Top 14 : Phases finales

Le journal des demies


Stage, blessures, indiscrétions et petites phrases choc... Chaque jour, le journal des demi-finales vous révèle tout ce qu'il faut savoir des quatre prétendants au Bouclier de Brennus. Voici le septième numéro qui détaille le programme de Clermont, Paris, Perpignan et Toulouse d'ici aux demies.

Perpignan.-

Les Catalans, qui ont participé à une conférence de presse ce soir, ont travaillé en ateliers ce matin puis ont effectué une séance collective cet après-midi. Comme c'est le cas depuis le début de la semaine, ces entraînements se sont déroulés à huis clos. Les joueurs bénéficieront de leur dernière journée de repos demain avant deux séances programmées jeudi et le départ pour Lyon, prévu vendredi matin. Une mise en place sur la pelouse du Stade Gerland se déroulera dans l'après-midi. Selon le site internet du club, le groupe devait être annoncé à la presse aujourd'hui mais il n'a finalement pas été dévoilé.

Clermont.-

Les Auvergnats étaient au repos ce mardi pour leurs dernières heures de récupération avant d'entamer la dernière ligne droite de leur préparation. Ils s'entraîneront une dernière fois à Clermont demain matin de 9 heures à 11 heures avant de s'envoler pour Bordeaux à 15 heures. Jeudi matin, l'équipe prendra ses marques au stade Chaban-Delmas avec un premier entraînement prévu à 10 heures. Selon le quotidien La Montagne, les joueurs pourraient rester sur la pelouse à la mi-temps de la demi-finale vendredi soir. En effet, les vestiaires sont très éloignés du stade et ils mettraient environ six minutes à les rejoindre. Par ailleurs, la décision concernant la participation de l'ailier international Julien Malzieu (déchirure aponévrose plantaire) n'a toujours pas été annoncée.

Toulouse.-

Les 30 joueurs retenus pour le stage à Capbreton poursuivent leur travail loin de la pression. "Pendant le stage, nous axerons le travail sur la mise en place tactique mais en dehors du terrain, nous chercherons à décompresser, nous avait confié le demi de mêlée Jean-Baptiste Elissalde avant le départ dans les Landes. La pression sera surtout présente à partir du mercredi, quand le staff annoncera le groupe". Ce groupe comprendra 25 joueurs. A leur arrivée à Bordeaux demain, ils seront séparés. Selon La Dépêche du Midi, les cinq joueurs qui n'en feront pas partie seront logés dans un autre hôtel et travailleront en marge des autres, avec un préparateur physique et un kinésithérapeute.

Stade français.-

Les Parisiens ont passé une journée "allégée" ce mardi. Ils ont en effet été laissés libres ce matin avant de se retrouver en début d'après-midi pour une séance vidéo puis un entraînement, de 15 heures à 17h30 sur la pelouse de Jean-Bouin. Le XV de départ pour la demi-finale contre Perpignan vendredi aurait été annoncée aux joueurs avant la séance de collectif. Une conférence de presse a eu lieu en fin de journée. Demain, ce sera repos pour les Stadistes, qui se retrouveront jeudi. Ils prendront le TGV pour Lyon dans l'après-midi après avoir déjeuné ensemble.

Rugbyrama

RUGBY TOP 14 DEMI-FINALES, MAXIME MERMOZ. Après avoir terminé à la première place du Top 14, l'USA Perpignan et son trois-quarts centre sont fin prêts pour affronter le Stade Français samedi à Lyon

Quand il décolle, l'Usap s'envole



En un an, beaucoup de choses ont changé. L'Usap n'est certainement plus cette équipe qui s'est épuisée à courir après une place en demi-finale toute la saison dernière, pour finalement mourir sans s'être battu (21-7 contre Clermont). Depuis la déroute du Vélodrome, l'Usap a grandi, mûri et rajouté quelques cordes à son arc. Fini le jeu bourru et stéréotypé des avants catalans. Perpignan et ses trois-quarts sont désormais capables d'offrir du spectacle et des mouvements de grande envergure. À tel point qu'elle s'est faite spécialiste des contre-attaques. Une arme qui lui a tout simplement permis de terminer en tête du Top 14 à la fin de la phase régulière.

Symbole de cette montée en puissance de l'attaque catalane, l'explosion de Maxime Mermoz au plus haut niveau. Boudé, barré au Stade Toulousain, le trois-quarts centre a trouvé à Perpignan la confiance et le temps de jeu nécessaires pour exprimer tout son talent. Et du talent, le descendant du célèbre aviateur en a à revendre. Lui qui arbore la panoplie complète du centre moderne : rapide, puissant, joueur et finisseur. À qui on vouait -logiquement- un grand destin aux côtés de Dan Carter. Lesquels ont époustouflé la France du rugby au SDF, en décrochant un match nul avec un bijou d'essai à la clé (match nul 13-13). Mais aujourd'hui, Carter n'est plus là (rupture du tendon d'Achille). Et si ce énième coup dur de la saison n'a fait que renforcer le mental des Catalans, Mermoz, lui, a pris le relais du meneur de jeu All Black dans le rôle de détonateur.

