Parlons de Perpignan / Agen (Demi-Finale)

Alors à la 65eme, on aurait dû prendre une branlée, ça n' a pas été le cas...

Alain Tingaud : «Je crois à l'exploit à Perpignan»

Si le SUA doit atteindre le stade Ernest-Wallon le dimanche 24 mai pour la finale d'accession de Pro D2, ce sera par la face Est, la plus compliquée, celle d'Aimé-Giral. Cela n'empêche pas Alain Tingaud, le président du SUA, de garder la foi en ses joueurs et dans leur capacité de renverser la montagne catalane.

Vous étiez très déçu dimanche soir. C'est le fait d'avoir vu une formidable ambiance à Armandie et de ne pas pouvoir y goûter à nouveau avec une demi-finale à domicile ?

Il y a eu tant de choses qui pouvaient expliquer cette déception. La domination de notre équipe qui devait gagner, déjà. Et puis c'est vrai, il y avait cet Armandie magnifique comme on l'a rarement vu depuis longtemps. Qu'est-ce qu'a fait Perpignan, une ou deux fulgurances ? On avait largement la place de l'emporter, j'étais donc déçu et même un peu en colère, à cause de notre erreur de jeunesse. En 2e mi-temps, j'ai eu l'impression de revivre un peu la finale de l'année dernière à Bordeaux. On n'a pas su gérer le match sur la fin, même si on aurait pu s'échapper définitivement en inscrivant nos pénalités ou en marquant un essai dont nous étions tout proches.

Dès dimanche soir, Mathieu Blin évoquait un manque à gagner pour le club. Vous pouvez préciser ?

C'est vrai qu'on perd beaucoup de recettes en direct. Pas sur la billetterie, car sur une demi-finale de ProD2, elle remonte en intégralité à la Ligue, mais sur les buvettes et tout le réceptif qui entoure un match à domicile on perd de l'argent. Mais franchement, plus que la recette, c'est vraiment le fait de ne pas pouvoir offrir à notre public une demi-finale à la maison qui m'a attristé. On a eu un conseil d'administration lundi soir, prévu de longue date, pour parler des offres de la saison prochaine, il aurait pu se réunir davantage dans la joie d'accueillir cette demi-finale. Cela ne va toutefois pas empêcher le club de continuer à se développer.

On sent de la déception, de la colère, mais pas d'abattement dans votre propos.

Je veux qu'on montre une énergie positive, depuis le président jusqu'au moindre supporter. Je suis convaincu qu'on peut aller gagner à Perpignan. On ira gagner à Aimé-Giral si tout le monde fait preuve de cette énergie positive. Il faut arrêter de refaire le match de dimanche dernier, de ressasser ceci ou cela. Nous sommes en position, si on l'emporte chez les Catalans, d'écrire une des plus belles pages de notre histoire. Si on va s'imposer à Perpignan, plus rien ne sera en mesure de nous arrêter.

Vous vous sentez soutenu dans cette démarche de remobilisation ?

Plus que jamais, dès hier, Jean Dionis et la ville d'Agen ont décidé de nous soutenir en mettant à disposition dix bus pour transporter gratuitement les supporters jusqu'à Perpignan. Le club offrira pour sa part les 500 pique-niques aux supporters. Il nous faut un vrai soutien populaire. Si les joueurs le ressentent, on peut faire quelque chose. Je crois à l'exploit mais tout le monde doit s'engager pour le réaliser.

Vous semblez vraiment sûr de votre équipe ?

Pourquoi je ne le serais pas ? Dans toutes les lignes nous avons le potentiel pour le faire. C'est dans la tête que cela doit se passer. Les joueurs ont raté la demi-finale à domicile. Ils n'ont pas raté leur championnat. On peut faire l'exploit à Perpignan. On a gagné à Mont-de-Marsan. On a gagné à Montauban. On a battu toutes les grosses équipes à domicile (hormis Perpignan, N.D.L.R.), on peut vraiment l'emporter à Aimé-Giral.

Sportivement, le SUA semble en avoir les moyens, il l'a montré dimanche, mais mentalement, d'où peut venir le déclic ?

