Parlons de France / Angleterre

Aprés les blacks, les anglais au Stade de France

sualex a écrit:

Aprés les blacks, les anglais au Stade de France

ben la, on va etre chez nous il faudra faire quelques changements par rapport a ce dernier match

battre les anglais serait la cerise sur le gateau

On s'en fout car il parait que l'arbitre va nous faire gagner alors

Didi 47 a écrit:

On s'en fout car il parait que l'arbitre va nous faire gagner alors

Tu l'as dit...

Didi 47 a écrit:

On s'en fout car il parait que l'arbitre va nous faire gagner alors

dans ma signature, il y a meme le nerf de la guerre

Didi 47 a écrit:

On s'en fout car il parait que l'arbitre va nous faire gagner alors

suaviste(47) a écrit:

dans ma signature, il y a meme le nerf de la guerre

Le pigeon OGM ?

Phil972 a écrit:

suaviste(47) a écrit:

dans ma signature, il y a meme le nerf de la guerre

Le pigeon OGM ?

pourquoi pas sinon, je pensais plutot a la liasse de billet

Moi qui était prêt à enlever le drapeau tricolore qui orne mon antenne de télé il va falloir le laisser encore au moins une semaine.

suaviste(48) a écrit:

solen a écrit:

Didi 47 a écrit:

Moi qui était prêt à enlever le drapeau tricolore qui orne mon antenne de télé il va falloir le laisser encore au moins une semaine.

Encore un match qui sera gagner avec des billets de banque.

T'es sûr que ce ne sera pas la faute du Stade?
Tu touches le fond Nanoue....

reste tranquille toi

suaviste(47) a écrit:

suaviste(48) a écrit:

solen a écrit:

Didi 47 a écrit:

Moi qui était prêt à enlever le drapeau tricolore qui orne mon antenne de télé il va falloir le laisser encore au moins une semaine.

Encore un match qui sera gagner avec des billets de banque.

T'es sûr que ce ne sera pas la faute du Stade?
Tu touches le fond Nanoue....

reste tranquille toi

Enfin 47, elle est quand même un peu lourde avec ces sempiternelles accusations sur l'arbitrage. Je sais, c'est pas politiquement correct de dire ça, mais tu me connais, j'ai pas ma langue dans ma poche.

suaviste(48) a écrit:

suaviste(47) a écrit:

suaviste(48) a écrit:

solen a écrit:

Didi 47 a écrit:

Moi qui était prêt à enlever le drapeau tricolore qui orne mon antenne de télé il va falloir le laisser encore au moins une semaine.

Encore un match qui sera gagner avec des billets de banque.

T'es sûr que ce ne sera pas la faute du Stade?
Tu touches le fond Nanoue....

reste tranquille toi

Enfin 47, elle est quand même un peu lourde avec ces sempiternelles accusations sur l'arbitrage. Je sais, c'est pas politiquement correct de dire ça, mais tu me connais, j'ai pas ma langue dans ma poche.

non, mais nanoue n'etait pas dans son assiete ce soir, elle s'est un peu emportée

suaviste(47) a écrit:

suaviste(48) a écrit:

suaviste(47) a écrit:

suaviste(48) a écrit:

solen a écrit:

Didi 47 a écrit:

Moi qui était prêt à enlever le drapeau tricolore qui orne mon antenne de télé il va falloir le laisser encore au moins une semaine.

Encore un match qui sera gagner avec des billets de banque.

T'es sûr que ce ne sera pas la faute du Stade?
Tu touches le fond Nanoue....

reste tranquille toi

Enfin 47, elle est quand même un peu lourde avec ces sempiternelles accusations sur l'arbitrage. Je sais, c'est pas politiquement correct de dire ça, mais tu me connais, j'ai pas ma langue dans ma poche.

non, mais nanoue n'etait pas dans son assiete ce soir, elle s'est un peu emportée

Ah toi aussi, t'as remarqué.

MERCI BERNARD!!!!!!

suaviste(48) a écrit:

suaviste(47) a écrit:

suaviste(48) a écrit:

suaviste(47) a écrit:

suaviste(48) a écrit:

solen a écrit:

Didi 47 a écrit:

Moi qui était prêt à enlever le drapeau tricolore qui orne mon antenne de télé il va falloir le laisser encore au moins une semaine.