Résultat, une saison pleine avec son club, un statut de titulaire indiscutable et la consécration avec une sélection en équipe de France pour les test-matches de juin (contre la Nouvelle-Zélande deux fois et contre l'Australie).

Face à face attendu

Cette saison est sans aucun doute celle de Maxime Mermoz. Reste à conclure en beauté avant de rejoindre les Bleus. Avec cette demi-finale en ligne de mire face au Stade Français. « C'est une excitation au quotidien, trépigne le trois-quarts centre catalan. Ça fait longtemps que j'y pense et je n'avais qu'une envie : faire partie du groupe pour participer à ce match ».

Un match capital, doublé d'un duel explosif face à Matthieu Bastareaud, autre révélation française au même poste. « Ça va faire partie des rendez-vous du match, comme le jeu au pied, la réussite des buteurs, les performances des deux packs, poursuit Mermoz. Ils (les Parisiens) sont très puissants, assez joueurs, rapides sur les ailes, très complets. On s'est préparé mentalement face à ce style de joueurs percutants qui viennent jouer en jeu direct. Il va falloir aller les chercher pour ne pas trop subir. Mais je préfère rester concentré sur les consignes des coaches et sur mon propre rôle pendant le match ».

Seule crainte pour Mermoz et l'Usap : refaire apparaître les fantômes marseillais. Passer à côté de cette demi-finale. La subir plutôt que de la jouer, et repartir de Gerland la tête pleine de regrets. En ayant eu l'impression amère de ne pas avoir défendu sa chance. Ni même de la tenter. « On essaie de ne pas trop prendre de recul pour ne pas rester spectateur mais acteur et participer à la victoire ». Quand on vous disait que l'USAP avait mûri...


Sud Ouest

L'USAP veut voir loin


Premier de la phase régulière, Perpignan peine encore à convaincre dans le rôle du favori. Pas que le costume soit trop grand pour l'USAP, mais l'équipe cornaquée par Jacques Brunel a dû bricoler sa composition tout au long de la saison en jonglant avec les blessures. Pourtant, même dans ces conditions pas évidentes, les Catalans n'ont jamais rien lâché et veulent croire en leurs chances.

Mouvement perpétuel
En début d'année, Maxime Mermoz n'hésitait pas à parler de parler de «malédiction qui pèse sur les ouvreurs. Bonne chance à Miéres». L'Argentin devenait alors le huitième ouvreur du club. Un véritable casse-tête qui aura été le feuilleton de la majeure partie de la saison perpignanaise. Si Miéres n'a pas laissé un souvenir impérissable, cette valse des joueurs aura été l'occasion de voir éclore au grand jour le talent du jeune David Mélé. Surtout, cela aura été la preuve de la capacité d'adaptation de l'USAP. «La succession de blessures a fait que l'équipe s'est adaptée en permanence, en trouvant de nouvelles combinaisons à chaque fois», reconnaît Franck Azéma, entraîneur des lignes arrières. Nicolas Durand, demi de mêlée obligé de s'adapter sans cesse à un nouveau partenaire, préférait en rire. «Au moins, cela oblige à bien travailler les combinaisons». Et c'est peut-être dans cette adversité que Perpignan a construit sa force. Obligé de s'adapter, d'improviser, voire de bricoler, l'USAP a su traverser toutes les épreuves, dont la perte de Dan Carter n'était pas la moindre, pour finir en tête.

Au mental
Mis à part à la fin de la troisième journée, où les Catalans ont pointé à la 6e place, les Sang et Or ont toujours figuré dans le quatuor de tête. Mieux, alors que la bataille avait fait rage la saison passée pour se glisser dans le dernier carré, l'USAP a réussi à finir à la première place. Une performance qui peut être mise au profit d'une force mentale rare qui a vu les Catalans accomplir des fins de match renversantes. Contre Clermont, alors qu'ils étaient menés depuis plus de soixante-dix minutes, ils ont su profiter des fautes adverses pour revenir et s'imposer au finish. Idem lors du dernier match de la saison, contre Castres où les Perpignanais ont su inverser la tendance alors qu'ils étaient malmenés. Mais cet USAP là a appris à détester la défaite. Cette force mentale, associée à une densité physique impressionnante, sera nécessaire pour venir à bout d'un Stade Français que les Catalans n'ont pas réussi à battre en saison régulière et qui ne s'est jamais incliné face à l'USAP en phase finales depuis 1997.