Dimanche dernier, on avait joué le match avant de l'avoir joué. Il faut avoir confiance en nous. Il faut qu'on ait peur de ne pas remplir notre contrat. On ne doit pas avoir peur de Perpignan, mais de nous-mêmes, de notre capacité à ne pas faire ce qu'on doit pouvoir faire. On a n'a pas le droit de trembler. Burton Francis doit décupler sa concentration pour être au plus haut niveau, idem pour Raphaël Lagarde. Le déclic mental, c'est de se dire «je n'ai pas le droit de ne pas remplir mon contrat». On doit faire le job !

Comment faire aussi que les supporters agenais n'aient pas peur de se rendre à Aimé-Giral. On sent que de ce côté-là aussi il y a besoin d'un déclic.

Ils doivent se dire «qu'est-ce qu'on a à perdre d'aller à Aimé-Giral ?» Ils doivent montrer que nous sommes un très grand club avec des supporters, des bénévoles et des partenaires. Avec dix bus remplis, plus toutes les personnes qui se déplaceront avec leurs véhicules personnels, il faut qu'il y ait au moins 500 personnes à Aimé-Giral. Il faut qu'il y ait un gros pavé bleu et blanc dans les tribunes, un repère sur lequel les joueurs pourront s'appuyer pour réaliser leur exploit, qui leur apportera ce supplément de confiance. Je suis persuadé d'une chose, dans la vie, il n'y a que les énergies positives qui font avancer. Dimanche, tout le monde doit être porté par cette énergie positive.

Le Petit Bleu

ripsua a écrit:

carnot75 a écrit:

Je ne vois pas ce qui rend l' USAP au dessus du SUA au vu des derniers matchs joués.

Peut être parce que j'ai eux au match aller on à pris une rouste et qu'ils sont venus chercher leur qualifie et leur demie en venant nous taper à la maison ?

Ouais c'est exactement çà : ils se sont dit " prenons une tôle à Aurillac ...perdons à la maison contre Albi ...les agenais vont pas se méfier ...et ce sera tout bénef pour la suite !"

Quant aux agenais ils ont fait exactement le même raisonnement : " perdons à Colomiers , laissons gagner l'USAP à Armandie ... çà va les endormir ...et ce sera bon pour la suite !"re-

superman(agen) a écrit:

Ce qui est bien, c'est que les Catalans ne doute de rien.... (Petit extrait pris sur leurs forum)

"Ne stresse pas: ambiance de folie, euphorie générale,comme Castres en 98 à Brutus, Agen ne va pas exister car ils ne sont pas armés pour ca.Il faut juste être sérieux et hyper agressifs et il n'y aura aucun problème.On prend les paris? "

Croire qu'on a déjà gagner contre Agen, avant même d'avoir joué le match,  ce n'est pas bien    demandez à Toulouse pour la demie de 2002.  

Tu es quand mème gonflé,"croire que l'on va déja gagné avant d'avoir joué le match" tu ne fais que ça à longueur d'année".
Sur le forum de l'USAP ils sont comme sur tous les forums "il se la pètent".

Oui je sais qu'on en est pas là ; mais s'agissant d'un match éliminatoire , en cas d'égalité aprés prolongations , comment détermine-t'on le vainqueur ? Au nombre d'essais ? La pénalité prime sur le drop ? Les cartons jaunes ou rouges comptent ?

Et en cas d'égalité parfaite est-ce qu'il y a toujours les tirs au but avec 5 joueurs de chaque camp ?

Si c'est le cas quels seraient les 5 buteurs agenais ? Francis, Lagarde , Darbo , Lamoulie et ...? Abadie ou Ferrary sont-ils buteurs ??

Mais est-ce que les buteurs sont choisis dans les 23 ,ou seuls ce qui sont sur leterrain à la fin du match ont le droit de participer à ces tirs au but ?

passetaballe a écrit:

titus47 a écrit:

L'usap sera ultra favorite.
Nous on a pris un gros pet à la tete, en plus notre effectif sera tres amoindri, notement derrière ou il nous manquera la plupart de nos joueurs créatifs.
Il faudra essayer de faire les choses simplement, en y mettant beaucoup de rigueur et d'application, en utilisant la puissance des joueurs que nous aurons derrière sur du jeu simple à une passe. Jouer à une passe et essayer d'avancer dans le milieu de terrain avec des garcons comme petre, mchélidzé ou tago, assurer de bons soutiens, faire reculer l'usap avec de gros impacts physiques et essayer de les mettre à la faute.
Devant essayer de faire preuve de beaucoup de dynamisme avec beaucoup de jeu dans l'axe, en utilisant prioritairement la puissance et la force de pénétration d'afatia, n'nomo, api, erbani ou tau. Optimiser notre conquete en touche, surtout dans le camp usapiste, pour mettre en place de bons ballons portés.

