sélections), le Parisien Rémy Martin (21 sélections) et surtout Clément Poitrenaud (34 sélections) resteront à la maison. Comme lors du match d’ouverture face à l’Argentine ou depuis le début de saison en club, c’est Cédric Heymans qui devrait débuter le Tournoi au sein d’une équipe de France où ne figure aucun arrière de métier. Yannick Nyanga, David Marty et Nicolas Mas grossissent également la liste des recalés.

Les blessés
Marc Liévremont doit se passer de Yannick Jauzion, victime d’une fracture à la main gauche contre Leicester le 16 décembre dernier en H Cup. Ne jouant plus avec le Stade Toulousain, il pourrait toutefois retrouver les Bleus face à l’Angleterre le 23 février. Pieter de Villiers, 70 sélections, doit également déclarer forfait. Le Parisien est touché aux cervicales et ne devrait retrouver les terrains que dans trois semaines. Deux autres piliers sont toujours convalescents et ne participeront même pas au Tournoi : le Parisien Sylvain Marconnet et le Berjallien Olivier Milloud.

Les retraités
Orphelin de ses nouveaux retraités, la liste annoncée par le staff tricolore se tourne donc vers la jeunesse. Un événement qui marque sans aucun doute une certaine rupture pour les Tricolores. Et le départ des quatre cadres ne passera pas inaperçue. Après Fabien Pelous (118 sélections), Raphaël Ibanez (98) et Christophe Dominici (67), le dernier départ en date a été celui de Serge Betsen (63) qui a mis un terme à sa carrière internationale la semaine passée. Une belle occasion pour le staff français de tester des nouveaux joueurs en vue du prochain Mondial, en 2011 en Nouvelle-Zélande. D’autres glorieux anciens comme Pieter de Villiers pourraient suivre.

Rugby 365

Les réactions

Morgan Parra (demi de mêlée de Bourgoin, photo l'Equipe): «J'étais surpris et très heureux de cette annonce car à 19 ans tu ne te dis pas que tu vas porter le maillot de l'équipe de France. J'ai encore plein de choses à travailler et à apprendre et je me dis que j'ai une chance exceptionnelle d'aller vivre un match à Murrayfield avec des mecs qui ont fait la coupe du Monde. Je vais prendre de l'expérience aux côtés de joueurs comme Elissalde mais d'abord je pense au match face au Stade Français que nous avons à disputer ce week-end avec le CSBJ car c'est le plus important.»

Arnaud Méla (deuxième ligne d'Albi) : «Je suis très content, très heureux mais tout de même surpris car j'avais bien entendu que mon nom était prononcé mais je ne pensais pas être vraiment retenu. Cela fait drôle. Je vais essayer de me donner au maximun pour mériter l'honneur qui m'est fait. Si ça me fait un peu peur ? Non et oui car on a toujours la crainte de ne pas être à la hauteur mais je ferai tout pour mériter ma place».

Julien Malzieu (ailier de Clermont): «Pour l'instant, je suis sur le cul. J'ai beaucoup de sollicitations qui arrivent de ma famille, mes amis. Vous savez, c'est bizarre, j'ai du mal à prendre conscience de la chose, je ne réalise pas encore. Mais je suis super content évidemment car, il y a quelques temps, je n'y croyais pas, et puis à force de voir mon nom circuler, je me suis dis: pourquoi pas, au fond. C'est un rêve de gosse, une forme d'aboutissement personnel. Je vais essayer de faire de mon mieux, pour faire honneur à mes racines, au département de la Haute-Loire, et à mon club. De toute façon, je ne serai pas dépaysé car nous sommes cinq Clermontois, ce sera plus facile pour m'intégrer. Et puis mes coéquipiers, qui ont beaucoup d'expérience, vont me donner des conseils. J'ai énormément travaillé, et je crois que je le méritais.»