Le stage à Matemale, où Brunel a surtout insisté sur les détails et la cohésion, ainsi que la contribution de Dan Carter aux séances vidéo pourraient permettre aux Catalans d'être en mesure de franchir l'étape des demi-finales. Et dans le club, tout le monde ne pense qu'à ça, à l'image de Guilhem Guirado. Le jeune talonneur a beau avoir été sélectionné pour la tournée du XV de France, la demi-finale reste sa priorité «quand j'ai appris la nouvelle, j'étais très content. Mais il a fallu vite que je me recentre sur la priorité du moment. Ma saison en club n'est pas terminée et je ne dois pas me tromper d'objectif» rappelle t-il. A lui et à ses coéquipiers de montrer que le costume de favori s'accommode bien des couleurs sang et or.


L'Equipe

« PARIS RÉAGIT DANS L’ADVERSITÉ »


Le Stade Français s’est retrouvé à Dieppe la semaine dernière pour préparer sa demi-finale face à Perpignan. Malgré une saison mitigée, Christophe Dominici espère que son équipe fera face aux éléments contraires pour s’inviter en finale.

Christophe Dominici, sur quel secteur de jeu avez-vous travaillé lors de votre première semaine de préparation à Dieppe ?
A part une fois en Coupe d’Europe, ce sont des détails qui nous ont fait lâcher des matchs par moment. Si on regarde tous nos matchs importants, on a été lâché sur des petits détails. On a manqué de concentration et de discipline. Est-ce qu’on n’a pas mis de vie ? Est-ce que l’équipe passe moins de temps ensemble parce qu’on n’a pas d’infrastructures ? L’initiative des joueurs a été de se resserrer, de se retrouver. Ça a été bénéfique. On a peaufiné certains secteurs et des détails pour voir comment être plus disciplinés sur ces matchs importants.

Comment avez-vous vécu les nombreuses absences au cours de la saison ?
On n’est pas trop équilibré par moment. Quand on a des blessés dans certains secteurs, on est limite. Tout au long de la saison, on eu pas mal de blessures et des joueurs sélectionnés qu’il a fallu reposer par la suite. On sait que dans les équipes qui ont beaucoup de joueurs sélectionnés, ce n’est pas facile de garder une cohésion. Les équipes qui n’ont pas beaucoup d’internationaux peuvent travailler dans la continuité et sont performantes sur cette fin de saison, comme Clermont et Perpignan. A nous de retrouver cet état d’esprit.

La charnière a été particulièrement touchée cette année…
L’an dernier, on a eu beaucoup de blessés aussi. Toutes les équipes ont eu leur lot de blessures et s’en sont plutôt bien sorties. En début de championnat, tout le monde était frais et disponible. Avant l’échec contre Toulouse, tout allait bien. Après, on a eu un peu de mal avec la tournée de novembre et le Tournoi.

D’autant que l’arrivée d’Agustin Pichot a été éphémère. Est-ce un regret pour vous ?
On avait tenté un coup de poker. La blessure fait que ça n’a pas fonctionné. Je pense à lui car il voulait terminer de la plus belle des manières. Je pense aussi au groupe parce qu’il aurait pu amener beaucoup. Il faut qu’on s’adapte. On est critiqué, jugé, ce que l’on a certainement mérité. A nous de prouver sur deux matchs qu’on est vraiment l’équipe qu’on prétend être et qu’on peut être champion de France.

« Si on gomme tout ça, pourquoi pas ? »

Le fait d’avoir gagné à Perpignan en phase régulière vous offre-t-il un avantage psychologique ?
Il y a des matchs qu’on aurait dû gagner et qu’on a perdus, d’autres qu’on aurait dû perdre et qu’on a gagnés. Ça se joue à pas grand-chose. Je ne sais pas si aujourd’hui, ça peut faire quelque chose. Perpignan est la meilleure dynamique possible, elle joue le quatrième. Le stade sera sang et or à Lyon. Dans l’adversité, les équipes du Stade Français ont toujours su réagir.

Malgré les lacunes affichées lors de la saison, le Stade Français peut-il s’imposer face à l’USAP ?
On sait que l’efficacité et les défenses font la différence sur les matchs importants. On n’a pas la meilleure défense, on est indiscipliné, on est l’équipe qui a été la plus sanctionnée et on a une réussite de 68% au pied. Normalement, c’est compliqué en match éliminatoire. Si on a réussi à gommer ces choses là en quinze jours, pourquoi pas ?

Quelles seront les clés du match ?
Il y aura beaucoup de choses : la conquête, la défense, l’occupation du terrain et l’efficacité. Quand on est dans le camp adverse, il faut marquer des points, c’est tout. J’espère que Beauxis aura récupéré de sa blessure, j’espère qu’Hernandez, que Bastareaud, que la première ligne et que les 23 qui seront là seront super concernés. C’est dans l’adversité qu’on révèle les grands hommes. J’espère que le public sera sang et or et j’espère qu’ils seront nombreux.