Avec l'équipe probable que nous alignerons, je pense que si on veut prendre l'usap sur son terrain en passant par le jeu, on est mort d'avance.
Donc jouer simple, sans se couper des soutiens, en prenant le milieu de terrain, sans se cramer à courir partout pour assurer des soutiens offensifs aux 4 coins du terrain, garder de l'énergie et de la lucidité pour bien défendre, provoquer des fautes en étant précis lorsque nous tiendrons le ballon (éviter de les tomber au bout de 2 ou 3 temps de jeu), et enquiller à chaque fois que nous en aurons l'occasion sans vendanger face aux pagailles.

Y a un match à jouer, nous serons 23 sur la feuille de match, meme si beaucoup de joueurs cadres nous manqueront. D'abord faire preuve de courage, bien se préparer, croire en nos chances avec un gros mental, essayer de transformer la frustration du week end dernier en supplément d'âme.
La préparation de ce match appartient aux joueurs, et surtout aux entraineurs, qui doivent trouver les mots justes, et compte tenue du contexte, une stratégie de jeu, la plus simple possible, pour que l'usap sente d'entrée de jeu que le sua n'est pas venu pour faire du tricot, mais bien pour tenir le ballon, et leur rentrer dans le buffet avec toute l'énergie qu'il nous reste.

mouais tu bases tout sur le physique et avec les memes garçons,
on a fait ça toute la saison, sauf derriere où on ne sait pas faire percuter tago, petre ou miedcheze, et devant ça fonctionne plutot bien jusqu à la 60e où ces memes gars finissent sur les rotules

j espere donc que Burton va se mettre à taper des drop pour engrenger ! je ne sais pas d ailleurs s il en a tapé bcp cette saison ?  
quoiqu il en soit, faudra aussi que le pack le mette en bonne position

vu l absence de techniciens derriere, je maintiens ma preference à Toua en 15 pour relancer
et peut etre tenter un coup de poker avec Lamoulie au centre

il me semble Titus, que tu disais que Lamoulie jouait au centre en espoir et qu il se debrouillait pas trop mal ?

lamoulie est bien un centre de formation, il  a évolué au sua à ce poste dans les catégories de jeunes jusqu'en espoir et était d'ailleur parfois associé au milieu de terrain avec petre.
Gelez, entraineur des espoirs l'a ensuite placé au poste d'ouvreur/buteur, avec pas mal de réussite. A l'ouverture comme au centre, lamoulie disposait de belles dispositions, notement une grosse capacité à franchir, et à jouer efficacement dans les défenses.
Petre était alors associé au centre avec 2 joueurs entrevues la saison dernière en équipe fanion, vives ou borderies.

C'est un darricarère sans solution au poste de 15 lors de la saison de la redescente qui à positionné lamoulie à l'arrière: blair out pour la saison, tian au placard, goosen aaussitot recruté comme joker, aussitot blessé, et ben seymour qui ne faisait pas la maille.
Depuis je trouve que lamoulie progresse tranquilement au poste, il continue de s'y adapter et d'y progresser, il est sobre offensivement , ne commet pas d'erreur de placement, et est tres solide défensivement en dernier rempart.

Je pense que le sua va continuer à l'utiliser au poste de 15, ou il sera en concurrence avec sicard l'année prochaine (attention valentin saurs en espoir a aussi un vrai gros potentiel au poste), toua aussi tres jeune qui a connu de grosses difficultés d'daptation et d'intégration, est certainement mieux sur une aile (du moins pour le moment.)

Pour la demie à perpignan, sauf miracle mazars, la paire petre / roux devrait etre reconduite.

Sur le  MIDI LIBRE

Les Perpignanais, retrouveront Agen dimanche en demi-finale aller.

Revenus de loin à Agen (23-26), une victoire qui leur offre une demi-finale à domicile, dimanche (17 h) face à ces mêmes Agenais, les Catalans se sont vite remis en mode "travail".

L'euphorie née de la victoire à Agen (23-26) est retombée dans le camp de l'Usap. Place à la demi-finale contre ces mêmes Agenais ! Cette fois-ci, ils n'ont pas eu droit aux sacro-saints discours mobilisateurs.