Loïc Jacquet (deuxième ligne de Clermont): «Je suis très content et très fier. Mais je n'y penserai que la semaine prochaine, car je vais maintenant me concentrer sur le match à Castres samedi. Même si je ne voulais pas trop me prendre la tête avec ça, tout le monde m'en parlait et je ne pouvais faire autrement que d'y penser. Je crois aussi que si je n'avais pas été retenu, cela n'aurait pas été un coup d'arrêt. Ceci étant, c'est du bonheur, et très encourageant pour la suite. De toute façon, je dois continuer à bosser et ça décuple ma motivation. J'ai encore tout à prouver. Mais c'est notre président qui doit être content et fier également de compter autant de sélectionnés. A nous maintenant de bien représenter le club.» (Avec AFP)

L'époque du copinage a l'air révolu c'est bien pour les joueurs de petit club qui vont se donner à fond pour pouvoir intégrer le XV de France

Trinh-Duc et Ouedraogo comme dans un rêve

Ils ont débuté ensemble à l'âge de 6 ans. A l'âge où l'on se donne le nom de ses idoles à chaque entraînement pour se donner confiance. Du côté du club de rugby du Pic-Saint-Loup, ces deux-là ont grandi avant de partir à Montpellier, grimper quelques marches supplémentaires jusqu'à l'équipe de France. Alors demain, aux entraînements des écoles de rugby du coin, ce sera au tour des gamins de se donner les noms de Trinh-Duc et Ouedraogo. Mais pour l'instant les deux jeunes Montpelliérains savourent juste le plaisir d'être convoqués ensemble chez les Bleus.

Il n'a pas fallu trois phrases à " Fufu " pour citer le nom de son compère, François Trinh-Duc (21 ans, 1,84 m, 85 kg). A peine a-t-il fait part de sa propre joie, que Fulgence Ouedraogo (21 ans, 1,90 m, 94 kg) se dit surtout "satisfait d'être pris avec François ". Déjà appelé avec les Bleus pour la dernière tournée en Nouvelle-Zélande au printemps dernier, Ouedraogo sait ce que doit ressentir son partenaire et ami. Même s'il se rend bien compte que cette nouvelle sélection n'a pas la même valeur que la précédente. "Cette fois, tout le monde était en concurrence, apprécie le troisième-ligne aile. On peut dire que cette sélection est plus importante. " Mais le ton reste zen, le débit posé.

Pour son demi d'ouverture, en revanche, l'excitation pointe à chaque phrase. Planté devant l'Equipe TV qui retransmettait l'annonce en direct, François Trinh-Duc a souffert pendant d'interminables minutes lorsque Marc Lièvremont s'est embarqué dans un premier petit discours avant même d'avoir donné les noms des 22 heureux élus. "C'était la demi heure la plus longue de ma vie", rigolait-il après coup. C'est pour Trinh-Duc la première conclusion de quelques mois de folie entamée par un doublé face à Perpignan pour la première journée de Top 14, à une époque où l'équipe de France se cherchait déjà de nouveaux espoirs. " Je voulais bien faire pour ce match, se souvient Trinh-Duc. J'ai réussi à marquer deux essais contre Perpignan puis un autre contre Clermont. Grâce à ça, on a parlé de moi... "

Mais une interrogation tourne autour de l'ouvreur héraultais : va-t-il buter ? Le principal intéressé n'est pas très chaud. En club, la tache est confiée à Mark McHugh et David Bortolussi, les deux arrières. "Je m'entraîne dans cet exercice, confie-t-il. Mais ils sont meilleurs que moi pour l'instant. " Alors buter en équipe de France... "Il vaut peut-être mieux que je m'habitue à la vitesse, à l'intensité du jeu au niveau international avant de penser à taper des coups de pied. " " Fufu " pourra lui donner quelques conseils après avoir vu la différence entre Top 14 et test-match en Nouvelle-Zélande. " Tout va plus vite, tout est plus précis, détaille Ouedraogo. Il faut plus de concentration aussi. "