Malgré votre quatrième place, les pronostics sont partagés. Expliquez-vous cela par l’expérience parisienne dans les grands matchs ?
Je ne crois pas. En 1998, qui croyait que la France irait en finale ? Personne. Qui pensait qu’on allait battre les Blacks ? Personne. C’est du 50-50. C’est un match éliminatoire. Les gens qui connaissent le rugby disent qu’un match éliminatoire, c’est du 50-50. Si le groupe, le club, les entraîneurs y mettent 1% de plus que l’équipe adverse, on sait où va aller le match. C’est entre nous. Ce qu’il y a à l’extérieur, les médias, les journalistes, ce n’est pas important.


Rugby365

TOP 14 : MATHEU ARBITRERA LA FINALE


La FFR a communiqué les noms des arbitres pour les demi-finales et la finale du Top 14. Jean-Pierre Matheu dirigera les débats lors de la finale du 6 juin.

Christophe Berdos a été désigné pour arbitrer le match vendredi soir entre Toulouse et Clermont. Quant à Jérôme Garcès, il officiera lors de l’autre affiche des demi-finales, samedi, entre Perpignan et le Stade Français.

Pour la finale, qui se jouera le 6 juin au Stade de France, c’est Jean-Pierre Matheu qui a été désigné pour la première fois. Concernant la finale de Pro D2, Franck Marciello sera au sifflet, samedi, pour le match entre Albi et Oyonnax.

val a écrit:

TOP 14 : MATHEU ARBITRERA LA FINALE


La FFR a communiqué les noms des arbitres pour les demi-finales et la finale du Top 14. Jean-Pierre Matheu dirigera les débats lors de la finale du 6 juin.

Christophe Berdos a été désigné pour arbitrer le match vendredi soir entre Toulouse et Clermont. Quant à Jérôme Garcès, il officiera lors de l’autre affiche des demi-finales, samedi, entre Perpignan et le Stade Français.

Pour la finale, qui se jouera le 6 juin au Stade de France, c’est Jean-Pierre Matheu qui a été désigné pour la première fois. Concernant la finale de Pro D2, Franck Marciello sera au sifflet, samedi, pour le match entre Albi et Oyonnax.

berdos méritait la finale. Quand je vois que c'est Marciello pour Albi-Oyonnax j'ai moins de regret que le SUA n'y soit pas, il nous aurait assomé.

Matheu et Maciello... du lourd, du très très lourd comme dirait l'autre...

Pierre de Paris a écrit:

val a écrit:

TOP 14 : MATHEU ARBITRERA LA FINALE


La FFR a communiqué les noms des arbitres pour les demi-finales et la finale du Top 14. Jean-Pierre Matheu dirigera les débats lors de la finale du 6 juin.

Christophe Berdos a été désigné pour arbitrer le match vendredi soir entre Toulouse et Clermont. Quant à Jérôme Garcès, il officiera lors de l’autre affiche des demi-finales, samedi, entre Perpignan et le Stade Français.

Pour la finale, qui se jouera le 6 juin au Stade de France, c’est Jean-Pierre Matheu qui a été désigné pour la première fois. Concernant la finale de Pro D2, Franck Marciello sera au sifflet, samedi, pour le match entre Albi et Oyonnax.

berdos méritait la finale. Quand je vois que c'est Marciello pour Albi-Oyonnax j'ai moins de regret que le SUA n'y soit pas, il nous aurait assomé.

c'est dommage qu' un matheux n'ait pas arbitré agen -oyo
il aurait aimé la mélée sinusoidale et les lancers tangentiels chers à coucougne

Le journal des demies

Voici le huitième numéro qui détaille le programme de Clermont, Paris, Perpignan et Toulouse d'ici aux demies.

Perpignan.-

Les joueurs de Perpignan ont bénéficié ce mercredi de leur dernière journée de repos. Le staff avait annoncé mardi soir un groupe élargi de 28 joueurs. Ils sont deux à être sortis du groupe retenu pour le stage à Matemale. Il s'agit du pilier Sébastien Chobet et du 3e ligne Viliami Vaki, jugés trop justes après leur retour de blessure. "Il est encore trop tôt dans la semaine pour annoncer un groupe plus réduit et bien sûr la composition de l'équipe, a affirmé l'entraîneur Jacques Brunel sur le site internet du club. C'est de toute façon un crève-coeur pour nous les coaches de devoir choisir vingt trois joueurs alors que nous avons utilisé quarante six cette année." Deux dernières séances sont programmées ce jeudi, à huis clos comme depuis le début de la semaine. Le groupe partira ensuite pour Lyon vendredi matin et effectuera une mise en place à Gerland en début d'après-midi.

Clermont.-

Les derniers entraînements à Marcel-Michelin ont eu lieu ce matin, avec une opposition légère et une séance de musculation. Les Clermontois ont ensuite décollé à 15 heures en avion privé pour se rendre à Bordeaux. Le XV de départ a été annoncé aux joueurs en fin de matinée. Pendant que ces derniers s'installaient à leur hôtel, une petite délégation de dirigeants, dont le manager Jean-Marc Lhermet et le directeur général délégué Jacques Pineau, sont allées rendre visite aux footballeurs des Girondins de Bordeaux dans leur centre d'entraînement au Haillan. Il s'agissait "de visiter les installations et d'échanger sur les différents modes de fonctionnement des deux structures", selon le site internet du club.