Depuis deux jours, dans leur cocon d'Aimé-Giral, les sang et or apprécient à sa juste valeur la performance grand format réalisée à Agen. Un match situé aux antipodes de la grande majorité de ceux disputés toute la saison loin de leur base.

Infirmerie
Henry Tuilagi (genou), Tommy Allan (cotes) et Waitisona Votu (genou) sont incertains pour dimanche.

   "On a trouvé une vraie équipe !"

Un match plein. Débordant de volonté, de maîtrise, de patience, et de respect pour ce maillot sang et or qui fleurit à nouveau au printemps. Fini, donc, les remontées de bretelles présidentielles. Oubliées les récentes désillusions face à Albi et Aurillac. "Il y en eu des réunions, confiait le grand bonhomme du match Jonathan Bousquet. Des réunions par ci, des réunions par là, mais il n'y avait rien. Avoir des actes après des paroles, c'est très important, c'est ce qui soude. On a trouvé une vraie équipe !"

Alors, même si c'est en toute fin de parcours, l'essentiel est de vivre les choses intensément ensemble, au bon moment. Et ce rendez-vous, malgré des coups de mous, dus en grande partie à une forte chaleur (30°C), les Catalans l'ont bien abordé pour mieux l'empaqueter. Alain Hyardet expliquait avant ce débat que "c'est tout l'inverse d'une saison dernière où l'Usap ne devait pas perdre à Montferrand pour éviter la descente en ProD2. Nous jouerons pour gagner !" Alors Perpignan l'a fait !

   Rivière : "Par pitié, ne me parlez pas de Top 14 !"

Malgré un début compliqué face à un adversaire exploitant au mieux tous les ballons d'entrée de jeu. Et poussé doublement à l'optimisme, lorsque Francis pointait une deuxième fois dans l'en but, alors que l'action initiée était entachée d'un flagrant en avant. Sept points de trop, qui auraient pu éteindre toutes les lampes visiteuses… Sauf que malgré ce coup du sort, les Roussillonnais n'ont jamais desserré l'étreinte. Sacrifiant leurs clavicules, martelant sans discontinuer un SUA qui avait peut-être cru à la pause que le meilleur était tout proche.

Et puis, comme sortie de nulle part, cette ultime pénalité de Bousquet sur le buzzer, qui a tout fait chavirer. Le destin, puis les cœurs. À s'en frotter les yeux. Comme un grand garçon, Perpignan s'est "pelé" sa demi-finale à la maison. Et Agen s'est offert le droit de rejouer dans un stade Aimé-Giral annoncé en ébullition dimanche. "Ce sera une énorme fête pour le rugby catalan, ponctue le président François Rivière. Mais par pitié, ne me parlez pas de Top 14 ! Pensons d'abord à gagner ce match !" Vos garçons y pensent sérieusement président. Très sérieusement…

Aux dernières nouvelles (à moins que je sois en retard) Parpignan-Agen sera aussi diffusé sur France 3, au moins sur Midi-Pyrénnées..
Pour les expatriés canal 366 de Canal-satellite.

jpsua a écrit:

Oui je sais qu'on en est pas là ; mais s'agissant d'un match éliminatoire , en cas d'égalité aprés prolongations , comment détermine-t'on le vainqueur ? Au nombre d'essais ? La pénalité prime sur le drop ? Les cartons jaunes ou rouges comptent ?

Et en cas d'égalité parfaite est-ce qu'il y a toujours les tirs au but avec 5 joueurs de chaque camp ?

Si c'est le cas quels seraient les 5 buteurs agenais ? Francis, Lagarde , Darbo , Lamoulie et ...? Abadie ou Ferrary sont-ils buteurs ??

Mais est-ce que les buteurs sont choisis dans les 23 ,ou seuls ce qui sont sur leterrain à la fin du match ont le droit de participer à ces tirs au but ?