Fait rassurant pour deux jeunes joueurs, les sélectionneurs ont fait part du droit à l'erreur dont disposaient leurs joueurs. "Il vaudra mieux trop tenter que pas assez", a même glissé Marc Lièvremont pendant la conférence de presse mardi. "Je connaissais déjà la politique d'Emile Ntamack en moins de 21 ans, décrypte Trinh-Duc. C'est bien, ça permet de beaucoup oser, de ne pas se restreindre, c'est comme ça que j'aime jouer ! " Et tant pis si les deux potes sont promis au rôle de remplaçant : " Je prendrai toutes les minutes qu'on voudra bien me donner, poursuit l'ouvreur. Je serai à 200 % "

Avec en prime une petite pensée pour leurs deux clubs, le Pic-Saint-Loup et Montpellier, qui avec ses deux nouveaux internationaux, fait plus que jamais figure de club qui monte... "Le club vit bien, le groupe vit bien, apprécie Ouedraogo. On sait que si nous en sommes-là avec François, on le doit aussi beaucoup à nos équipiers et au travail de ceux qui nous entourent. "


Rugbyhebdo

Dur pour Mignoni, Poitrenaud et autre Nyanga sur leur niveau actuel !
Dommage de ne pas relancer Mas !

Je suis surtout surpris pour Mignoni qui fait un super début de saison avec Clermont, plein d'envie, de déterminaton...
Sans doute la polyvalence de Parra, demi de mêlée et demi d'ouverture, mais attention n'en faisons pas un nouveau "Michalak"!

Et P.Papé, il fait qd même un bon début de saison avec le SF?

Dommage pour poitrenaud/nyanga/

Et Michalak est - il sélectionnable?
Je n'ai pas suivi si son départ en AF SUD le privait de Tournoi.

Pierre

Buspard a écrit:

Et P.Papé, il fait qd même un bon début de saison avec le SF?

+1

surpris de ne pas trouver Chabal qui fait une coupe du monde honorable ni de ne pas trouver Mignoni qui a lui qussi fait une belle coupe du monde et un excellent début de saison.
Sinon pour le reste ça va faire du bien de voir de nouvelles têtes, cela donne vraiment l'impression que l'horizon des sélectionnables s'est considérablement élargi.

dommage aussi pour Honniss ... on aurait pu voir un beau match mais il fait parti des arbitres qui ont tendances à tout pourir par leur incompétence.

languill a écrit:

dommage aussi pour Honniss ... on aurait pu voir un beau match mais il fait parti des arbitres qui ont tendances à tout pourir par leur incompétence.

Encore un ? Je ne me souviens pas de cet arbitre

val a écrit:

languill a écrit:

dommage aussi pour Honniss ... on aurait pu voir un beau match mais il fait parti des arbitres qui ont tendances à tout pourir par leur incompétence.

Encore un ? Je ne me souviens pas de cet arbitre

Il a du se cacher pour ne pas que puisse te souvenir de lui...

Eviter la précipitation

Plus que quatre entraînements avant d'affronter l'Ecosse mais le staff des Bleus veut éviter la panique. Place aux choses simples et aux discours clairs.

Avec très peu de temps pour préparer le match en Ecosse, on pouvait s'attendre à un début en fanfare. Un prise de contact hystérique avec des heures passées devant la vidéo avant de partir au pas de course sur le terrain pour répéter sans relâche les combinaisons étudiées précédemment. Mais l'équipe de France a changé. L'ère Laporte est bel et bien terminée et les veilles habitudes sont définitivement enterrées.

Pour sa première séance d'entraînement, Marc Lièvremont n'a ni haussé le ton ni donné dans le "bien, bien" à outrance. Il est resté impassible le long de la ligne de touche, échangeant quelques mots avec David Ellis, puis avec Jean-Claude Skrela. Le sélectionneur a laissé le soin à ses adjoints de diriger le premier entraînement. Emile Ntamack et Didier Retière étaient donc au centre du terrain pour mettre en place les différents ateliers.

Dans une ambiance studieuse, les vingt-deux joueurs se sont vite répartis en deux équipes de onze pour finir la séance par une opposition très raisonnée. Le but étant de travailler le jeu de mouvement ainsi que les soutiens au porteur de balle. Des choses simples car les Français ne peuvent pas s'attarder sur des schémas compliqués. Apprendre à se connaître et à se comprendre sur le terrain restent les priorités d'un staff qui ne veut pas noyer les joueurs dans un surplus d'informations.