Toulouse.-

Les 30 joueurs retenus pour le stage à Capbreton ont quitté les Landes et rejoint Bordeaux ce mercredi. Ils se sont alors scindés en deux groupes : les 25 retenus pour la demi-finale contre Perpignan ont entamé un travail ensemble tandis que les cinq autres travailleront en marge du reste du groupe, avec un préparateur physique et un kinésithérapeute. Ils seront par ailleurs logés dans un hôtel différent. Le XV de départ pourrait être dévoilé à la presse demain, la LNR ayant demandé que les compositions des équipes soient donnés la veille de la rencontre (et qu'elles ne comportent pas plus de deux erreurs sous peine d'amendes). A noter que le troisième ligne international Louis Picamoles est venu à Toulouse hier pour signer son contrat de quatre ans avec le Stade. Il a passé des tests médicaux qui n'ont révélé aucun problème.

Stade français.-

Les Parisiens ont profité ce mercredi de leur dernière journée de repos avant d'entamer la dernière ligne de leur préparation demain. Ils prendront le TGV pour Lyon dans l'après-midi après avoir déjeuné ensemble dans la capitale. Alors que le XV de départ a été annoncé aux joueurs hier, un groupe de 26 a filtré dans la presse. Pas moins de douze internationaux ont été retenus pour former le pack. Une incertitude plane toujours en revanche sur la participation du deuxième ligne écossais Simon Taylor. Derrière, le forfait du demi de mêlée argentin Agustin Pichot (adducteurs) a été annoncé. Les ouvreur Lionel Beauxis et Juan Martin Hernandez sont tous les deux aptes tandis qu'on peut noter, à l'aile, l'absence du véloce Julien Arias.

Rugbyrama

Malzieu forfait pour Clermont


Le manageur du Stade Toulousain, Guy Novès, a dévoilé jeudi un groupe de 25 joueurs et un XV de départ à plusieurs inconnues pour la demi-finale du Top 14 contre Clermont, vendredi à Bordeaux, et son homologue auvergnat Vern Cotter a annoncé une liste de 23 joueurs sans Julien Malzieu.



Frédéric Michalak figure dans le groupe toulousain élargi de 25 joueurs. Seuls 23 seront inscrits sur la feuille de match. Guy Novès a entretenu l'incertitude en dévoilant un XV de départ avec plusieurs hypothèses, annonçant Clément Poitrenaud ou Maxime Médard à l'arrière, Médard ou Maleli Kunavore à l'aile et David Skrela ou Jean-Baptiste Elissalde à l'ouverture.

Le 3e ligne Jean Bouilhou sera le capitaine toulousain, a précisé Guy Novès. Le Néo-Zélandais Byron Kelleher sera titulaire derrière la mêlée.

Vern Cotter, lui, a annoncé un groupe de 23 joueurs sans préciser son XV de départ. L'ailier Julien Malzieu, victime d'une aponévrose de la voûte plantaire du pied gauche, n'y figure pas.

Toulouse, tenant du titre, rencontre Clermont, son finaliste malheureux. Le vainqueur affrontera celui de l'autre demi-finale entre Perpignan et le Stade Français, samedi à Lyon. La finale aura lieu le 6 juin au Stade de France.

Composition des équipes:

Stade Toulousain: Poitrenaud (ou Médard) - Clerc, Fritz, Jauzion, Médard (ou Kunavore) - (o) Skrela (ou Elissalde), (m) Kelleher - Dusautoir, Sowerby, Bouilhou (cap) - Albacete, Pelous - Lecouls, Servat, Human

Clermont: Floch - Rougerie (cap), Baby, Canale, Nalaga - (o) James, (m) Mignoni - Audebert, Vermeulen, Bonnaire - Privat, Jacquet - Scelzo, M. Ledesma, Emmanuelli.

Remplaçants:

Stade Toulousain: Montès, Poux, Vernet-Basualdo, Millo-Chluski, Nyanga, Lamboley, Elissalde (ou Michalak), Heymans

Clermont: Cabello, Zirakashvili, Domingo, Pierre, Cudmore, Garcia, J. Senio, Baï

Arbitre: Christophe Berdos (Comité Ile-de-France)


Sport.fr

RUGBY TOP 14 DEMI-FINALES, TOULOUSE - CLERMONT. Ce soir à 20 h 45, le stade Chaban-Delmas accueille sa 6e demi-finale de Top 14 en 8 ans. Le match entre le champion sortant et son dauphin a commencé hier face à la presse

La nuit sera chaude



La partie d'échecs a déjà commencé. Hier après-midi, dans les entrailles du stade Chaban-Delmas, les présidents, capitaines et managers du Stade Toulousain et de l'ASM Clermont ont donné le coup d'envoi de la rencontre avec un peu plus de 24 heures d'avance. Réunis tous les six à la même table, avec Olivier Brouzet, le directeur de l'Union Bordeaux-Bègles, en M. Loyal, ils se sont livrés à un duel psychologique et affable, digne de Laurent Blanc et Éric Gerets, cette semaine, sur le front footballistique.