ESt gagnant,à moins que le règlement ai changé:
Celui qui a marqué le plus d'essais,
en cas d'égalité celui qui, a marqué le plus de pénalités
en cas d'égalté " " " " de drops
si ça ne suffit pas est perdant celui qui a eu le plus d'exclus définitif
et on continue si toujours égalité on en vient aux tirs au but;
on commence par 5 coups de pied des 22 m face.
et si on y est encore toujours des coups de pied 22 face jusqu'à la mort subite (le premier qui loupe).
Ouf!
"

D'aprés ce que je viens de lire sur Rugbyrama , sur un article qui avait été publié avant la derniére finale du Top 14:

- les 5 buteurs doivent être parmi ceux présent sur le terrain à la fin des prolongations ;

Alors sauf blessures , si le score est serré tout au long du match , est-ce que le staff va penser à ces tirs au but , et faire en sorte que Francis, Lagarde, Darbo , Lamoulie et ...??? Toua il bute ?? soient encore sur le terrain à la 110eme minute ??

Par ce que faudrait pas que cette imprévoyance oblige Agen a faire buter TagoTago ou Narjissi ou N'Nomo ??

amblards a écrit:

Aux dernières nouvelles (à moins que je sois en retard) Parpignan-Agen sera aussi diffusé sur France 3, au moins sur Midi-Pyrénnées..
Pour les expatriés canal 366 de Canal-satellite.

D'aprés le site de la LNR , Perpignan/Agen sera sur EUROSPORT uniquement ; l'autre 1/2 finale sera sur Sport-Plus et FR3 Région .

jpsua a écrit:

amblards a écrit:

Aux dernières nouvelles (à moins que je sois en retard) Parpignan-Agen sera aussi diffusé sur France 3, au moins sur Midi-Pyrénnées..
Pour les expatriés canal 366 de Canal-satellite.

D'aprés le site de la LNR , Perpignan/Agen sera sur EUROSPORT uniquement ; l'autre 1/2 finale sera sur Sport-Plus et FR3 Région .

Sur Sud-Ouest de ce jour ils annoncent Perpignan-Agen aussi sur au moins FR3 Midi-Pyrénnées.
Je le le vend comme je l'ai lu.

amblards a écrit:

jpsua a écrit:

amblards a écrit:

Aux dernières nouvelles (à moins que je sois en retard) Parpignan-Agen sera aussi diffusé sur France 3, au moins sur Midi-Pyrénnées..
Pour les expatriés canal 366 de Canal-satellite.

D'aprés le site de la LNR , Perpignan/Agen sera sur EUROSPORT uniquement ; l'autre 1/2 finale sera sur Sport-Plus et FR3 Région .

Sur Sud-Ouest de ce jour ils annoncent Perpignan-Agen aussi sur au moins FR3 Midi-Pyrénnées.
Je le le vend comme je l'ai lu.

Pas de soucis Amblards . Mais est-ce que la LNR n'est pas l'organe officiel qui gére le rugby "pro" ?

D'autre part quand on va sur les site de FR3 Aquitaine ils parlent de la retransmission Mont-de-Marsan/Albi ;Or si ils avaient aussi retransmis Perpignan/Agen on pourrait le lire sur France 3 Languedoc/Roussillon ce qui n'est pas le cas .

butifare a écrit:

amis suaviste,chai pas  comme on dit chez vous...

no stress,on a eu de la chatte sur ce quart,en général,l'histoire ne se répète pas...

vous avez fait un match exceptionnel en terme d'engagement,seul votre buteur  a failli...

franchement,vous avez rien à nous envier.
rdv dimanche.
bon match.

Voila qui est sympa.

A dimanche et que le meilleur gagne.

Ma nouvelle compo coup de poker :

Toua
Mchedlidze
Petre
Lamoulie
Paris
Francis
Bales
Giraud
Erbani
Tau
Demotte
Ratu
Marshall
Barthomeuf
Afatia

Rempl : Lagarde(60)-Roux-Darbo(60e)-Vaquin(60e)-Roidot(50e)-Telefoni (40e)-Narjissi (50e)-N'nomo(50e)

Balés ???