Les doivent encore trouvé une certaine cohésion en mêlée et des repères en touche. Il ne reste plus que quatre séances aux tricolores pour mettre en place leur conquête. Ce matin, dans le froid sec de Marcoussis, ils sont arrivés à l'entraînement légèrement en retard sur l'heure prévue et sans le pilier toulousain Jean-Baptiste Poux, laissé au repos.

Rugbyrama

Il est l'heure des doublons

Avec les grands débuts du Tournoi des 6 Nations ce week-end, le rugby d'Europe (et mondial) se trouve toujours confronté à son épineux problème de calendrier. Manquant de dates et de week-ends libres, l'Hémisphère Nord est obligé de faire disputer plusieurs compétitions en même temps.


Après une Coupe du monde mi-figue, mi-raisin, d'aucuns auraient rêvé d'une entrée fracassante d'un Tournoi des 6 Nations de la (re)conquête pour l'équipe de France. Les fans du rugby des sélections et du maillot bleu pourront goûter leur bonheur de retrouver les Tricolores, lors de leur premier déplacement à Murrayfield pour y affronter l'Ecosse.

Clermont touché au coeur
Pourtant, tous les feux ne seront pas exclusivement tournés vers le plus vieux tournoi de rugby mondial. Durant son déroulement, le rugby d'Europe ne s'arrêtera pas pour autant. Son coeur (professionnel) continuera de battre. En France, les championnats de Top 14 et de Pro D2 vivront leurs 8e et 14e journées, privés de leurs internationaux, français et étrangers. Depuis quelques saisons, les plus grands clubs sont dorénavant habitués à cette peu glorieuse tradition qui les force à prendre en compte ces absences au moment du recrutement. Il n'empêche qu'ajoutées aux blessés du moment, ces absences peuvent peser lourd sur l'issue des rencontres, voire des compétitions.

A titre d'exemple, en Top 14 ce week-end, l'alléchant Clermont-Biarritz, choc entre les 2e et 3e, comblera les fans de la compétition nationale. Toutefois, et même si les stars sont nombreuses dans ces deux clubs, Loïc Jacquet, Elvis Vermeulen, Julien Bonnaire, Aurélien Rougerie et Julien Malzieu (côté Clermont) ainsi que Damien Traille (Biarritz) n'y participeront pas, « astreints » qu'ils sont par l'équipe de France.

Moins de coups de gueules ?
Durant le Tournoi, quatre autres doublons vont avoir lieu. En fait, aucun match de l'équipe de France ne sera disputé sans que le rugby des clubs pros ne fasse relâche ! En Angleterre, malgré un accord entre fédération et ligue, trois doublons interviendront tout de même les week-ends des 22, 23 et 24 février (celui de France-Angleterre...), des 7, 8 et 9 mars ainsi que celui des 14, 15 et 16 mars.

Par rapport aux saisons précédentes, les critiques et coups de gueules sont, pour le moment, moindres que par le passé. Les entraîneurs et encadrement du rugby français se seraient-ils habitués ? Le travail réalisé en amont par l'encadrement de l'équipe de France et ses trois sélectionneurs (Lièvremont-Ntamack-Retière) pour se rapprocher des clubs est-il en train de payer ?

Toujours est-il que cette solution artisanale n'est pas indéfiniment envisageable pour le bien supérieur du rugby professionnel. Le problème du calendrier devra, tôt ou tôt, être réglé.

Jean-Marie Llense. Rugbyhebdo

C'est très bien que le championnat continue pendant le tournoi car ça évite que les internationaux jouent 10 matchs de plus que les autres par saison.

D'ailleurs, par le passé, les plus riches se sont toujours battus à coups de millions (de francs) pour attirer les internationaux, preuve que leur absence en championnat pendant le tournoi ne les pénalisait pas tant que ça.