Ultime séance d'entraînement (les uns le matin, les autres l'après-midi) dans un huis clos bien contrôlé ; poker menteur entre les deux entraîneurs, le Toulousain Guy Novès et le Néo-Zélandais d'Auvergne Vern Cotter, au moment de livrer de vraies-fausses compositions d'équipe ; petit échange d'amabilités cynégétiques entre les coaches (lire en pages 40 et 41) : aucun doute, la revanche de la finale de 2008, remportée par les Toulousains (26-20), est lancée.

Toulouse au virage Sud

Le stade Chaban-Delmas, qui accueille ce soir sa sixième demi-finale de championnat de France de rugby en huit saisons (1), la troisième en trois ans, sera-t-il majoritairement pro-toulousain, comme l'an dernier pour la venue du Stade Français ? A priori non, puisque les deux clubs ont écoulé chacun 7000 billets à destination de leurs supporters respectifs. Les quelque 19 000 autres places ayant été commercialisées auprès d'un public moins « partisan ».

« Il y aura peut-être deux mille Toulousains de plus que de Clermontois, je dis bien peut-être, parce que des entreprises de la région disposent de places, mais dans l'ensemble, ce sera équilibré », estime l'adjoint aux sports de la mairie de Bordeaux Guy Accoceberry.

Les 33 000 places mises à la vente ont en tout cas trouvé preneur et « il n'y en a plus aucune depuis longtemps », précise le directeur de la Ligue Nationale de Rugby Arnaud Dagorne. Les Toulousains seront placés dans le virage Sud et les Clermontois dans le Nord. « Le stade ne sera pas rouge et noir, mais rouge, noir, jaune et bleu », sourit le président toulousain René Bouscatel.

Son homologue auvergnat, René Fontès, pour sa part, a manifesté son mécontentement pour le choix du vendredi soir qui, à la distance entre Clermont-Ferrand et Bordeaux, ajoute une difficulté supplémentaire pour les « Jaunards ». « Je voudrais souligner l'effort que doivent faire les supporters clermontois. Il y a dans notre ville une forte population ouvrière et beaucoup vont perdre une journée de travail pour assister à ce match, développe Fontès. Et ils ont 500 kilomètres à faire pour venir. J'aimerais qu'au moment où l'on prend ce genre de décisions, on tienne compte de cela. »

Réplique de René Bouscatel : « Il y a deux ans, nos supporters se sont déplacés à Lyon et ils étaient contents d'y être.

Et si nous avions joué dans un stade plus grand, nous aurions pu proposer plus de places aux spectateurs toulousains et cela leur aurait été agréable aussi. » Le match est bel et bien commencé. Et sur tous les terrains.

(1) 2002, Biarritz bat Montferrand (31-12) ; 2003, Paris bat Biarritz (32-9) ; 2005, Paris bat Toulouse (23-18) ; 2007, Paris bat Biarritz (18-6) ; 2008, Toulouse bat Paris (31-13).

Auteur : Nicolas Espitalier
SO

Elissalde titulaire ?

Guy Novès entretient le plus grand secret sur la composition de l'équipe qu'il compte aligner vendredi soir à Bordeaux contre Clermont. Mais il devrait choisir une charnière Kelleher-Elissalde, comme l'an passé, et laisser sur le carreau Cédric Heymans.


Selon des informations proches du club, Jean-Baptiste Elissalde pourrait donc débuter à l'ouverture, alors que David Skrela semblait tenir la corde ces derniers jours pour être titulaire aux côtés de Byron Kelleher. La dernière titularisation de la charnière Kelleher-Elissalde, sacrée l'an passé au Stade de France, remonte au Toulouse-Bourgoin du 25 avril. Souvent blessé cette saison, Elissalde n'a démarré que seize rencontres toutes compétitions confondues.

Autre information ayant filtré du camp toulousain, l'absence possible du groupe de Cédric Heymans au profit de Maleli Kunavore à l'aile gauche. Autrement dit, Toulouse partirait avec une ligne d'arrières composée de Kelleher, Elissalde, Kunavore, Fritz, Jauzion, Clerc et Médard. Poitrenaud, Skrela mais aussi Michalak devraient être sur le banc, ce qui préfigurerait le choix d'avoir cinq avants remplaçants. Devant, Jean Bouilhou devrait être préféré à Yannick Nyanga en troisième ligne. En première et deuxième ligne, Novès devrait s'appuyer sur un cinq classique, avec Human, Servat, Lecouls, Pelous et Albacete.