BALES et GIRAUD peuvent jouer?
Bon,j'y vais aussi de mon équipe,mais c'est pas sérieux.
J'aurai bien essayé RATUNIYARAWA en 8,GIRAUD en 7 ERBANI en 6 et VALDES à la place de RATUNIYARAWA.
RATUNIYARAWA remplacé par GIRAUD à l'heure de jeu et rentrée de Tau,pour sa mobilité.
Moi,je mettrai Lagarde au centre et non pas remplaçant.
Il serait remplacé ensuite par PETRE.
Je dits ça,mais c'est pour s'amuser au sélectionneur.
En reconnaissant que par rapport aux sélectionneurs officiels je n'y connais rien.
Je mets l'accent sur une seconde ligne et un huit lourd qui peut faire mal à l'impact,plus que Giraud que j'aimerai bien essayer en 7.
Et remettre après en huit si besoin,car RATUNIYARAWA risque à coincer après la mitan.
Sinon,pour le reste je ne change pas la compo du chef.

l'agenais de laval a écrit:

BALES et GIRAUD peuvent jouer?
Bon,j'y vais aussi de mon équipe,mais c'est pas sérieux.
J'aurai bien essayé RATUNIYARAWA en 8,GIRAUD en 7 ERBANI en 6 et VALDES à la place de RATUNIYARAWA.
RATUNIYARAWA remplacé par GIRAUD à l'heure de jeu et rentrée de Tau,pour sa mobilité.
Moi,je mettrai Lagarde au centre et non pas remplaçant.
Il serait remplacé ensuite par  PETRE.
Je dits ça,mais c'est pour s'amuser au sélectionneur.
En reconnaissant que par rapport aux sélectionneurs officiels je n'y connais rien.
Je mets l'accent sur une seconde ligne et un huit lourd qui peut faire mal à l'impact,plus que Giraud que j'aimerai bien essayer en 7.
Et remettre après en huit si besoin,car RATUNIYARAWA risque à coincer après la mitan.
Sinon,pour le reste je ne change pas la compo du chef.

Juste un bémol, Giraud est incontournable en 8, car même sous la mitraille, il assure des ballons propre.

C'est vrai aussi chef.

superman(agen) a écrit:

l'agenais de laval a écrit:

BALES et GIRAUD peuvent jouer?
Bon,j'y vais aussi de mon équipe,mais c'est pas sérieux.
J'aurai bien essayé RATUNIYARAWA en 8,GIRAUD en 7 ERBANI en 6 et VALDES à la place de RATUNIYARAWA.
RATUNIYARAWA remplacé par GIRAUD à l'heure de jeu et rentrée de Tau,pour sa mobilité.
Moi,je mettrai Lagarde au centre et non pas remplaçant.
Il serait remplacé ensuite par  PETRE.
Je dits ça,mais c'est pour s'amuser au sélectionneur.
En reconnaissant que par rapport aux sélectionneurs officiels je n'y connais rien.
Je mets l'accent sur une seconde ligne et un huit lourd qui peut faire mal à l'impact,plus que Giraud que j'aimerai bien essayer en 7.
Et remettre après en huit si besoin,car RATUNIYARAWA risque à coincer après la mitan.
Sinon,pour le reste je ne change pas la compo du chef.

Juste un bémol, Giraud est incontournable en 8, car même sous la mitraille, il assure des ballons propre.

chef, chef ! grand Dieu, vous avez fait oune grosse faute ! sur le dernier mot
un gage: avaler ses cartons jaunes
bon, maintenant, quand les ballons ne sont pas propres, il suffit d'avoir des lingettes dans son short, scrogneugneu
faut tout faire ici !

Une analyse porteuse d'espoir (source La Dépêche du Midi) :


Deylaud : «La pression sur Perpignan»

Pas mécontent d'avoir assisté dimanche sans stress et depuis les tribunes d'Armandie «à un joli match, bien plus ouvert que certains le prévoyaient», Christophe Deylaud a accepté de nous faire partager son analyse sur la rencontre de dimanche et sur celle à venir à Aimé-Giral.