Encore un match qui sera gagner avec des billets de banque.

T'es sûr que ce ne sera pas la faute du Stade?
Tu touches le fond Nanoue....

reste tranquille toi

Enfin 47, elle est quand même un peu lourde avec ces sempiternelles accusations sur l'arbitrage. Je sais, c'est pas politiquement correct de dire ça, mais tu me connais, j'ai pas ma langue dans ma poche.

non, mais nanoue n'etait pas dans son assiete ce soir, elle s'est un peu emportée

Ah toi aussi, t'as remarqué.

je la connais bien nanoue, je sais que des fois elle s'enerve vite, mais jamais avec mechanceté

qu'elle soit pas dans son assiette,ok!! ce qui me generait c'est qu'elle soit dans la mienne

Billets en vente

Le comité d'organisation mettra en vente demain 2000 billets pour chaque demi-finale. Toutes les catégories seront disponibles pour les deux matchs. Les tickets sont à commander à partir de 10h sur le site officiel de la Coupe du monde.

Source : l'Equipe


Il faudra arracher la couronne

C'est l'arrière Jason Robinson qui le dit : « Depuis le premier jour, je crois au potentiel de cette équipe, j'étais convaincu qu'elle aurait le niveau de performance requis le jour où cela serait nécessaire ». Avec cette prise de position, le seul marqueur d'essai anglais de la finale de 2003 a l'impression d'être original. « Il serait facile de prétendre le contraire maintenant, mais je savais que cela arriverait ».


La victoire contre l'Australie en quart de finale de la Coupe du monde (12-10), n'était pas une divine surprise, ont insisté les tenants du titre, dimanche, sur la terrasse de leur hôtel marseillais. Les mines, les regards et l'humeur badine - Brian Ashton répondit même à des questions en italien avec un sourire délicieux - indiquaient pourtant que le match de la veille avait été so special. « Une heure après le coup de sifflet final, j'avais reçu 52 messages dans ma boîte vocale, y compris de gars dont je n'avais entendu parler et dont je me demande bien comment ils ont eu mon numéro », sourit le sélectionneur anglais, particulièrement sensible à l'affection de ses supporters, très nombreux à Marseille, et qui ont vite étouffé une ambiance plutôt pro-australienne en début d'après-midi. « Ils ont été magnifiques, même après la défaite contre l'Afrique du Sud (0-36). On ne le méritait pas forcément, mais ils ne nous ont pas lâchés. C'était une soirée décevante. Rien n'avait marché comme prévu. L'équipe a apporté une réponse impeccable. »


C'est ce jour-là, après avoir « touché le fond » selon le jeune centre Matthew Tait, que l'Angleterre a construit sa résurrection. Apôtre de l'union sacrée, Brian Ashton défend la thèse consistant à nier toute prise de pouvoir par les joueurs après le fiasco de Saint-Denis. « Nous nous sommes rejoints sur une simplification de ce que nous voulions faire, dans tous secteurs, indique l'entraîneur. Je ne vous donnerai pas de détail, à part celui-ci : nous nous sommes promis de simplifier la communication des consignes sur le terrain, mais pas l'approche générale. » Jonny Wilkison suggère un débat plus tranché. « Il y a eu beaucoup d'honnêteté entre chacun de ses joueurs. Tout le monde n'était pas sur la même longueur d'ondes. Mais on a dépassé ce stade pour mieux jouer. Chacun est mieux dans sa peau désormais. » De toute façon, cela n'intéresse plus désormais que les journaux anglais. L'avenir de l'Angleterre, c'est désormais une demi-finale contre la France, ce vieux rival. Ils jurent cependant qu'ils n'avaient aucune pensée intéressée au sujet de la victoire des Bleus contre la Nouvelle-Zélande (20-18'). « Je n'étais pour personne en particulier et si ça avait été le cas, ça n'aurait rien changé » élude Ashton.