Le banc serait alors composé de cinq avants (Vernet Basualdo, Poux, Montès, Millo-Chluski, Lamboley) et trois arrières (Michalak, Skrela et Poitrenaud). Comme attendu, le manager toulousain devrait attendre le dernier moment pour officialiser son XV de départ. En attendant de faire ses choix définitifs, Novès a déjà réduit son groupe à 25 joueurs. Virgile Lacombe, Salvatore Perugini, Gaffie Du Toit, Manu Ahotaeiloa et Yves Donguy ont été écartés de la demi-finale. A. M.

L'équipe probable : Médard - Clerc, Fritz, Jauzion, Kunavore - (o) Elissalde, (m) Kelleher - Dusautoir, Sowerby, Bouilhou (cap) - Albacete, Pelous - Lecouls, Servat, Human
Remplaçants: Montès, Poux, Vernet-


L'Equipe

Usap: Laharrague écarté du quinze de départ ?

Ironie de l'histoire, alors que l'Usap a été confrontée durant toute la saison régulière à une véritable hécatombe au poste d'ouvreur, Nicolas Laharrague, à ce jour le seul demi d'ouverture de métier valide au sein de l'effectif catalan, ne devrait pas appraître sur la feuille de match de la seconde demi-finale du Top 14 face au Stade Français samedi, à Gerland, rapporte L'indépendant. Une blessure contractée avant le dernier match à Castres et l'émergence de David Mélé, mieux qu'un intérimaire à ce poste, devraient conduire à ce choix tactique. Pour autant, Mélé ne serait pas assuré de débuter en tant que titulaire, le staff catalan préférant lui assigner un rôle de joker capable de couvrir les deux postes de la charnière. Et c'est Gavin Hume qui tient la corde pour endosser le n°10 au côté de Nicolas Durand et former avec la paire de centres Mermoz-Marty un trio capable de rivaliser avec les Bastareaud, Liebenberg et autre Gasnier. Conséquence de quoi, Jérôme Porical, titulaire à l'arrière, serait chargé de buter à Lyon.


Sport.fr

Lacombe, Perugini, Manu en tribune !
...pas des envies de prendre l'air ?

Bon ben pour moi ça fait Clermont-Perpignan...

Pat de Mérignac a écrit:

Présentation des demies par le Midol avec les portraits de Mas, Hernandez, James et Jauzion !
Je vous le donne en mille, le seul auquel le "Jaune" ne trouve aucun défaut, c'est....?
...Jauzion évidemment !

Certainement pourtant le plus mauvais des arrières français du dernier tournoi... Des centres, cela va sans dire...

Mais on sait que lemidol s'entiche de joueurs auxquels il est très fidèle...
La folie Heymans est passée. Voici la Jauzionmidolmania...

Présentation des demi-finales du Top 14

Toulouse - Clermont


Un an après avoir remporté son 17e titre de champion de France en battant Clermont en finale, Toulouse va une nouvelle fois croiser la route des Auvergnats en phase finale de Top 14. Respectivement 2e et 3e de la phase régulière, le Stade Toulousain et l’ASM sont les deux équipes qui, sur la fin de saison, ont proposé le plus de jeu. En effet après un début de saison difficile, les joueurs de Vern Cotter ont su monter en puissance au cours de la saison. Ainsi sur l’ensemble de l’année, les Clermontois ont la meilleure attaque du championnat, le meilleur réalisateur (Brock James) et le meilleur marqueur d’essais (Napoleoni Nalaga). Les Jaunes et Bleus vont donc se présenter vendredi soir en pleine forme bien décidés à faire mentir les pronostiqueurs qui les voient, une nouvelle fois, se faire éliminer par l’ogre toulousain.

Les Rouges et Noirs quant à eux ont connu une petite période de doute après leur cruelle élimination en quart de finale de la Coupe d’Europe face à Cardiff, enchainant avec une défaite face à Toulon puis une courte victoire face à Bourgoin. Les deux succès acquis à l’extérieur face à Bayonne et Mont-de-Marsan lors des deux dernières journées de championnat ont permis aux Toulousains de retrouver la confiance. Face à la meilleure attaque du championnat, Toulouse opposera la meilleure défense du Top 14.

Concernant les deux quinze de départ que devraient aligner Vern Cotter et Guy Novès, on peut noter quelques surprises surtout du côté Toulousain. En effet, Cédric Heymans pourrait ne pas débuter cette demi-finale au profit de Maleli Kunavore (afin de contrer Nalaga ?). D’autre part, Jean-Baptiste Élissalde pourrait être titularisé au poste d’ouvreur à la place de David Skrela. Côté Clermontois, la seule interrogation se situait au poste de deuxième ligne, c’est finalement Loïc Jacquet qui débutera le match et non Julien Pierre.