«Sincèrement, hier, même si les deux équipes se sont rendues coup pour coup, c'est plus Agen qui a perdu ce match que Perpignan qui l'a gagné. Si le SUA met toutes ces occasions en première mi-temps, il n'y a plus de match au bout d'une demi-heure. Je ne vais pas accabler pour autant le buteur, Burton Francis. Il a loupé son jeu au pied dimanche. Il peut très bien tout réussir dimanche prochain. Certes l'USAP est allé arracher la victoire au tempérament, en décrochant cette dernière pénalité, mais tout le monde reconnaissait hier que c'est Agen qui a plus perdu. Le match à venir le week-end prochain me fait penser à notre demi-finale perdue à domicile en 2008-2009 face à Oyonnax (2e de la saison régulière le SUA recevait le 5e et s'était incliné 18 à 18 à Armnadie, N.D.L.R.). Une demi-finale c'est totalement différent qu'un match de championnat. Déjà, on a beaucoup plus de pression quand on joue à la maison. Sur ce type de match de phase finale, savoir gérer la pression c'est le plus important. Pour moi le terrain n'a pas une grande importance, même dans le cas d'Aimé-Giral. Franchement, le match se jouerait à Agen, les Agenais auraient plus la pression. Contre Oyonnax, on était passé totalement à côté. Des joueurs avaient carrément craqué à une heure du match et on ne pouvait plus rien faire. Il y a parfois certains comportements qu'on n'arrive plus à maîtriser. Agen a des joueurs expérimentés comme «Jal» (Jalil Narjissi), Semisi (Telefoni), Arsène (Nnomo) et même Alexi (Balès), qui est certes encore jeune mais qui a déjà de la bouteille. Le SUA est bien en place à l'image de son jeu. Si Burton Francis met les coups de pied. Perpignan a des joueurs plus jeunes. Cela peut leur tomber dessus.»

cathare 47 a écrit:

Une analyse porteuse d'espoir (source La Dépêche du Midi) :


Deylaud : «La pression sur Perpignan»

Pas mécontent d'avoir assisté dimanche sans stress et depuis les tribunes d'Armandie «à un joli match, bien plus ouvert que certains le prévoyaient», Christophe Deylaud a accepté de nous faire partager son analyse sur la rencontre de dimanche et sur celle à venir à Aimé-Giral.

«Sincèrement, hier, même si les deux équipes se sont rendues coup pour coup, c'est plus Agen qui a perdu ce match que Perpignan qui l'a gagné. Si le SUA met toutes ces occasions en première mi-temps, il n'y a plus de match au bout d'une demi-heure. Je ne vais pas accabler pour autant le buteur, Burton Francis. Il a loupé son jeu au pied dimanche. Il peut très bien tout réussir dimanche prochain. Certes l'USAP est allé arracher la victoire au tempérament, en décrochant cette dernière pénalité, mais tout le monde reconnaissait hier que c'est Agen qui a plus perdu. Le match à venir le week-end prochain me fait penser à notre demi-finale perdue à domicile en 2008-2009 face à Oyonnax (2e de la saison régulière le SUA recevait le 5e et s'était incliné 18 à 18 à Armnadie, N.D.L.R.). Une demi-finale c'est totalement différent qu'un match de championnat. Déjà, on a beaucoup plus de pression quand on joue à la maison. Sur ce type de match de phase finale, savoir gérer la pression c'est le plus important. Pour moi le terrain n'a pas une grande importance, même dans le cas d'Aimé-Giral. Franchement, le match se jouerait à Agen, les Agenais auraient plus la pression. Contre Oyonnax, on était passé totalement à côté. Des joueurs avaient carrément craqué à une heure du match et on ne pouvait plus rien faire. Il y a parfois certains comportements qu'on n'arrive plus à maîtriser. Agen a des joueurs expérimentés comme «Jal» (Jalil Narjissi), Semisi (Telefoni), Arsène (Nnomo) et même Alexi (Balès), qui est certes encore jeune mais qui a déjà de la bouteille. Le SUA est bien en place à l'image de son jeu. Si Burton Francis met les coups de pied. Perpignan a des joueurs plus jeunes. Cela peut leur tomber dessus.»

Pipigne fait la "grosse cour" à Antoine (Riboud , pas Erbani) le colossal patron de Danone qui pèse
des dizaines de milliards d'euros !
mais je viens d'apprendre que "Toine" adore les yaourts .....aux pruneaux et seulement ceux là
donc, il va sans doute bifurquer vers Agen, car les yaourts aux escargots; il est pas fan

L'économie du rugby et les milliardaires....Peut être qu'un jour ces milliardaires ne financeront pas un club mais une compétition. L'argent récolté serait  alors équitablement réparti entre les participants, tous les clubs avec le même budget...ça laisse rêveur hein?

El Farfadet a écrit:

L'économie du rugby et les milliardaires....Peut être qu'un jour ces milliardaires ne financeront pas un club mais une compétition. L'argent récolté serait  alors équitablement réparti entre les participants, tous les clubs avec le même budget...ça laisse rêveur hein?

Oh que oui !... avec un changement de cotation : l'essai à 3 points , et tout ce qui passe entre les perches 1 point