« Il faudra être encore meilleur »


Dès le quart de finale le bouclé, le sélectionneur de la Rose s'est plongé sur son dossier suivant : accroître son volume de jeu. « On peut progresser. On sait même qu'il faudra être encore meilleur, reconnaît Ashton. Je note que durant les vingt-cinq premières minutes, contre l'Australie, nous nous sommes procurés des occasions de marquer, en les mettant sous pression dans leurs vingt-deux mètres, mais nous ne l'avons pas fait. Vu l'étroitesse du score, ça aurait pu nous conduire tout simplement à perdre le match. » L'énorme performance du paquet d'avants, samedi à Marseille, ressemble cependant à un avertissement envoyé à la France, qui avait remporté un drôle de match, il y a deux mois à Londres, en étant dominée dans les fondamentaux (21-15). « Nous aurions dû les battre à Twickenham et nous avons l'équipe pour ça » assène Ashton de son air le plus grave. Ce jour-là, l'Angleterre avait subi l'écueil qui la guettait si l'Australie avait été plus réaliste. Elle avait imposé sa loi en mêlée, parfois campé dans les vingt-deux adverses, mais avait été muselée par la défense tricolore, qui évoluait déjà selon le même mode qu'à Cardiff.


Qu'importe si la Rose a battu le Coq cette saison dans le tournoi des VI Nations (26-18'). « Cela n'aura aucun impact sur notre plan, c'est de l'histoire maintenant, jure Ashton. C'est un autre environnement, un autre enjeu, un autre moment, je dirais même que ce ne sont pas les mêmes équipes. » Assez peu d'humour aussi lorsqu'il lui est demandé s'il priera le ciel pour que la pluie se déverse sur la pelouse du Stade de France, comme il y a quatre ans à Sydney (24-7). « Non ». La clef, c'est l'équipe qui la détient, la façon dont elle mûrit semaine après semaine alors que le monde la condamnait à rendre sa couronne sans panache. « Je relève que nos jeunes joueurs ont très bien agi dans un contexte de forte pression, dit Ashton citant Mathhew Tait (21 ans) et Toby Floid (22 ans). Il y a dans l'équipe pas mal de joueurs de 2003, qui savent ce qu'il en coûte mentalement d'être impliqué dans ce type de match. Ils savent faire passer les bons messages, c'est très confortable pour moi de ressentir ça. » « Nous sommes prêts à réaliser un match encore supérieur », promet Robinson. Avec l'idée de devenir la première équipe à conserver son titre ? «Nous sommes peut-être un outsider mais on pense toujours qu'on peut gagner » répond Tait. « On est là pour gagner chacun de nos matches, mais on ne se projette pas au-delà du prochain » nuance Robinson. Samedi, le capitaine Phil Vickery assurait que l'Angleterre n'avait pas procédé différemment en 2003. On connaît la suite.

Bleus: le XV mercredi

Le staff du XV de France dévoilera mercredi à 10h00 la composition de l'équipe qui affrontera l'Angleterre en demi-finale samedi.

Bleus/Maso : « Encore du travail »

Rédaction Sport365 - dimanche 07 octobre 2007 - 15h53



Humilité sera le maître-mot selon Jo Maso. Le manager du XV de France compte sur le comportement exemplaire de ses joueurs pour préparer comme il se doit la demi-finale face à l'Angleterre. Un match choc entre les deux équipes qui espèrent, à cette occasion, prendre toutes deux leur revanche : les Français s'étaient inclinés face à la Rose dans le tournoi des VI Nations avant que les troupes d'Ashton ne concèdent deux défaites de rang en match de préparation.


« Nous allons nous préparer pour cette demi-finale avec beaucoup d'humilité parce que les Anglais vont vouloir prendre leur revanche après les deux matchs de préparation perdus (15-21 à Twickenham , 9-22 à Marseille). Nous avons vu avec l'Angleterre que le rugby est une histoire de mêlée et de volonté. Nous avions des leaders qui, lors de la rencontre face à la Nouvelle-Zélande, étaient prêts à mourir sur le terrain. C'était une belle victoire mais ce n'était pas une finale, juste un quart de finale. Il y a encore beaucoup de travail à faire. »

Le baromètre des Bleus


La France a battu les Blacks? Et alors? Pour un groupe qui a toujours affiché comme seule ambition la quête du titre mondial, une victoire en quart de finale ne constitue rien de plus qu'une étape. Mais est-il aussi facile de balayer d'un point de vue émotionnel les séquelles d'une telle victoire?