Edit à 11h10 : selon le site rugbyrama.fr, Cotter proposerait une équipe totalement différente de celle annoncée dans les médias. Chez les avants, il titulariserait Domingo en pilier à la place d’Emmanuelli, Pierre à la place de Jacquet et Cudmore à la place de Vermeulen faisant glisser Bonnaire au poste de numéro 8. Chez les trois quarts, Rougerie serait titularisé au centre tandis que Baby prendrait sa place à l’aile. Info ou intox ? Le match a en tout cas déjà bien commencé entre les deux entraîneurs...

Cette demi-finale va être l’occasion de voir des duels à tous les postes. Chez les avants, les joueurs de Clermont voudront à tout prix faire oublier la finale de l’année dernière où ils avaient plié face au pack toulousain que se soit en mêlée ou en touche. Au niveau des trois-quarts, le duel le plus intéressant et le plus explosif se situera sur les ailles avec du côté Clermontois Napolioni Nalaga, meilleur marqueur du championnat, et Aurélien Rougerie, qui a souvent fait des malheurs aux Rouges et Noirs, et du côté Toulousain Maleli Kunavore et Vincent Clerc, qui voudra prendre le dessus sur Aurélien Rougerie avant de la tournée avec l’équipe de France.

pronostic PR : Je vois une victoire de Clermont par moins de 7 points dans un match avec beaucoup de spectacle, très intense et serré jusqu’au bout.

Toulouse
15 Maxime Médard/Clément Poitrenaud, 14 Maleli Kunavore/Maxime Médard, 13 Florian Fritz, 12 Yannick Jauzion, 11 Vincent Clerc, 10 Jean-Baptistes Elissalde/David Skrela 9 Byron Kelleher, 8 Shaun Sowerby, 7 Thierry Dusautoir, 6 Jean Bouilhou (cap), 5 Patricio Albacete, 4 Fabien Pelous , 3 Benoît Lecouls, 2 William Servat, 1 Dan Human.
remplaçants : 16 Yohan Montes, 17 Jean-Baptiste Poux, 18 Vernet Basualdo, 19 Yannick Nyanga, 20 Romain Millo-Chlusky, 21 Grégory Lamboley, 22 Frédéric Michalak, 23 Cédric Heymans.

Clermont
15 Anthony Floch, 14 Aurélien Rougerie (cap), 13 Benoît Baby, 12 Gonzalo Canale Olivier, 11 Napoleoni Nalaga, 10 Brock James, 9 Pierre Mignoni, 8 Elvis Vermeulen, 7 Julien Bonnaire, 6 Alexandre Audebert, 5 Thibaut Privat , 4 Loïc Jacquet, 3 Martin Scelzo, 2 Mario Ledesma, 1 Laurent Emmanuelli.
remplaçants : 16 Benoit Cabello, 17 David Zirakashvili, 18 Thomas Domingo, 19 Julien Pierre, 20 Jamie Cudmore, 21 Pierre-Emmanuel Garcia, 22 John Senio, 23 Seremaia Baï.

Planète rugby

Le 1er choisira son stade

La décision a été enterrinée ce vendredi à l'occasion du comité directeur de la LNR qui se tenait à Bordeaux : l'an prochain, le club qui terminera premier de la phase régulière du Top 14 pourra choisir son stade pour la demi-finale parmi les deux stades préselectionnés.

Si cela avait été en vigueur cette année, Perpignan aurait donc pu choisir de jouer à Bordeaux ou à Lyon.


Rugbyrama

Annoncé titulaire, Jean Bouilhou qui souffre de douleurs au dos, a déclaré forfait pour la demi-finale face à Clermont. Grégory Lamboley l’a remplacé.


Jean Bouilhou a déclaré forfait à l’issue de l’échauffement précédent la demi-finale Toulouse-Clermont, vendredi. Le capitaine toulousain, touché au dos, a laissé sa place à Grégory Lamboley en troisième ligne. Réserviste, Yannick Nyanga a finalement pris place sur le banc alors que Yannick Jauzion a récupéré le brassard de capitaine.

Mi-temps

9 à 13 Toulouse / Clermont

Ca me va bien !

clermont 19 -toulouse 09 c'est bon ça

Super !!! Victoire de Clermont Je suis ravie.

Clermont, j'espère que ce sera leur année, et qu'il vont le ramener le bout de bois

toulouse s est fait battre a l agenaise!!!!!!!! c est l'équipe qui voulait le plus gagner qui a gagner!

agen dans le midol etait a 85% de monter et le stade a 75% de conservé le bouclier

les sondages du midol au chiottes !!!!!!!!!!!!

bravo a clermont, j espere une finale contre perpignan comme ca quel que soit le vainqueur ca sera une ville en feu cette année!

Bravo à Clermont, je suis content pour eux.

Je n'ai vu que la 1ere mi-temps, c'était un festival de jeu au pied... rien de bien excitant...