C'est terrible à dire. Presque injuste. Mais pour le moment, le XV de France n'a rien accompli. Il n'est nulle part, si ce n'est au milieu du chemin. Depuis des semaines, des mois même, Bernard Laporte et ses hommes qu'ils n'ont qu'un seul objectif dans le crâne: le titre de champion du monde. Aux yeux de ce groupe, toute autre issue constituera une forme d'échec. Aussi exceptionnelle soit la victoire obtenue face aux Néo-Zélandais samedi à Cardiff, elle ne marque donc qu'une simple étape dans ce long processus. Ni plus, ni moins, que le succès obtenu contre l'Irlande ou la Géorgie au premier tour, par exemple, même si on pousse là le raisonnement à l'extrême.

Alors, on reparlera probablement de ce match aux quatre coins du pays dans 15 ou 20 ans autour d'une bonne bière, mais pour l'heure, il ne s'agit que d'un simple quart de finale victorieux. Que les Bleus aient terrassé les Blacks au terme d'un combat d'anthologie ou balayé l'Ecosse, aucune importance, aucune différence. Seule compte désormais l'avenir. Et l'avenir, c'est l'Angleterre maintenant. Dès la fin de la rencontre, le staff tricolore, comme les joueurs d'ailleurs, se sont efforcés d'appuyer sur ce point: la marche qui vient d'être franchie, aussi haute fut-elle, n'est qu'une marche de plus dans l'escalier.

Clerc: "Laisser de côté cette victoire"

Ce n'est pas que les Bleus galvaudent leur performance. Ils ont, pour la plupart d'entre eux, vécu le plus grand moment de leur carrière samedi. Mais ils espèrent goûter à des plaisirs plus intenses encore dans deux semaines au Stade de France. Le rugby français a aussi payé pour savoir que les lendemains de fête sont souvent difficiles. "Ne commettons pas les mêmes erreurs qu'en 1987 et 1999", implore Jean-Claude Skrela. Il y a huit ans, il était le sélectionneur d'un XV tricolore auteur d'un exploit face aux Blacks, avant de se fracasser sur la muraille australienne en finale. "Ce match de Cardiff était magnifique, mais il ne faut pas que ce soit notre finale", rappelle Skrela.

Le message est certainement entendu, tant il a été rabâché. Mais il est humain de se laisser griser par l'impact émotionnel, dans ce genre de circonstance. S'il est simple de dire que la page est déjà tournée, c'est une autre affaire d'appliquer ce précepte de manière concrète. Compliqué, et pourtant indispensable. " Il faut absolument qu'on arrive à laisser de côté cette victoire, sinon nous n'avancerons pas, prévient Vincent Clerc. La Coupe du monde ne s'est pas terminée ce soir. Nous devons nous persuader que le plus dur commence, et que battre l'Angleterre au Stade de France, ce sera plus dur encore que battre les Blacks à Cardiff."

On dit souvent qu'il est plus aisé de récupérer après une victoire qu'après une défaite. Physiquement, c'est probablement exact. Malgré les stigmates du combat, visibles pour certains (on songe à l'oeil de Jauzion notamment), les bleus au corps s'effaceront dans les jours qui viennent. L'émotion, elle, s'ancre plus profondément encore. Plus insidieusement, aussi. De la faculté des héros du Millennium à enfouir l'immense bonheur vécu ce week-end dépend le destin des Bleus dans ce Mondial. Après avoir savouré l'exploit comme il se devait samedi soir ("sagement", d'après Damien Traille), tout le monde s'est tourné vers l'Angleterre. "Dès dimanche soir, nous avons commencé à travailler sur ce match ", confie Bernard Laporte. Tout le reste ne doit plus exister. Pas même les victoires de légende.

Rugbyrama - Laurent VERGNE - 08/10/2007

En tout cas merci beaucoup Val pour ta participation

val veux tu m'epouser?